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Adolescente en surpoids devenue passionnée de sport : une belle histoire

25 Fév 2022

Si vous aviez dit à Stéphanie à l’âge de 15 ans qu’à 25 ans, elle ferait de la course à pied, de l’équitation et de la boxe, pratiquerait l’entraînement fractionné à haute intensité (HIIT) et participerait au semi-marathon de Gand… elle ne l’aurait peut-être pas cru.

Nous avons eu un entretien à cœur ouvert avec Stéphanie sur les problèmes de poids qu’elle a connus pendant sa jeunesse, à l’origine de sa passion pour le sport et la diététique. Besoin d’inspiration pour votre prochain défi sportif ? Ne manquez pas de lire la suite.

Stéphanie, peux-tu te présenter brièvement ?

Stéphanie : Je m’appelle Stéphanie De Sterck, j’ai 25 ans et j’habite dans la campagne à Lierde. Mon compagnon habite à Lede et je suis Complaint Analyst à Puurs. Chaque jour, j’examine et j’assure le suivi des plaintes pour une grande entreprise pharmaceutique.

Intéressant ! Comment as-tu découvert ce travail ?

 Stéphanie : Après mes études en nutrition et en diététique, j’ai débuté comme responsable qualité chez Solina, dans l’industrie alimentaire. C’était un chouette travail, mais je voulais relever un nouveau défi. L’an dernier, Maxime de Pauwels Consulting m’a contactée pour un projet intéressant et je me suis retrouvée ici. J’étudie chaque jour les plaintes, je vérifie si elles sont fondées, j’examine des échantillons et je vérifie où d’éventuelles erreurs ont été commises.

Et le soir, que fais-tu pour te changer les idées ?

 Stéphanie : Du sport ! Cela me détend vraiment. Par le passé, j’aimais encore relever des défis et voir si je pouvais améliorer mon chronomètre. J’étais très concentrée sur les chiffres et les résultats et je gérais minutieusement mon alimentation. Je pesais tout. Mais aujourd’hui, je fais plus du sport pour le plaisir et pour me détendre.

Grâce à mon frère, j’ai retrouvé la motivation pour manger et faire beaucoup de sport.

Peser son alimentation… Cela demande de la discipline ! T’es-tu toujours autant intéressée au sport et à la santé ?

 Stéphanie : Non, et c’est peut-être ma plus grande source de motivation intrinsèque. Jusqu’à mes 15 ans, j’étais obèse. À la suite de cela, j’ai développé un trouble alimentaire à l’âge de 15 ans. Grâce à mon frère, à 16 ans, j’ai retrouvé la motivation pour commencer à manger et faire beaucoup de sport. Musculation, entraînement fractionné à haute intensité, boxe, course à pied… J’ai fait tout cela et je continue aujourd’hui. Depuis l’année dernière, je me suis aussi mise à l’équitation. Les jours où je n’ai pas d’activité sont rares.

Et le 27 mars, tu participes au semi-marathon à Gand avec Pauwels Consulting.

 Stéphanie : En effet ! J’ai hâte d’y être. J’aime essayer de nouvelles choses et me fixer des objectifs. Après quelques Viking Runs, c’est l’occasion rêvée de participer à une course plus longue et rencontrer mes collègues de Pauwels Consulting dans la foulée. Je m’attends à avoir des difficultés, car je viens de m’interrompre pendant deux mois suite à une fracture, mais le bon état d’esprit peut faire des miracles.

C’est vrai ! Tu suis une préparation spécifique pour le semi-marathon ?

 Stéphanie : Oui, certainement. Avant ma blessure, je courais de toute façon 4 ou 5 fois par semaine, à l’intérieur ou dehors. Maintenant, je dois reprendre des forces, mais je récupère rapidement et je pense que je serai prête à temps.

Quoi qu’il en soit, j’essaie de courir au moins trois fois par semaine avant chaque course. J’alterne avec les routines HIIT et depuis l’année dernière, avec l’équitation. Les deux dernières semaines avant une course, j’augmente aussi mon apport en glucides pour avoir suffisamment de réserves de glucides sur la ligne de départ. Généralement, la veille d’une course, je me repose, je mange des spaghettis et je me couche à l’heure.

Je ferme l’ordinateur, j’enfile ma tenue et c’est parti.

Comment combines-tu cela avec tes horaires de travail ?

 Stéphanie : Je travaille encore beaucoup à domicile. C’est un peu l’idéal pour faire beaucoup de sport. Je préfère courir le matin, mais comme je commence à 7 heures, je suis moins enthousiaste pour me lever et courir à 5 heures du matin. Alors je cours tout simplement après le travail. Je ferme l’ordinateur, j’enfile ma tenue et c’est parti. Et s’il fait trop froid, j’utilise le tapis de course. En écoutant la bonne musique, je trouve toujours la motivation.

Quels conseils donnerais-tu aux consultants qui aimeraient se mettre à la course ?

 Stéphanie : Essayez surtout d’en profiter ! Le sport ne doit pas nécessairement être une compétition. Pour moi, c’est une façon idéale d’éliminer le stress. Voilà aussi pourquoi je n’utilise pas Strava ou une autre application. J’aime bien voir la distance que je parcours, mais le chronomètre n’est plus aussi important pour moi qu’auparavant. Inutile de risquer le burn-out sportif, cela gâcherait le plaisir.

En pratique, je dirais : allez-y progressivement et prenez régulièrement des pauses. Ne courez pas directement 20 kilomètres sans entraînement. Commencez par courir 10 minutes à un rythme modéré, puis enchaînez avec 2 minutes de marche, pour progresser pas à pas. Et même si vous avez une forte motivation intrinsèque, trouvez surtout des facteurs externes pour rendre la course (encore) plus agréable. Un bel environnement, une playlist stimulante ou un chien qui aime courir avec vous peuvent faire toute la différence.

Merci pour ces conseils, Stéphanie, et pour ta belle histoire et ta franchise. Je te souhaite beaucoup de succès et de plaisir dans ta préparation au semi-marathon. Rendez-vous le 27 mars au Topsporthal de Gand. Bon entraînement !

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