Pauwels people

Travailler comme Remediation Consultant: Sophie Clauwers

08 Avr 2020
Chez Pauwels Consulting, nous sommes, jour après jour, à la recherche de consultants motivés qui mèneront à bien les projets de nos clients. Nous parlons donc avec de nombreux candidats et embauchons continuellement de nouveaux collègues qui ont su nous convaincre. Dans notre série « Pauwels Consulting People», nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Sofie Clauwers, consultante en remédiation chez Pauwels Consulting.

Sofie, pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Sofie: Bien sûr ! Je m’appelle Sofie Clauwers et j’ai quarante ans. Je suis mariée depuis onze ans déjà à mon adorable mari Stephan. Il y a trois ans et demi, nous avons décidé de quitter la région de Bruxelles pour s’installer dans la Campine anversoise. Nous y sommes allés à la recherche de nature et de calme.

Que faites-vous dans votre temps libre ?

Sofie: Je trouve agréable et intéressant de cuisiner et de mener une vie saine. Je me rends donc régulièrement au fitness. Si le temps le permet, Stephan et moi allons aussi souvent nous promener ou faire du vélo. Nous essayons également de découvrir un coin du monde de temps à autre, tant sur le plan de la nature que de la culture.

Quelles études avez-vous faites et où les avez-vous faites ?

Sofie: J’ai étudié les techniques pharmaceutiques et biologiques à l’Erasmushogeschool de Bruxelles.

Parlez-nous de votre expérience professionnelle. 

Sofie: J’ai travaillé durant douze ans auprès de la KU Leuven et du Vlaams Centrum voor Bewaring van Tuinbouwproducten (VCBT, centre flamand pour la conservation des produits horticoles). Ma collaboration avec la KUL impliquait de travailler en labo et d’aider les étudiants doctorants dans l’exécution de leurs travaux pratiques. Mon travail comprenait tant le développement de méthodes CLHP que la réalisation de tests de laboratoire de routine. J’ai ainsi appris des techniques de laboratoire à de nombreux étudiants étrangers. Pour le VCBT, nous effectuions principalement des recherches sur la manière dont prolonger la conservation des fruits et légumes belges et dont éviter des maladies.

Comment êtes-vous entrée en contact avec Pauwels Consulting ?

Sofie: Je commençais un peu à me lasser de mon travail auprès de la KUL/du VCBT. Je n’avais pas non plus de perspectives de carrière et ne pouvais pas y changer de poste ou de tâches. C’est pourquoi j’ai décidé de mettre mon CV en ligne et de partir à la recherche d’un autre défi. Un recruteur de Pauwels Consulting m’a appelée peu de temps après.

« Mon entretien avec le recruteur de Pauwels Consulting a été surprenant, direct et professionnel. »
Quelle a été votre première impression ?

Sofie: Il s’agissait de mon premier contact avec une entreprise de consultance. À vrai dire, je ne savais encore que peu de choses sur la consultance, si ce n’est que l’on embauche souvent des consultants pour de brefs projets dans le monde informatique. Mon entretien avec le recruteur de Pauwels Consulting a été surprenant, direct et professionnel. Ce coup de fil a donc été le début de ma nouvelle carrière. (Sourire.) Je travaille chez Pauwels Consulting depuis 2011 déjà. Depuis lors, beaucoup de choses ont changé, bien évidemment. Pauwels Consulting était déjà une entreprise à croissance rapide, mais elle est devenue encore beaucoup plus grande aujourd’hui.

Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur vos projets actuels ?

Sofie: Pour ma première mission chez Pauwels Consulting, j’ai intégré un laboratoire qualité d’une entreprise pharmaceutique. J’y participais au contrôle des médicaments destinés au marché. En 2013, on m’a confié ma deuxième mission auprès d’une autre grande entreprise pharmaceutique. Ma tâche consistait à analyser les « mises à jour des compendiums ». En effet, des « pharmacopées » (des manuels officiels des autorités reprenant des prescriptions) expliquent comment effectuer quels tests de qualité dans le cadre de l’analyse de la plupart des matières premières et médicaments. Ces tests peuvent être mis à jour s’il est nécessaire de recourir à une autre méthode, à un autre appareil ou à une autre documentation de référence… J’informais également les personnes adéquates lorsque ces mises à jour avaient un impact sur nos produits ou techniques dans le monde entier. Je pouvais également contribuer à l’adaptation ou à la création des spécifications internes. Un an plus tard, les règles et la structure d’entreprise ont légèrement évolué pour les collaborateurs externes. On m’a donc chargée d’une nouvelle mission : un projet de remédiation. Aujourd’hui, cela fait deux ans que je travaille sur ce projet en qualité de chef d’équipe et en collaboration avec deux autres collègues.

Quel est l’objectif de ce projet de remédiation ?

Sofie: L’objectif du projet de remédiation est de veiller à ce que tous les sites de l’entreprise implantés partout dans le monde fournissent la même qualité et que la qualité des produits soit testée de la même manière. En outre, chaque pays applique ses propres directives et exigences et nous avons l’obligation de les prendre en compte. Nous venons d’achever notre mission dans un certain nombre de grands pays asiatiques et avons récemment débuté une mission en Amérique du Sud.

Quelles sont vos responsabilités dans le cadre du projet ?

Sofie: Chaque produit a un « responsable technique ». Mes deux autres collègues et moi-même épaulons ce responsable dans le projet de remédiation. Nous nous réunissons et discutons des actions qui doivent être entreprises. Ces actions sont ensuite reprises dans un document de « changement de contrôle ». Chaque site et chaque partenaire externe concerné par quelque mesure que ce soit doit effectuer une évaluation et prendre note des activités nécessaires en vue de réaliser ces changements, tant au niveau du laboratoire qu’au niveau de l’enregistrement. Une fois le document de « changement de contrôle » terminé et approuvé, nous continuerons à assurer le suivi des activités. Ce volet s’étend de la demande de développement de nouvelles méthodes, de l’adaptation de spécifications, du transfert de méthodes et du contrôle que les autres sites se qualifient pour ces nouvelles méthodes à la création et à l’enregistrement de certains documents… De plus, nous rédigeons régulièrement des rapports. Nous y abordons d’éventuels problèmes et les solutions envisageables.

Que trouvez-vous agréable à ce genre de projets ?

Sofie: Je trouve agréable et intéressant de découvrir tant de cultures différentes. Parvenir à s’entendre, surtout quant aux délais, est un grand défi par exemple. Nous avons même suivi une formation sur la manière d’effectuer des réunions avec des collaborateurs issus d’autres cultures et sur les différences culturelles. De nouvelles règles viennent à nouveau d’être introduites chez mon donneur d’ordre actuel. Cette nouvelle réglementation m’amène à ne plus travailler qu’un jour par semaine sur site depuis le mois de juillet.

Avez-vous déjà appris des choses intéressantes chez votre donneur d’ordre actuel ?

Sofie: J’ai tout d’abord été impressionnée par la taille et l’ampleur imposante de mon donneur d’ordre et des grandes différences existant entre les différents sites. Tant de directives varient d’un pays à l’autre, même au niveau de l’enregistrement. Cela rend le tout encore plus complexe. Mais, en soi, ça donne aussi tout son intérêt à ce défi.

« Je trouve agréable et intéressant de découvrir tant de cultures différentes. Parvenir à s’entendre, surtout quant aux délais, est un grand défi par exemple. »

Que voudriez-vous faire après ce projet ? Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?

Sofie: Je crois que je pourrais encore travailler durant quelques années sur ce projet. Ce que je veux faire par la suite ? Je n’y ai pas encore réfléchi, en fait. Je suis très ouverte d’esprit et j’ai toujours envie d’apprendre. Je voudrais toutefois conserver un job administratif et ne plus retourner en laboratoire. En fait, je voudrais simplement avoir un job intéressant où je peux contribuer à un objectif. Dans cinq ans, mon mari pourrait prendre sa retraite et nous pensons à partir passer l’hiver dans des contrées plus chaudes.

Avez-vous encore des pensées ou une citation d’inspiration que vous voudriez partager ?

Sofie: Vu que, le mois passé, j’ai eu quarante ans et que j’ai perdu ma mère il y a deux ans, le fait de vraiment profiter de la vie avec mon mari a gagné en importance. J’aime mon job, comprenez-moi bien, mais après notre journée de travail, nous profitons pleinement de la vie ! Je voudrais donc dire aux autres : profitez le plus possible et en pleine conscience de ce que vous avez.

Ce sont de beaux mots pour finir cet entretien, Sofie. Merci pour l’interview et bonne chance avec vos projets !

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