Pauwels people

Travailler comme Remediation Consultant: Sophie Clauwers

08 Avr 2020
Chez Pauwels Consulting, nous sommes, jour après jour, à la recherche de consultants motivés qui mèneront à bien les projets de nos clients. Nous parlons donc avec de nombreux candidats et embauchons continuellement de nouveaux collègues qui ont su nous convaincre. Dans notre série « Pauwels Consulting People», nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Sofie Clauwers, consultante en remédiation chez Pauwels Consulting.

Sofie, pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Sofie: Bien sûr ! Je m’appelle Sofie Clauwers et j’ai quarante ans. Je suis mariée depuis onze ans déjà à mon adorable mari Stephan. Il y a trois ans et demi, nous avons décidé de quitter la région de Bruxelles pour s’installer dans la Campine anversoise. Nous y sommes allés à la recherche de nature et de calme.

Que faites-vous dans votre temps libre ?

Sofie: Je trouve agréable et intéressant de cuisiner et de mener une vie saine. Je me rends donc régulièrement au fitness. Si le temps le permet, Stephan et moi allons aussi souvent nous promener ou faire du vélo. Nous essayons également de découvrir un coin du monde de temps à autre, tant sur le plan de la nature que de la culture.

Quelles études avez-vous faites et où les avez-vous faites ?

Sofie: J’ai étudié les techniques pharmaceutiques et biologiques à l’Erasmushogeschool de Bruxelles.

Parlez-nous de votre expérience professionnelle. 

Sofie: J’ai travaillé durant douze ans auprès de la KU Leuven et du Vlaams Centrum voor Bewaring van Tuinbouwproducten (VCBT, centre flamand pour la conservation des produits horticoles). Ma collaboration avec la KUL impliquait de travailler en labo et d’aider les étudiants doctorants dans l’exécution de leurs travaux pratiques. Mon travail comprenait tant le développement de méthodes CLHP que la réalisation de tests de laboratoire de routine. J’ai ainsi appris des techniques de laboratoire à de nombreux étudiants étrangers. Pour le VCBT, nous effectuions principalement des recherches sur la manière dont prolonger la conservation des fruits et légumes belges et dont éviter des maladies.

Comment êtes-vous entrée en contact avec Pauwels Consulting ?

Sofie: Je commençais un peu à me lasser de mon travail auprès de la KUL/du VCBT. Je n’avais pas non plus de perspectives de carrière et ne pouvais pas y changer de poste ou de tâches. C’est pourquoi j’ai décidé de mettre mon CV en ligne et de partir à la recherche d’un autre défi. Un recruteur de Pauwels Consulting m’a appelée peu de temps après.

« Mon entretien avec le recruteur de Pauwels Consulting a été surprenant, direct et professionnel. »
Quelle a été votre première impression ?

Sofie: Il s’agissait de mon premier contact avec une entreprise de consultance. À vrai dire, je ne savais encore que peu de choses sur la consultance, si ce n’est que l’on embauche souvent des consultants pour de brefs projets dans le monde informatique. Mon entretien avec le recruteur de Pauwels Consulting a été surprenant, direct et professionnel. Ce coup de fil a donc été le début de ma nouvelle carrière. (Sourire.) Je travaille chez Pauwels Consulting depuis 2011 déjà. Depuis lors, beaucoup de choses ont changé, bien évidemment. Pauwels Consulting était déjà une entreprise à croissance rapide, mais elle est devenue encore beaucoup plus grande aujourd’hui.

Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur vos projets actuels ?

Sofie: Pour ma première mission chez Pauwels Consulting, j’ai intégré un laboratoire qualité d’une entreprise pharmaceutique. J’y participais au contrôle des médicaments destinés au marché. En 2013, on m’a confié ma deuxième mission auprès d’une autre grande entreprise pharmaceutique. Ma tâche consistait à analyser les « mises à jour des compendiums ». En effet, des « pharmacopées » (des manuels officiels des autorités reprenant des prescriptions) expliquent comment effectuer quels tests de qualité dans le cadre de l’analyse de la plupart des matières premières et médicaments. Ces tests peuvent être mis à jour s’il est nécessaire de recourir à une autre méthode, à un autre appareil ou à une autre documentation de référence… J’informais également les personnes adéquates lorsque ces mises à jour avaient un impact sur nos produits ou techniques dans le monde entier. Je pouvais également contribuer à l’adaptation ou à la création des spécifications internes. Un an plus tard, les règles et la structure d’entreprise ont légèrement évolué pour les collaborateurs externes. On m’a donc chargée d’une nouvelle mission : un projet de remédiation. Aujourd’hui, cela fait deux ans que je travaille sur ce projet en qualité de chef d’équipe et en collaboration avec deux autres collègues.

Quel est l’objectif de ce projet de remédiation ?

Sofie: L’objectif du projet de remédiation est de veiller à ce que tous les sites de l’entreprise implantés partout dans le monde fournissent la même qualité et que la qualité des produits soit testée de la même manière. En outre, chaque pays applique ses propres directives et exigences et nous avons l’obligation de les prendre en compte. Nous venons d’achever notre mission dans un certain nombre de grands pays asiatiques et avons récemment débuté une mission en Amérique du Sud.

Quelles sont vos responsabilités dans le cadre du projet ?

Sofie: Chaque produit a un « responsable technique ». Mes deux autres collègues et moi-même épaulons ce responsable dans le projet de remédiation. Nous nous réunissons et discutons des actions qui doivent être entreprises. Ces actions sont ensuite reprises dans un document de « changement de contrôle ». Chaque site et chaque partenaire externe concerné par quelque mesure que ce soit doit effectuer une évaluation et prendre note des activités nécessaires en vue de réaliser ces changements, tant au niveau du laboratoire qu’au niveau de l’enregistrement. Une fois le document de « changement de contrôle » terminé et approuvé, nous continuerons à assurer le suivi des activités. Ce volet s’étend de la demande de développement de nouvelles méthodes, de l’adaptation de spécifications, du transfert de méthodes et du contrôle que les autres sites se qualifient pour ces nouvelles méthodes à la création et à l’enregistrement de certains documents… De plus, nous rédigeons régulièrement des rapports. Nous y abordons d’éventuels problèmes et les solutions envisageables.

Que trouvez-vous agréable à ce genre de projets ?

Sofie: Je trouve agréable et intéressant de découvrir tant de cultures différentes. Parvenir à s’entendre, surtout quant aux délais, est un grand défi par exemple. Nous avons même suivi une formation sur la manière d’effectuer des réunions avec des collaborateurs issus d’autres cultures et sur les différences culturelles. De nouvelles règles viennent à nouveau d’être introduites chez mon donneur d’ordre actuel. Cette nouvelle réglementation m’amène à ne plus travailler qu’un jour par semaine sur site depuis le mois de juillet.

Avez-vous déjà appris des choses intéressantes chez votre donneur d’ordre actuel ?

Sofie: J’ai tout d’abord été impressionnée par la taille et l’ampleur imposante de mon donneur d’ordre et des grandes différences existant entre les différents sites. Tant de directives varient d’un pays à l’autre, même au niveau de l’enregistrement. Cela rend le tout encore plus complexe. Mais, en soi, ça donne aussi tout son intérêt à ce défi.

« Je trouve agréable et intéressant de découvrir tant de cultures différentes. Parvenir à s’entendre, surtout quant aux délais, est un grand défi par exemple. »

Que voudriez-vous faire après ce projet ? Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?

Sofie: Je crois que je pourrais encore travailler durant quelques années sur ce projet. Ce que je veux faire par la suite ? Je n’y ai pas encore réfléchi, en fait. Je suis très ouverte d’esprit et j’ai toujours envie d’apprendre. Je voudrais toutefois conserver un job administratif et ne plus retourner en laboratoire. En fait, je voudrais simplement avoir un job intéressant où je peux contribuer à un objectif. Dans cinq ans, mon mari pourrait prendre sa retraite et nous pensons à partir passer l’hiver dans des contrées plus chaudes.

Avez-vous encore des pensées ou une citation d’inspiration que vous voudriez partager ?

Sofie: Vu que, le mois passé, j’ai eu quarante ans et que j’ai perdu ma mère il y a deux ans, le fait de vraiment profiter de la vie avec mon mari a gagné en importance. J’aime mon job, comprenez-moi bien, mais après notre journée de travail, nous profitons pleinement de la vie ! Je voudrais donc dire aux autres : profitez le plus possible et en pleine conscience de ce que vous avez.

Ce sont de beaux mots pour finir cet entretien, Sofie. Merci pour l’interview et bonne chance avec vos projets !

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer

Pauwels people

Dax aide à développer un test de dépistage du VIH

30 Mar 2020
Dans notre série ‘Pauwels People’, nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets chez Pauwels Consulting. Aujourd’hui, nous faisons connaissance avec Dax Lauwers, scientifique en R&D chez Johnson & Johnson. Au cours des derniers mois, il a participé au développement d'un test VIH précis qui faciliterait l'approbation du vaccin contre le VIH.

Pouvez-vous vous présenter ?

Bonjour, je m’appelle Dax Lauwers, j’ai 23 ans et je vis avec ma petite amie à Anvers. Je suis consultant en Sciences de la Vie chez Pauwels Consulting et je travaille actuellement sur mon premier projet en tant que scientifique en R&D chez J&J.

Que faites-vous pendant votre temps libre ?

Je passe une grande partie de mon temps libre sur le terrain de rugby en tant qu’entraîneur pour les 12 à 14 ans et en tant que joueur. C’est le moyen idéal pour moi de me vider l’esprit à nouveau. J’apprécie aussi énormément de passer du temps avec ma petite amie ou les soirées-jeux entre amis ou en famille.

Qu’avez-vous étudié ?

Mon diplôme le plus élevé est une licence professionnelle en biochimie. Je l’ai obtenu à l’AP-Hogeschool d’Anvers. Avant cela, j’ai suivi un enseignement secondaire technique en chimie parce que les sciences ont toujours été une passion pour moi !

Pouvez-vous nous en dire plus sur le vaccin contre le VIH et sur votre test de dépistage du VIH ?

Le vaccin contre le VIH que J&J développe est actuellement en phase 3. Au cours de cette phase, il sera évalué si le vaccin protège efficacement contre le virus. Cela signifie qu’un certain « groupe à risque » est vacciné et nous vérifions si cela a un effet sur le nombre d’infections par le VIH dans ce groupe. Cependant, le vaccin pose un problème. Les personnes qui sont vaccinées doivent faire face à la « séropositivité induite par le vaccin » (VISP). Cela signifie que les tests sérologiques actuels de dépistage du VIH ne permettent pas de distinguer une personne infectée par le VIH d’une personne vaccinée. Avec un test PCR, cela reste possible, mais il est coûteux et n’est pas disponible partout (électricité nécessaire, équipement et réactifs coûteux,…).

L’objectif de notre équipe est de développer un test sérologique VIH très sensible, aussi sensible que les tests actuels, capable de distinguer les personnes vaccinées de celles qui sont infectées. Pour ce faire, nous recherchons des anticorps spécifiques induits par le virus, mais pas par le vaccin.

Au sein du département de recherche, nous sommes une petite équipe de deux personnes, mais à part nous, il y a beaucoup d’autres personnes qui travaillent aussi sur ce projet pour y parvenir. C’est une tâche importante car sans ce nouveau test, il y a de fortes chances que le vaccin soit beaucoup moins utilisé, une fois qu’il aura été approuvé par les différentes autorités.

À quoi ressemble une journée de travail moyenne pour vous ?

Je passe la majeure partie de la journée dans le laboratoire à produire de nouvelles données. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Je prépare les expérimentations, je supervise l’exécution, le traitement et j’analyse les données. Plus tard, les données sont ensuite visualisées sous forme de graphiques et je discute des résultats avec le chef de projet.

S’il me reste du temps, je documente méticuleusement les expérimentations.

En quoi consiste exactement une telle expérimentation ?

lifesciences consultancy biotechNous testons les réactions au sérum, qui est une partie du sang qui contient les anticorps. Nous utilisons des échantillons sains, des échantillons vaccinés ainsi que des échantillons infectés par le VIH. Nous mettons ensuite nos échantillons, environ un microlitre (0,000,001 L), dans plusieurs tubes à essai sur une plaque de 96 puits. Ensuite, nous ajoutons des antigènes. Lorsque les antigènes reconnaissent les anticorps, ils se lient entre eux.

Ensuite, nous effectuons une étape de détection à l’aide d’une enzyme. Si l’échantillon réagit à l’antigène, cette enzyme provoque une réaction de couleur bleue lorsqu’un réactif est ajouté. De cette façon, nous pouvons voir quel antigène déclenche une réaction. L’objectif est de trouver les antigènes auxquels les patients séropositifs réagissent, mais pas les patients vaccinés. À l’heure actuelle, nous avons déjà trouvé 4 antigènes prometteurs. Il arrive, par exemple, que l’antigène A réagisse sur les 7 premiers échantillons, mais pas sur les trois derniers, et l’antigène B dans l’autre sens. Ces antigènes peuvent alors éventuellement être combinés.

« Je tire beaucoup de motivation et d’énergie du sentiment que je fais quelque chose de significatif pour le monde, et c’est le sentiment que j’ai avec ce projet. »

Où trouve-t-on suffisamment d’échantillons à tester ?

Au départ, nous ne testons qu’environ 30 à 40 échantillons, dont un certain nombre sont sains, infectés et vaccinés. S’il y a des signes vraiment prometteurs, nous testerons un ensemble d’échantillons plus important, par exemple 200 personnes saines et vaccinées et 150 patients atteints du VIH. Nous achèterons ces échantillons de patients atteints du VIH dans de grandes ‘bio banques’, tandis que les échantillons des personnes vaccinées proviendront des essais cliniques déjà réalisés avec le vaccin. L’ensemble doit, bien sûr, être suffisamment représentatif, donc plus il y en a, mieux c’est.

Voulez-vous contribuer à la recherche révolutionnaire, tout comme Dax ?

Avez-vous rencontré des problèmes jusqu’à présent et, si oui, comment les avez-vous résolus ?

Nous avons eu quelques difficultés au début de l’année. Les données n’étaient pas aussi bonnes que prévu et il y avait quelque chose qui a causé beaucoup de variations pendant les tests. Il a fallu un certain temps avant de trouver la cause de ces variables et les données étaient à nouveau conformes à ce que nous voulions.

Dans ces moments-là, j’essaie toujours de rester positif et de ne pas me laisser influencer par le stress ou les frustrations. Ce n’est pas parce que les données ne sont pas comme nous le voulons que l’atmosphère doit en souffrir ? !

Y a-t-il une certaine pression temporelle ?

Nous sommes un projet hautement prioritaire et nous espérons qu’un « concept » sera prêt d’ici la fin de l’année, mais nous n’avons pas de date limite. De préférence, nous aimerions qu’un nouveau test soit effectué sur le marché avant que le vaccin ne soit approuvé.

Une fois le test terminé, le vaccin pourra-t-il être approuvé par la FDA ?

Lorsque notre ‘concept’ sera prêt, il sera transmis à une société de biotechnologie qui décidera alors de la « forme » ou de l’enveloppe sous laquelle le test sera conditionné. Par exemple, comme test de grossesse ou comme test de laboratoire.

Une fois le « conditionnement » déterminé et le test jugé fiable, la FDA et d’autres agences gouvernementales peuvent l’approuver et le nouveau produit de diagnostic peut être produit et mis en œuvre.

Comment êtes-vous entré en contact avec Pauwels Consulting et quelle a été votre première impression ?

Dax Lauwers R&D Scientist bij J&JJe cherchais activement un nouveau défi et j’avais posé ma candidature pour un poste vacant chez Pauwels Consulting. Malheureusement, cela n’a pas marché, mais un peu plus tard, j’ai été recontacté par le même recruteur pour m’informer qu’il avait trouvé un poste vacant qui me convenait parfaitement. Et il avait raison : Chercheur en R&D chez Johnson & Johnson.

Ils m’ont informé en détail sur le projet, la vie de consultant et les questions liées au contrat. Cela m’a donné le sentiment que Pauwels Consulting est une entreprise très professionnelle.

Qu’est-ce qui vous plaît dans ce genre de projets de R&D ?

Je tire beaucoup de motivation et d’énergie du sentiment que je fais quelque chose de significatif pour le monde, et c’est le sentiment que j’ai avec ce projet.

Que pensez-vous de l’expérience en matière de conseil jusqu’à présent ?

Ce n’est que mon premier projet, mais j’ai une expérience très positive en tant que consultant. Les clients vous accueillent à bras ouverts et j’ai vraiment le sentiment de jouer un rôle important dans l’équipe.

Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?

Après cela, j’aimerais travailler à nouveau sur un projet de R&D en biochimie ou en immunologie, afin d’acquérir plus d’expérience.

Avez-vous de bons conseils pour les débutants en R&D ?

Oui, vous pouvez toujours apprendre de vos données, qu’elles soient bonnes ou mauvaises !

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer

Pauwels people

Travailler dans l’équipe de Conformité Technique CSM

29 Fév 2020
Dans notre série « Pauwels People », nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Tom Van Hees, consultant senior en services d'ingénierie chez Pauwels Consulting.

Bonjour, Tom. Pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Bien sûr. Je m’appelle Tom Van Hees, j’ai trente-six ans et j’habite à Zonhoven avec ma femme et mes deux filles Nine et Lore.

Quelles études avez-vous faites ?

J’ai achevé mes études en tant qu’ingénieur industriel en chimie avec la biochimie comme option à la Katholieke Hogeschool Limburg (haute école catholique Limbourg).

Pourquoi avez-vous choisi ces études exactement ?

J’ai choisi la filière ingénieur industriel en raison de mon intérêt pour la technique d’une part et pour la médecine et la biochimie d’autre part. La formation réunit ces deux passions. Le diplôme d’ingénieur industriel ouvre un éventail de possibilités sur le marché de l’emploi, ce qui était également un atout important pour moi.

Qu’avez-vous fait après vos études ?

Je travaille dans l’industrie pharmaceutique depuis 2003. Pour commencer, j’ai travaillé presque cinq ans comme ingénieur en validation chez Schering-Plough (aujourd’hui MSD). En 2008, j’ai pris mes fonctions chez Pauwels Consulting.

Comment êtes-vous entré en contact avec Pauwels Consulting exactement?

Un des recruteurs de chez Pauwels Consulting m’a contacté pour une série de défis intéressants. Une chose en amenant une autre… Désormais, cela fait déjà huit ans que je fais partie de l’équipe.

Quels projets avez-vous déjà réalisés pour Pauwels Consulting?

Voyons voir. D’abord, j’ai validé l’équipement de laboratoire dans le laboratoire chimique de Pfizer. Ensuite, j’ai apporté mon soutien à la validation de la phase logique (le pilotage des logiciels) chez Genzyme. J’ai également été chef de projet pour un projet NEP+ sur le site de Genzyme. Il s’agissait d’un projet d’optimisation des processus de nettoyage en place.

J’ai également travaillé comme ingénieur en conformité technique chez Janssen Pharmaceutica à Geel. Et, depuis l’année passée, je suis le chef et le point de contact unique (PCU) de l’équipe de conformité technique CSM chez Janssen Pharmaceutica.

L’équipe de conformité technique CSM chez Janssen Pharmaceutica… C’est quoi exactement?

L’année passée, le 1er juillet 2015, Pauwels Consulting a introduit le premier « contrat de services managés (CSM) » chez Janssen Pharmaceutica sur la base de la loi relative à l’emploi de tiers. Le but de ce CSM est de centraliser le recrutement, l’administration, la formation, le coaching, l’évaluation et l’optimisation des collaborateurs externes et de réduire ainsi le nombre de firmes contractantes.

« Une bonne équipe composée de personnes flexibles et passionnées est l’élément le plus important pour un CSM fructueux. »

Quel est l’avantage d’un CSM pour Janssen ?

Grâce à la formule CSM, Janssen Pharmaceutica peut sous-traiter une série de tâches. Un CSM est une formule flexible dans le cadre de laquelle une partie de la responsabilité des collaborateurs externes de Janssen Pharmaceutica est transférée à Pauwels Consulting. Un contrat de services managés offre également à Janssen Pharmaceutica une meilleure vue d’ensemble des firmes contractantes en présence. En outre, les collaborateurs externes sont désormais centralisés. Cela réduit les coûts et offre une marge de renégociation des contrats.

Quelle est votre responsabilité au sein du CSM ?

Je suis responsable de la réception des candidatures, de la gestion quotidienne de l’équipe de conformité, du planning des ressources et de la formation et la répartition des projets que nous effectuons chez Janssen Pharmaceutica. En tant que point de contact unique (PCU), je suis l’intermédiaire, avec Mélodie, entre Pauwels Consulting et Janssen Pharmaceutica pour le CSM. Je suis le point de contact aussi bien pour l’équipe que pour le client. Cela facilite la communication.

Dans quels projets sommes-nous impliqués ?

Le contenu des projets est très varié. Cela peut aller de petites modifications en termes d’équipement de processus à de grands projets de migration (Delta V) et de rénovation (Plant 3) et la construction d’un nouveau dépôt de données. Avec mes collègues chez Pauwels Consulting, j’apporte mon soutien en matière de conformité pendant ces projets. Ensuite, nous soutenons également d’autres processus dans le CSM, comme

    • le PSQR : l’évaluation périodique du statut qualifié de l’équipement ;
    • le HAZOP : des analyses des risques ;
    • l’EHS by design ;
    • le traitement des anomalies de calibration.

Enfin, le CSM comprend aussi un groupe qui soutient la validation de processus de la rédaction technique et une personne qui prend en charge la qualification de l’équipement de laboratoire.

Quels ont été les points positifs du CSM jusqu’à présent et pourquoi ?

La plupart du temps, les résultats du CSM sont évalués de manière très positive. Le fonctionnement général du CSM se déroule donc assez bien.

Et qu’est-ce qui pourrait aller mieux ?

Pour un déroulement fluide du CSM, la continuité est importante, mais pas évidente. Ainsi, de nombreux ingénieurs en conformité sont partis et/ou s’occupent d’un autre projet. Cela a impliqué une charge supplémentaire pour l’équipe existante pour ce qui est de l’efficacité, des nouvelles formations, etc. L’arrêt a donc été assez chaotique et agité.

Qu’entendez-vous changer dans votre approche ?

Pendant l’arrêt suivant, nous serons sûrement en effectifs suffisants. Et, sur le plan de la continuité, je prendrai davantage en compte l’engagement et la motivation des candidats pendant les entretiens d’embauche. Ensuite, je prévoirai plus de moments de concertation.

Avez-vous encore quelques conseils pour des CSM fructueux sur la base de votre expérience?

Une bonne équipe composée de personnes flexibles et passionnées est l’élément le plus important pour un CSM fructueux. Et le client et le point de contact unique doivent convenir de bons accords sur la portée du CSM, les responsabilités, etc. Ensuite, on doit s’accorder sur des rôles clairs, se concerter suffisamment et veiller à un contact positif avec l’ensemble des clients.

Merci pour ces sages conseils, Tom, et bonne chance avec tous vos projets !

Voulez-vous travailler sur des projets tout comme Tom?

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer

Pauwels people

Travailler comme Chef de Projet en Allemagne – Danny Germanus

27 Fév 2020
Dans notre série ‘Pauwels People’, nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets chez Pauwels Consulting. Aujourd’hui, nous faisons connaissance avec Danny Germanus, Chef de Projet en Allemagne.

Danny, pouvez-vous nous parler un peu de vous ? 

Bonjour, je suis Danny Germanus, chef de projet chez Pauwels Consulting. Après mes études en électricité et en mathématiques, j’ai travaillé pendant six ans comme chef de chantier pour un installateur électriques. Cet installateur était spécialisé dans le placement de l’éclairage pour de grands projets d’éclairage.

Par la suite, j’ai travaillé comme chef de chantier pour le même installateur. À l’époque, je travaillais principalement sur les plus grands projets d’éclairage où nous installions des cabines moyenne tension pour fournir aux PME une alimentation électrique et un tableau général basse tension.

Avez-vous toujours travaillé dans la même entreprise ? 

Non, entre ces deux fonctions, j’ai travaillé pour une autre entreprise pendant environ 5 ans en tant que responsable du service technique, responsable du département technique. J’étais responsable de la maintenance préventive de toutes les machines pour éviter tout arrêt de production. Juste avant de rejoindre Pauwels Consulting, j’ai également occupé un poste de chef de projet dans une entreprise d’installation.

Quand et où êtes-vous entré en contact avec Pauwels Consulting ? 

Je travaille pour Pauwels Consulting depuis janvier 2011. Un consultant en recrutement m’a contacté au sujet d’un poste vacant de chef de chantier chez TUC Rail pour le projet ferroviaire 25N, également connu sous le nom de « projet Diabolo ». Ils voulaient construire une liaison ferroviaire directe entre Malines et l’aéroport de Bruxelles.

Lorsque j’ai commencé le projet, je n’avais aucune expérience dans le secteur ferroviaire. J’ai donc insisté pour commencer comme superviseur de chantier, plutôt que comme chef de chantier. Cela m’a permis d’acquérir de l’expérience dans la manière de travailler et les procédures au sein de l’industrie ferroviaire. Mon expérience en tant que chef de projet m’a vraiment beaucoup aidé.

« Je trouve important qu’en tant que consultant débutant, vous montriez suffisamment de respect pour l’équipe pour laquelle vous travaillez. De cette façon, vous pouvez obtenir un échange d’informations clair. »

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur le projet Diabolo ? 

Diabolo project

Pour moi, le projet Diabolo a été ma première expérience avec la caténaire pour le trafic ferroviaire de la SNCB. À l’époque, plusieurs travaux de génie civil importants étaient déjà terminés, tels que les tunnels situés en dessous de l’aéroport, le lit de la réserve centrale de l’autoroute E19 entre Malines et Bruxelles et le pont ferroviaire de la réserve centrale vers la gare de Malines. Il s’agissait d’une liaison importante dans laquelle la gare située en dessous de l’aéroport n’était plus nécessairement une gare d’arrêt, mais où le trafic pouvait passer en continu.

Après 8 mois, vous avez été promu de superviseur de chantier à chef de chantier et chef de la construction. C’est une sacrée progression ! 

En effet, après 8 mois en tant que superviseur de chantier, j’ai été nommé chef de chantier remplaçant. Plus tard, en raison de circonstances imprévues au cours du projet Diabolo, le chef de la construction n’a plus pu exercer sa fonction. Alors, j’ai pris ses responsabilités aussi. Je dois dire que j’ai beaucoup appris au cours de ce projet ! Par exemple, en tant que chef de chantier, je devais non seulement superviser le chantier, mais j’étais aussi responsable de tous les travaux effectués par nos entrepreneurs.

J’ai également appris de précieuses leçons en tant que chef de la construction. Alors que je venais de commencer, le projet Diabolo était en phase d’homologation. Des tests et des mesures supplémentaires sur les caténaires ont été nécessaires pour terminer la connexion ferroviaire et la mettre en service. J’ai également eu l’occasion de travailler sur ce projet, qui était fantastique !

Voulez-vous travailler sur des projets tout comme Danny ?

Qu’est-ce qui vous plaît dans ce genre de projets ? 

Le client adopte le plus souvent une approche organisationnelle. Un projet est lancé, exécuté et terminé. La plupart des missions débouchent sur de nouveaux projets, ce qui offre des possibilités de croissance.

Il y a donc beaucoup de perspectives d’avenir. La collaboration avec les collègues est généralement très bonne, vous pouvez toujours demander des informations à n’importe qui.

Où avez-vous commencé à travailler après le projet Diabolo ?  

En mai 2012, j’ai commencé à travailler comme chef de chantier sur le projet qui assure la nouvelle connexion entre les rives gauche et droite du port d’Anvers. Cette connexion est maintenant connue sous le nom de « Liefkenshoek railway link ». Normalement, cette mission aurait dû durer jusqu’en 2016.

Cependant, mon employeur recherchait de toute urgence un chef de la construction de la ligne aérienne pour la nouvelle ligne 50E, Bruxelles – Gand. J’ai donc relevé le défi de travailler comme consultant en haute tension sur le projet GEN entre Anderlecht & Ternat. Après cela, un nouveau monde m’a ouvert ses portes, pas la haute tension comme je l’ai toujours connue, mais la « vraie affaire » : des lignes à haute tension de 70, 150 et 380 kV.

J’ai postulé pour un emploi chez Omexom Belgique et j’ai rapidement pu commencer comme chef de chantier. Grâce à mes bonnes connaissances linguistiques, j’ai été détaché par Omexom Belgique auprès d’Omexom Hochspannung GmbH, en Allemagne. On leur a confié un important projet en Belgique et j’ai eu l’occasion de travailler comme chef de chantier sur la construction d’une nouvelle ligne compacte de 380 kV. Il s’agissait principalement de la construction de mâts avec des collègues francophones et italophones. Plus tard, pour l’installation des conducteurs, j’ai collaboré avec des collègues allemands.

Qu’est-ce qui vous a convaincu de faire le grand saut en Allemagne ? 

Dan

Après un autre projet de suivi et une expérience intérimaire avec des équipes allemandes en soutien à la réalisation d’un projet pour Omexom France, j’ai eu un avant-goût des projets à l’étranger. Après avoir réalisé un projet de rénovation en Belgique, il était clair que je n’avais pas peur des projets étrangers.

Comme le détachement en Allemagne via Omexom Belgique s’est avéré assez difficile à l’époque, j’ai choisi de contacter Jan Fyens, directeur de l’unité commerciale Ingénierie chez Pauwels Consulting. Nous étions restés en contact toutes ces années, alors j’ai vérifié si cela pouvait être une possibilité via Pauwels Consulting. Avec l’aide de Jan & Bernd, Talent Manager, j’ai pu commencer mon aventure allemande !

Êtes-vous – à ce jour – satisfait de votre expérience allemande ?  

Je suis chef de projet depuis un peu plus d’un an et même s’il n’est pas toujours facile pour un étranger de s’intégrer dans le monde de «  lignards » ( les travaux de câbles à haute tension), j’ai un sentiment très positif. J’attends avec impatience la période à venir !

Si vous pouviez résumer votre carrière de consultant chez Pauwels en trois mots, lesquels serait-ce ? 

Je pourrais résumer l’ensemble de ma carrière chez Pauwels Consulting avec les mots : esprit d’équipe, dynamisme et compétence. Pour l’instant, je peux exprimer mon sentiment actuel de « retour à la maison ».

Avez-vous des conseils à donner à vos futurs collègues ?  

À chaque étape de ma carrière, je pourrais compter sur une bonne collaboration avec mes collègues. Le respect mutuel et une communication ouverte, claire et transparente sont des atouts ou des compétences importantes. Tout le monde n’est pas également accessible aux nouveaux collègues.

Je trouve important qu’en tant que consultant débutant, vous montriez suffisamment de respect pour l’équipe pour laquelle vous travaillez. De cette façon, vous pouvez obtenir un échange d’informations clair. Le travail est plus fluide, plus constructif et surtout, plus agréable !

Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ? 

Au départ, je voulais encore faire quelque chose dans le secteur offshore, par exemple travailler sur une plateforme de forage ou avec l’énergie éolienne, mais je pense que je vais rester sur place pour le moment. Je me suis très bien familiarisé avec le monde «Lignard »et je l’aime bien ?

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer

Blog

Travailler comme Project Manager Labs: Joeri Vercammen

15 Jan 2020
Dans notre série « Pauwels People », nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets chez Pauwels Consulting. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Joeri Vercammen, Project Manager Labs chez Sanofi.

Bonjour, Joeri. Pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Joeri: Avec plaisir ! Je m’appelle Joeri Vercammen. J’ai quarante et un ans, je suis marié et j’ai deux enfants : Noah a huit ans et Brynn en a six. « Je suis par nature un entrepreneur. Je suis très actif et j’aime passer rapidement d’une tâche à l’autre. »

Que faites-vous en dehors du travail?

Joeri: Le peu de temps libre que j’ai, j’essaie de le passer avec ma famille. Ensuite, j’aime également entretenir ma forme en faisant du sport récréatif. Je fais régulièrement du fitness par exemple.

Quelles études avez-vous faites?

Joeri: J’ai étudié la chimie à l’université de Gand. En 2002, j’ai décroché un doctorat en chromatographie/spectrométrie de masse.

Quel est votre parcours professionnel?

Joeri: Après mes études, j’ai travaillé pendant six ans en tant que gestionnaire opérationnel d’un laboratoire environnemental. Depuis que j’ai quitté ce poste, je suis actif comme consultant indépendant, m’orientant spécifiquement vers les défis relatifs à la « gestion de laboratoire ».

Des défis relatifs à la « gestion de laboratoire » ? En quoi cela consiste-t-il exactement?

Joeri: Eh ben, je m’occupe de la « rationalisation » ou amélioration des procédures de mesure en combinant de manière intelligente les dispositifs existants et les nouvelles techniques. Ensuite, je détermine le juste équilibre entre l’optimisation du délai de procédure (« lean management ») et la gestion de qualité. Mon job me demande au quotidien une dose saine de créativité et de persévérance pour aboutir à des solutions appropriées. C’est justement ce qui le rend passionnant.

Pourquoi avoir choisi de travailler en tant qu’indépendant?

Joeri: Je suis par nature un entrepreneur. Je suis très actif et j’aime passer rapidement d’une tâche à l’autre. C’est la raison pour laquelle j’ai parfois du mal lorsque je suis confronté à l’inertie ou à la lenteur que l’on voit souvent dans les grandes entreprises.

Quels sont les avantages les plus importants du statut d’indépendant?

Joeri: La liberté de choisir soi-même des projets intéressants ou d’élaborer des opportunités est, à mes yeux, un immense avantage. J’adore entrer en contact avec différentes personnes, déployer mon propre réseau et créer par moi-même de nouvelles opportunités au sein de ce réseau.

Y a-t-il également des inconvénients à ce statut?

Joeri: Oui, bien sûr. L’insécurité pour réussir à long terme donne tout de même une pression supplémentaire. Cette pression, il vaut mieux la transformer en une énergie positive. On ne peut se laisser mener par celle-ci, ce qui n’est pas toujours si simple.

« Mon job me demande au quotidien une dose saine de créativité et de persévérance pour aboutir à des solutions appropriées. C’est justement ce qui le rend passionnant. »
Pourriez-vous citer quelques beaux projets que vous avez menés au cours de votre carrière?

Joeri: J’ai accompagné et/ou réalisé plus ou moins trois cents projets au fil des années. Assez difficile donc d’en choisir un en particulier. (Rires.) Si je dois cependant choisir, je choisirai une série de projets que j’ai réalisés dans le cadre de la nouvelle technologie de mesure « SIFT-MS ». Cette technologie est révolutionnaire pour l’analyse de composantes gazeuses et j’ai contribué à sa commercialisation. Grâce à ces projets, j’ai également pu passer du temps chez le producteur en Nouvelle-Zélande (Syft Technologies). Un pays magnifique!

Travaillez-vous parfois à différents projets simultanément?

Joeri: La plupart du temps oui. Normalement, j’accompagne plusieurs projets en même temps et j’interviens en tant que responsable opérationnel. À cet égard, je travaille, la plupart du temps, en étroite collaboration avec des experts dévoués chez le client, au nom du donneur d’ordre.

Pourriez-vous citer quelques donneurs d’ordre intéressants?

Joeri: Interscience me vient spontanément à l’esprit. Il s’agit d’un fournisseur d’appareillage de laboratoire dans le Benelux. Pour cette entreprise, j’ai notamment accompagné des études de faisabilité et évalué de nouveaux appareils. SampleQ a également été un client intéressant. C’est un fournisseur de systèmes de préparation d’échantillons automatisés. Ils ont fait confiance à mon expérience en matière de « lean management » pour simplifier les processus de laboratoire manuels et pour les transposer en une alternative automatisée.

Comment êtes-vous finalement arrivé chez Pauwels Consulting?

Joeri: Cela fait des années que je reçois les offres d’emploi de quelques sites pour rester au courant des besoins au sein du marché du laboratoire. Évidemment, Pauwels Consulting est une entreprise très active dans ce domaine et offre régulièrement des projets intéressants, notamment pour les indépendants. J’ai donc pris contact avec Pauwels Consulting pour voir ce que nous pouvions faire l’un pour l’autre. Fin 2015, cela a mené à une première collaboration.

Voulez-vous travailler aussi comme Project Manager?

Vous venez aussi d’achever un beau projet chez Genzyme pour Pauwels Consulting. Pourriez-vous en dire quelques mots?

Joeri: Il y a quelques années, Genzyme, « Pharming » à l’époque, a entamé quelques activités de recherche dans la « Technologiehuis » (maison de la technologie) à la Cipalstraat à Geel. Ces activités, dont notamment la construction de l’usine pilote, ont finalement abouti à un premier produit actif avec l’approbation FDA. Ces dernières années, Genzyme a connu une forte croissance. Ainsi, la « Technologiehuis » est devenue trop petite pour héberger de manière efficace l’ensemble des activités de recherche. C’est pourquoi l’entreprise, au cours de l’année 2015, s’est lancée dans la construction d’un laboratoire entièrement neuf pour les MSAT (« Manufacturing Sciences And Technology », sciences et technologie de fabrication).

Quel était l’objectif du projet?

Joeri: L’objectif du projet était de rédiger un plan de déménagement et de coordonner le déménagement de l’ensemble des instruments de laboratoire. Dans ce cadre, on devait tenir compte des exigences spécifiques sur le plan de l’assurance qualité en ce qui concerne les BPF et la complexité des instruments en soi. En d’autres termes, je devais dégager une logique dans un ensemble complexe d’instruments, plus de huit cents articles, en coordonnant les exigences.

Un boulot considérable apparemment. Quel était le délai de ce projet?

Joeri: Le projet a débuté le 4 janvier et le déménagement a eu lieu début avril. Le suivi a duré jusqu’au mois de mai.

Quelles parties étaient impliquées dans ce projet?

Joeri: Voyons voir… La direction MSAT, les représentants de divers départements MSAT, les représentants AQ, validation, calibration, finances et approvisionnements, les gestionnaires de projet pour la construction du nouveau laboratoire et un responsable opérationnel du site. En outre, une entreprise de déménagement a également été engagée et on a aussi fait appel à des fournisseurs d’instruments pour un soutien supplémentaire.

Quelle était votre responsabilité dans ce projet?

Joeri: J’étais responsable du développement du plan de déménagement, de la concertation avec l’entreprise de déménagement et de la coordination du déménagement. J’étais également la personne de contact de première ligne pour toutes les questions en rapport avec le déménagement.

Quelles étaient vos tâches quotidiennes?

Joeri: Les premiers mois, j’ai avant tout inventorié les différents biens et j’ai répertorié les besoins des différents départements au sein et en dehors des MSAT. Ensuite, j’ai également coordonné moi-même le déménagement et j’y ai pris part de manière active.

Quels résultats avez-vous atteints?

Joeri: En un mot comme en cent : le déménagement a été réalisé avec succès dans le délai préétabli. (Sourire.)

Qu’avez-vous appris pendant le projet?

Joeri: J’ai appris que, s’il est important d’avoir un planning, celui-ci ne doit pas être trop rigide. En effet, il y a toujours des problèmes inattendus auxquels on ne peut se préparer. Nous avions, par exemple, dressé un timing prudent pour le déménagement de tous les articles. Sur papier, ce planning était composé de deux « vagues » avec une semaine entre les deux, mais la motivation et le travail acharné des collaborateurs MSAT ont fait exploser le nombre d’articles disponibles pour le déménagement dès la première vague. Nous avons alors décidé de tout simplement laisser partir cette vague. Résultat : nous sommes tout à coup tombés à court de matériel de déménagement, comme des conteneurs, des palettes, etc.

Quels ont été les côtés agréables du projet?

Joeri: J’ai trouvé la collaboration avec les personnes des différents départements très agréable. Grâce à notre équipe motivée, tout s’est déroulé de façon fluide.

Quels ont été les côtés moins agréables du projet?

Joeri: Aucun. Ou peut-être un : pour pouvoir déménager une partie des instruments, on avait besoin d’une grue. Je n’ai quand même pas très bien dormi la veille du jour où nous avons dû l’utiliser. (Rires.) Mais, finalement, cela s’est également déroulé sans gros problème.

« Les possibilités au sein du « réseau Pauwels Consulting » sont énormes. Je dirais : montrez-vous ouvert à ces possibilités et collaborez-y activement. »
Quelles sont vos ambitions personnelles pour l’avenir? Quel(s) genre(s) de missions voudriez-vous encore réaliser à l’avenir?

Joeri: Tout ce qui a trait à l’univers du laboratoire, dans le sens le plus large du terme, me fascine énormément. J’ai cependant une légère préférence pour les projets « top-down ». Par là, je veux dire des projets dans le cadre desquels je peux travailler au niveau organisationnel et, de préférence, dans le domaine R&D.

Avez-vous des tuyaux pour les nouveaux/futurs collègues?

Joeri: Les possibilités au sein du « réseau Pauwels Consulting » sont énormes. Je dirais : montrez-vous ouvert à ces possibilités et collaborez-y activement. La première étape, à savoir la décision de s’engager sur une nouvelle voie, est généralement la plus difficile, mais, une fois que vous serez lancé, tout s’enchaînera sans problème.

Merci pour ces sages conseils, Joeri, et bonne chance avec vos projets!

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer

Pauwels people

Travailler comme Senior Engineering Consultant: Patrik Ingels

04 Déc 2019
Chez Pauwels Consulting, nous sommes, jour après jour, à la recherche de consultants motivés qui mèneront à bien les projets de nos clients. Nous parlons donc avec de nombreux candidats et embauchons continuellement de nouveaux collègues qui ont su nous convaincre. Dans notre série « Pauwels Consulting People » (Les collaborateurs de Pauwels Consulting), nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Patrik Ingels, ingénieur de projet senior chez Pauwels Consulting.

Bonjour, Patrik. Pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Patrik: Avec plaisir ! Je m’appelle Patrik Ingels. J’ai quarante-cinq ans, je suis marié et j’ai deux enfants : un de quatorze ans et un de seize ans.

Que faites-vous en dehors du travail ?

Patrik: Eh ben, j’aime passer mon temps libre à restaurer des voitures anciennes. Tout petit, j’avais un faible pour les voitures et surtout pour les ancêtres. Maintenant, je roule dans une ancienne coccinelle et un side-car russe, mais j’aime également bricoler sur les voitures anciennes d’autres amateurs.

Quelles études avez-vous faites ?

Patrik: J’ai fait des études d’ingénieur industriel en électromécanique à la haute école Thomas More à Geel.

Pourquoi avez-vous choisi ces études ?

Patrik: Je n’ai pas tout de suite su quelles études j’allais faire, mais j’ai toujours eu un intérêt certain pour la technique. Finalement, j’ai basé mon choix sur cette passion.

Quel est votre parcours professionnel ?

Patrik: J’ai travaillé chez une importante société pharmaceutique en Belgique pendant vingt ans. J’y ai exercé différentes fonctions dans divers secteurs : la production, l’ingénierie, l’assurance qualité, la qualification et la validation. Ensuite, je me suis lancé en tant qu’indépendant.

Pourquoi avoir choisi de travailler en tant qu’indépendant ?

Patrik: J’étais à la recherche d’un nouveau défi. La deuxième partie de ma carrière, disons. (Sourire.) Je voulais quitter le nid et explorer, tout seul, de nouveaux horizons.

Quels en sont les avantages les plus importants ?

Patrik: La réponse est dans le nom en fait. En tant qu’indépendant, on a tout de même une certaine liberté et une certaine autonomie. C’est ce que j’aime. En outre, on a la possibilité de prendre un peu de distance et de ne pas se laisser absorber par une seule entreprise.

Y a-t-il également des inconvénients ?

Patrik: Absolument. En tant qu’indépendant, j’ai quand même dû m’habituer à toute cette administration supplémentaire.

Cela fait déjà longtemps que vous travaillez en tant qu’indépendant ?

Patrik: Non, depuis le 1er janvier 2016. Pas si longtemps donc. En ce moment, je travaille à ma première mission indépendante. J’ai eu l’occasion unique de collaborer à un projet sur un site vierge, ce qui est assez rare en Belgique.

Comment êtes-vous entré en contact avec Pauwels Consulting ?

Patrik: Je connaissais déjà quelques consultants et indépendants chez Pauwels Consulting et j’avais reçu de bons échos. Finalement, j’ai contacté Pauwels Consulting moi-même lorsque je me suis lancé comme indépendant.

« Les responsables chez Pauwels Consulting se montrent ouverts aux commentaires et aux suggestions. Un grand atout. »

Quelle a été votre première impression de Pauwels Consulting ?

Patrik: Pauwels Consulting embauche bon nombre de jeunes qui connaissent bien leur métier. De plus, l’organisation renvoie l’image d’une entreprise efficace.

Vos premières impressions ont-elles désormais été confirmées ?

Patrik: Oui, la communication se déroule toujours de façon fluide et efficace et les projets sont bien suivis. En outre, les responsables chez Pauwels Consulting se montrent ouverts aux commentaires et aux suggestions. Un grand atout.

Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur votre projet actuel ?

Patrik: En ce moment, je travaille comme ingénieur de projet senior chez une société pharmaceutique. Ils sont en train de construire une nouvelle usine pour la production de polymères, de comprimés et de formes stériles.

Quelles sont vos responsabilités pendant ce projet ?

Patrik: Jusqu’à présent, j’ai toujours été responsable de la partie « injectables » : l’achat des équipements, l’installation, la mise en marche, la qualification et la validation. De plus, en ce moment, je suis également temporairement responsable de la coordination, la qualification et la validation d’un produit qui sera lancé d’ici peu.

Que trouvez-vous intéressant dans ce projet ?

Patrik: Le job n’est pas délimité précisément et n’est pas alourdi par toute une série de petites règles internes. Ça me plaît. Il y a de l’espace pour l’autonomie et la flexibilité. De temps à autre, je supplée donc aussi des collègues et je fais des tâches qui dépassent ma description de fonction. Ensuite, j’adore également poursuivre un objectif bien précis avec une équipe relativement petite.

Avez-vous déjà appris des choses intéressantes ?

Patrik: Absolument, j’apprends tous les jours, surtout parce qu’il s’agit de ma première expérience avec des produits hormonaux. J’ai également su combler de grandes lacunes dans mes connaissances de la langue française. (Rires.)

Que voudriez-vous faire après ce projet ? Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?

Patrik: J’aimerais continuer à travailler à un poste d’ingénieur de projet. En bref : continuer à faire ce que je fais à l’heure actuelle.

Enfin, avez-vous encore un conseil pour nos lecteurs ou une citation qui les inspirera ?

« Keep calm et lancez-vous. »

Patrik: J’ai toujours trouvé que c’était une chouette citation. De plus, elle me convient parfaitement.

Merci pour cette interview agréable, Patrik, et bonne chance avec tous vos projets !

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer

Pauwels people

Travailler comme Consultant en ingénierie : Luc Marivoet

12 Nov 2019
Chez Pauwels Consulting, nous sommes, jour après jour, à la recherche de consultants motivés qui mèneront à bien les projets de nos clients. Nous parlons donc avec de nombreux candidats et embauchons continuellement de nouveaux collègues qui ont su nous convaincre. Dans notre série « People of Pauwels Consulting » (Les collaborateurs de Pauwels Consulting), nos collègues se présentent et racontent comment se déroule leur travail chez Pauwels Consulting et nos clients. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Luc Marivoet, consultant senior en ingénierie chez Pauwels Consulting. Luc nous a rejoints depuis janvier 2013.

Luc, pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Luc: En 1986, j’ai terminé mes études d’ingénieur technique au campus de Boom. Après ma formation, j’ai travaillé chez Massive (plus tard Philips Consumer Luminaries) pendant à peu près vingt-et-un ans. J’y ai commencé en tant qu’ingénieur mécanique, je me suis ensuite hissé à la fonction d’ingénieur de test de qualité et j’ai clôturé mon parcours dans cette entreprise en tant que manager et auditeur de contrôle de qualité. Par la suite, j’ai également travaillé comme manager de qualité et assistant du manager technique pour une autre entreprise d’éclairage.

« On n’est jamais trop vieux pour apprendre. »

Avez-vous également travaillé à l’étranger pendant votre carrière ?

Luc: Pendant ma carrière dans le secteur de l’éclairage, j’étais souvent obligé de me rendre à l’étranger pour effectuer des inspections et des audits de qualité. C’est lors d’une de ces visites professionnelles que j’ai connu mon épouse. En 2008, je suis allé en Chine pour y chercher du travail et, ainsi, me rapprocher d’elle. C’est comme cela que j’ai atterri chez Daqo NKT Cables. J’y ai travaillé pendant un an en tant que manager opérationnel dans l’industrie ferroviaire.

Et ensuite, vous êtes revenu en Belgique ?

Luc: Tout à fait. Nous voulions fonder une famille. En outre, la durée de mon contrat en tant que manager opérationnel en Chine avait atteint son terme. Nous avons donc décidé assez rapidement de revenir au pays. En Belgique, j’ai pu commencer immédiatement comme manager de qualité, un job que j’ai fait pendant trois ans. Finalement, j’ai voulu m’engager dans une nouvelle voie.

C’est alors que vous êtes entré en contact avec Pauwels Consulting ?

Luc: Absolument. Pauwels Consulting m’a contacté après que j’ai envoyé mon CV sur un site d’offres d’emploi. Ils cherchaient un responsable qualité pour le service Projets de signalisation du gestionnaire de l’infrastructure ferroviaire belge. Ce service doit insérer tous les projets de signalisation (p. ex. concentration des cabines de signaux, TBL1+, ETCS, etc.) dans une structure de gestion de projet cohérente. Cette proposition m’a tout de suite parlé et, en janvier dernier, j’ai entamé le travail.

« J’aime adopter une approche par projet dans mon travail et j’ai finalement trouvé ma place. »

En quoi consiste exactement votre fonction ?

Luc: Je fais partie d’une équipe de quatre personnes. Je suis responsable, en tant que manager de qualité ISO, de la mise en place, de l’implémentation, de la surveillance et de la maintenance du système de gestion de qualité ayant la certification ISO 9001 du service Projets de signalisation. Je suis également responsable de la gestion AQF (Assurance Qualité Fournisseur).

Qu’est-ce qui vous attire tant dans ce job ?

Luc: La variété. D’une part, j’élabore et je définis les processus et, d’autre part, j’effectue des audits de qualité internes et auprès de fournisseurs à l’étranger : évaluer la qualité des produits et des processus. Je ne suis pas encore lassé par les voyages.

Avez-vous des projets d’avenir ?

Luc: J’aime adopter une approche par projet dans mon travail et j’ai l’impression que j’ai finalement trouvé ma place chez Infrabel. Ils ont besoin de l’expertise des consultants et il y a assez de travail pour les années à venir. J’espère donc y rester un bon moment. Maintenant, si Infrabel en décide autrement, je saurai trouver rapidement, en ma qualité de consultant, un nouveau défi ailleurs.

« En tant que manager de qualité, il vaut mieux travailler selon un plan par étapes. »

Avez-vous un tuyau en or pour un(e) futur(e) collègue ?

Luc: Grâce à mon expérience en tant que manager et auditeur de qualité, j’ai appris à adopter une approche analytique et structurelle et à trouver un équilibre approprié entre le pragmatisme, l’ambition et le fonctionnement du client. Ne balayons pas entièrement toutes les structures et tous les processus. Il vaut mieux travailler selon un plan par étapes. Observer, analyser et améliorer, tout en tenant compte de l’expertise d’autrui. On n’est jamais trop vieux pour apprendre et c’est souvent ensemble que l’on trouve les meilleures solutions.

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer

Pauwels people

Rudi Princen: IT Program Manager

27 Oct 2019
Dans notre série ‘Pauwels People’, nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets chez Pauwels Consulting. Aujourd’hui, nous faisons connaissance avec Rudi Princen, gestionnaire de programme TI.

Bonjour, Rudi. Pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Rudi: Avec plaisir ! Je m’appelle Rudi Princen. J’ai cinquante et un ans, je suis marié et j’ai quatre enfants.

Que faites-vous en dehors du travail ?

Rudi: Vu que je travaille à temps partiel, j’ai un peu plus de temps libre. Mais, ce temps libre, il est bien chargé. (Sourire.) J’aime passer des moments agréables avec ma femme et mes enfants. Nous adorons voyager par exemple et faire, si le soleil rayonne dans notre Belgique, des randonnées en scooter à travers le Limbourg.

Par ailleurs, je dirige avec ma femme une association spirituelle : Oneness. Nous organisons régulièrement des séances ou événements spirituels avec des orateurs intéressants provenant de notre pays et de l’étranger. Ma femme est également coach pour chevaux, donc je m’occupe aussi souvent de chevaux. (Rires.)

Quelles études avez-vous faites ?

Rudi: J’ai fait des études de traducteur/interprète en français et grec moderne. Ensuite, j’ai également étudié les sciences économiques et sociales à l’université de Mons.

Finalement, j’ai aussi décroché un master en finances modernes en cours du soir à la EHSAL à Bruxelles et un master en audit auprès de la Chambre des comptables à Anvers.

Pourquoi avez-vous choisi ces études ?

Rudi: J’ai toujours été passionné par les autres langues et cultures. Ainsi, j’ai habité et travaillé en Grèce pendant un an par exemple. Voilà pourquoi j’ai fait des études de traducteur/interprète.

Dans le but de travailler par la suite dans ce secteur, j’ai ensuite développé plus d’intérêt pour les sciences économiques et financières. Mes études le démontrent : l’ambition était déjà présente ! (Rires.)

Quel est votre parcours professionnel ?

Rudi: J’ai à peu près vingt-quatre ans d’expérience professionnelle, notamment en tant que chef de projet TI et gestionnaire de programme TI, dont quatorze ans chez Accenture.

J’ai travaillé pendant environ sept ans dans l’industrie bancaire, onze ans dans le secteur public, notamment pour bpost, l’administration fédérale et diverses institutions européennes, et six ans dans le secteur industriel, dont deux ans dans l’industrie pharmaceutique.

J’aime travailler en équipe dans le but de réaliser des projets de large envergure, innovateurs ou ambitieux, et de préférence dans un environnement numérique : des applications Internet ou multicanaux pour des opérations avec des clients, des partenaires ou des membres du personnel.

Pourquoi avoir choisi de travailler en tant qu’indépendant ?

Rudi: Je voulais prendre les rênes et me lancer comme indépendant. En tant qu’indépendant, on a en effet plus de liberté pour faire ses propres choix et pour organiser son horaire.

J’ai d’ailleurs également constitué un réseau de consultants indépendants : Prime Consultants. En ce moment, il compte trente-quatre consultants qui travaillent en étroite collaboration avec Pauwels Consulting. J’aime assumer la responsabilité de respecter, avec une équipe, un délai et un projet ambitieux.

Y a-t-il également des inconvénients à ce statut ?
Rudi: Comme indépendant débutant, on doit bien sûr approfondir ses connaissances dans les domaines administratif, comptable et fiscal afin de respecter les différentes législations. S’occuper de sa propre comptabilité et administration est en effet une responsabilité supplémentaire.

Pourriez-vous citer quelques beaux projets que vous avez menés au cours de votre carrière ?

Rudi: J’ai mené de nombreux projets et programmes TI intéressants chez Accenture, surtout dans le secteur public. J’ai été à bonne école.

Parmi les programmes les plus prestigieux que j’ai menés figurent l’implémentation du portail fédéral, avec entre autres l’application web pour la Banque-Carrefour des Entreprises, Tax-on-web pour l’administration fédérale et l’implémentation du système d’établissement de correspondances biométriques pour la Commission européenne pour les demandes VISA dans l’espace Schengen.

Depuis 2014, je travaille comme indépendant. En cette qualité, j’ai trouvé très intéressant le programme de transformation numérique pour Doosan. Il s’agissait d’un changement de plateforme de trente-deux applications numériques vers, principalement, Salesforce et Hybris comme plateforme cible. Ensuite, le programme de migration dont je m’occupe en ce moment est également très captivant.

Pourquoi avez-vous choisi ces projets/ces clients ?

Rudi: En fin de compte, le choix d’embrasser un projet ou de travailler avec un client en particulier dépend de différents facteurs : le contenu, la portée de la responsabilité que l’on assume, le tarif, le lieu et le timing.

Chacun de ces facteurs est important pour un indépendant. C’est pourquoi il est intéressant qu’une organisation comme Pauwels Consulting puisse vous présenter une offre plus large de choix. Pauwels Consulting est une grande organisation professionnelle étant largement et profondément intégrée dans l’ensemble de ses comptes.

Comment êtes-vous finalement arrivé chez Pauwels Consulting ? Quelle a été votre première impression ?

Rudi: Je suis arrivé très récemment chez Pauwels Consulting, par l’intermédiaire de GSK. Ma première impression ? Pauwels Consulting est une grande organisation professionnelle étant largement et profondément intégrée dans l’ensemble de ses comptes.

Voulez-vous faire des projets comme Rudi?

Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur votre projet actuel chez GSK ?

Rudi: Avec plaisir ! Chez GSK, je suis responsable d’un programme ambitieux d’intégration et de migration.

GSK a repris une large partie des vaccins de Novartis. Par conséquent, plus de cinq mille personnes ont déménagé de Novartis à GSK, ainsi qu’une dizaine de téraoctets de documentation et de données sur les vaccins concernés.

Le programme comprend une dizaine de projets pour migrer ces données et cette documentation des applications Novartis aux applications GSK. Nous venons justement de lancer avec succès le trajet le plus important en ligne.

Un boulot considérable apparemment ! Quels sont les délais du projet ?

Rudi: La majorité du programme continue jusqu’à la fin de cette année, mais nous avons également prévu une série d’autres projets. Ceux-ci dureront probablement jusqu’en 2017.

Que trouvez-vous intéressant dans le projet ?

Rudi: J’aime assumer la responsabilité de respecter, avec une équipe, un délai et un projet ambitieux. Ensuite, la méthodologie spécifique utilisée pour réaliser ces migrations de données m’intéresse énormément. Et, dernier point, mais non le moindre, l’ambiance au département TI de GSK est tout simplement superbe.

Qu’avez-vous appris pendant le projet ?

Rudi: J’ai appris une nouvelle méthodologie intéressante pour migrer des données et, à présent, je me rends davantage compte des dangers et des risques que comportent d’importantes migrations de données.

Que voudriez-vous faire après ce projet ?

Rudi: Une question difficile. Mes centres d’intérêt sont particulièrement vastes et chaque domaine est intéressant à approcher.

Cependant, je dois affirmer que ce sont les projets numériques novateurs et transformateurs qui m’intéressent toujours le plus : des entreprises et organisations qui souhaitent communiquer avec leurs clients et partenaires de manière plus efficace à l’aide d’applications web ou mobiles novatrices.

Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?

Rudi: Parfois, il y a une contradiction dans mes ambitions. (Rires.) Je voudrais mener encore beaucoup de programmes intéressants, également dans des fonctions de gestion intérimaire, qui sont en plein essor, et dans des fonctions de direction. En outre, je veux également poursuivre la croissance de Prime Consultants, notamment pour ce qui est de la collaboration avec Pauwels Consulting.

Sur le plan personnel, je veux atteindre encore davantage de personnes avec notre association spirituelle, les faire vivre de manière plus consciente et, en même temps, passer plus de moments agréables avec ma femme et ma famille. Un fameux défi, n’est-ce pas ? (Rires.)

Avez-vous des tuyaux pour les nouveaux et futurs collègues ?

Rudi: Absolument ! Laissez-vous guider par votre cœur. Ce n’est pas la destination finale qui est importante, mais le trajet parcouru ensemble.

Merci pour ces sages conseils, Rudi, et bonne chance avec vos projets personnels et professionnels !

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer

Blog

Consultante dans le secteur pharmaceutique: une expérience enrichissante

18 Oct 2019
Dans notre série « Pauwels People », nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Isabelle Gille, consultante dans le secteur pharmaceutique chez Pauwels Consulting.
Isabelle, pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Isabelle: Bien sûr ! Je suis Isabelle Gille. Il y a 3 ans et demi, après un parcours professionnel atypique, j’ai rejoint l’équipe de Pauwels Consulting comme consultante pharmaceutique.

J’ai pu rejoindre l’équipe grâce à mon expertise dans le domaine de la Qualité. Mon expertise comprend : le contrôle de qualité, l’assurance de qualité, la gestion des actions correctives et préventives ou des anomalies, la formation etc…

Quelles études avez-vous faites et où les avez-vous faites ?

Isabelle: En 1998, j’ai obtenu mon diplôme de Master en Biologie avec un stage de 6 mois au Laos. J’ai entamé alors 3 ans de recherches – comme Doctorante – en Biologie cellulaire et moléculaire.

Intéressant ! Parlez-nous de votre expérience professionnelle.

Isabelle: J’ai toujours voulu travailler dans le domaine de l’humanitaire. C’est grâce à cette passion que j’ai pu trouver mon premier emploi en tant que Chef de projet pour « Louvain Développement ». Ensuite, ma seconde expérience, fut internationale, elle s’est déroulé en Bolivie, j’étais responsable des aspects financiers et pratiques du projet.

De retour en Belgique et après un an de recherches en Biologie, j’ai alors été engagée par la Société « Direct Dialogue Fundraising » comme démarcheuse pour l’UNICEF. En deux ans, j’ai évolué au sein de cette société : démarcheuse, coach et ensuite responsable de la récolte de fonds pour 6 ONG, pour la région Wallonie.

Après cette expérience très enrichissante, tant humainement que professionnellement, j’ai envie de suivre une formation de coach. Ensuite j’ai exercé le métier de Teamcoach dans un call center pour 2 ans.

En 2013, je suis devenue indépendante. J’ai créé ma propre société. Je me suis alors lancé dans cette belle expérience qu’est l’apprentissage du travail d’indépendant. En 2014, je me suis remis sur les bancs de l’école et j’ai repris une formation au sein de « Cefochim » pour devenir Technicienne de production en culture cellulaire. Fin décembre 2014, j’ai terminé avec brio cette formation et en mars 2015 ma route croise celle de Pauwels Consulting.

« Pauwels Consulting est une Société en pleine évolution et où l’ambiance familiale reste la priorité. »

Et pourquoi avez-vous choisi Pauwels Consulting ?

Isabelle: Pauwels Consulting est une Société en pleine évolution et où l’ambiance familiale reste la priorité. Je me suis toujours senti apprécié ici. Je suis chaleureusement accueilli par l’équipe interne : les recruteurs, l’account manager et les RH…  Mon profil leur a permis de satisfaire un client et en même temps d’enrichir mes connaissances de l’industrie biopharmaceutique. Bref un win-win que j’ai apprécié.

De plus, la Société organise régulièrement des formations en interne mais aussi des afterworks, un repas de fête à la fin de l’année et une journée « familles »…. Pauwels Consulting investi également dans des challenges sportifs et contribue à certaines causes caritatives.

 

Quels projets avez-vous déjà réalisés chez Pauwels Consulting?

Isabelle: J’ai travaillé pendant une année comme Technicienne Assurance Qualité au niveau environnemental. Puis j’ai travaillé une année comme Technicienne au Contrôle de Qualité.

Depuis la mi-juillet 2017, je participe à l’amélioration du système qualité en investiguant les écarts et ce – dans une équipe d’une vingtaine de consultants dans le nord de la France. Un an et 3 mois plus tard, ma mission internationale continue.

« Une expérience à l’étranger est une valeur ajoutée dans le développement de sa carrière. »

La coopération avec vos collègues étrangers se déroule-t-elle bien?

Isabelle: Parfaitement. Je travaille dans une équipe d’une vingtaine de consultants. Cette équipe est internationale. Elle est également pluridisciplinaire et l’équipe est composée de juniors et seniors. Cette diversité de l’équipe est enrichissante sur le plan professionnel. L’échange de compétences et expériences nous permet d’offrir au client un service complet. Quand une contrariété professionnelle se présente, l’équipe peut offrir le soutien qui est nécessaire.

Etant donné que la majorité d’entre nous vit sous le mode « expatrié » ce groupe est également une seconde « famille ». Nous partageons des soirées, des joies. C’est une manière d’élargir son réseau, de faire de nouveaux amis.

Donc, vous trouvé cette expérience internationale enrichissante?

Isabelle: Assurément. En premier lieu, j’ai appris un nouveau métier. Grâce aux activités du client, j’ai appris et je continue à apprendre les procédés de fabrication de médicaments thérapeutiques lyophilisés.

La France est un pays voisin et frontalier à la Belgique, mais y travailler m’a permis de m’ouvrir à une nouvelle culture, à une nouvelle région et donc de grandir sur le plan personnel également.

Travailler à l’étranger est un moyen efficace de rencontrer et d’apprendre aux contacts des autres.

Une expérience à l’étranger est une valeur ajoutée dans le développement de ma carrière. Cette expérience me permet d’apprendre à mieux me connaître. Maintenant j’analyse mieux encore mes compétences et mes limites. J’ai dû sortir de ma zone de confort.

« Apporter une vraie plus-value au client
est un de nos défis quotidiens. »
Pour conclure, quelles sont les qualités que vous mettez en avant en tant que consultante ?

Isabelle: Avoir de bonnes compétences techniques… C’est la base. je dois être capable de lui apporter satisfaction et d’atteindre les résultats attendus. C’est également important d’être flexible et bien écouter les besoins du client. Comme consultante, je change régulièrement d’environnement, de client, et de mission. Il est donc important que je m’adapte rapidement. Grace à cette expérience, j’ai appris à être opérationnelle en quelques jours.

En plus, d’être mobile, au minimum à l’échelle régionale, est souvent attendu même si ce n’est pas exigé. Quand, j’ai débuté chez « Pauwels Consulting », je ne m’imaginais pas qu’une opportunité internationale se présenterait. Depuis un an et 3 mois j’offre mes compétences, mon expertise et mes conseils à l’un de nos clients français.

Apporter une vraie plus-value au client aussi est un de nos défis quotidiens. Cela demande de déceler ses besoins afin de lui offrir une solution dont il sera le plus satisfait possible.

En plus, avoir une bonne relation et une bonne communication est essentiel. L’intégration dans l’équipe du client est très importante. Elle doit être créer rapidement. Ce contact est essentiel si nous souhaitons continuer à partager nos conseils et faire passer certaines idées. Ce qui n’est pas toujours si facile comme personne nouvelle et externe.

Enfin, savoir travailler en équipe est essentiel. Nous ne sommes pas là pour révolutionner les idées du client. Nous lui apportons des solutions spécifiques au problème qu’il rencontre et nous accompagnons le changement.

Ce sont de beaux mots pour finir cet entretien, Isabelle. Merci pour l’interview et bonne chance avec vos projets !

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer

Pauwels people

Luc Mesmans : une carrière pleine d’innovation

02 Oct 2019
Dans le cadre de la série Pauwels People nous laissons la parole au personnel. Ils nous racontent de leurs projets et de leurs défis. Cette semaine, nous avons parlé à Luc Mesmans, electrical & telecom project manager. Après une carrière pleine d’innovations, il jouit désormais de la retraite :).

Pourrais-tu te présenter un peu?

Je suis Luc Mesmans, 63 ans, père et grand-père :). La nature et la photographie me fascinent énormément. Ces passions, je les combine en tant que bénévole; je suis guide nature pour les enfants ou pour des groupes d’adultes. J’aime d’ailleurs bien voyager en camping-car aussi.

Comment ta carrière a-t-elle démarrée?

J’ai suivi un parcours technique: En fait, j’ai débuté comme technicien de téléphonie ce qui m’a lancé dans les ventes de téléphonie & les installations de courants faibles. En tant que manager, j’étais également responsable du service après-vente et des pièces de rechange. J’ai fait des intérims en automatisation, pour des projets de facilités et également en aviation. J’ai ainsi évolué vers les fonctions de manager aux secteurs automobile et télécoms pour finir en consultant Project Manager dans les réseaux mobiles et ferroviaires et haute tension.

Comment es-tu entré en contact avec Pauwels Consulting?

J’étais prêt pour de nouvelles opportunités à se présenter et vous m’avez contacté au sujet d’une fonction très intéressante. Le recruteur en question était fort aimable et il s’y connaissait clairement. Du coup, cela m’a inspiré un bon sentiment. J’ai eu un entretien d’embauche ce qui s’est très bien passé, très professionnel aussi. J’ai fini par décider d’aller travailler pour Pauwels Consulting en tant que Project Manager, car la consultance offre beaucoup d’avantages, entre autres la variation. De plus, on sait d’avance combien de temps un projet va prendre et que de nouvelles opportunités ne sont jamais loin.

Effectuer le même travail pendant longtemps ou rester à la même entreprise avec les mêmes routines quotidiennes, ce n’était pas pour moi. Je l’ai pourtant essayé, mais non, ce n’est pas pour moi.

Quels projets t’inspirent de beaux souvenirs?

Je me souviens de mon tout premier projet pour une grande entreprise des télécoms comme si c’était hier. J’étais responsable d’établir un nouveau réseau pour les portables dans les provinces flamandes, alors j’ai dû déterminer où je pouvais ériger des antennes relais (600 en 5 ans). J’ai établi des contacts avec les communautés et le département pour l’aménagement du territoire pour essayer d’obtenir un permis de construire. Les négociations, les devis de construction, le suivi de la construction, la réception des travaux et la mise en service ; je me suis occupé de tout. Entretemps, il fallait trouver suffisamment de propriétaires disposés à louer ou à vendre leurs terres, et à signer un contrat de 15 à 20 ans. Ça a été un vrai défi! Je suis très reconnaissant et heureux d’avoir assisté à ce projet pionnier. Aujourd’hui tout le monde peut faire des appels et envoyer des textos, partiellement grâce à moi ;).

Chez TUC Rail j’ai travaillé à Bruxelles en tant que chef de projet pour la signalisation ferroviaire. J’étais responsable des feux, des barrières, des aiguillages, des ordinateurs pour la signalisation, … En outre, j’y ai géré une équipe de plus ou moins 12 personnes, ce que j’ai bien aimé faire. Une telle équipe est facile à gérer; s’il y a un problème, il est vite situé ce qui permet de transmettre les informations de manière humaine et de prendre les bonnes décisions. J’ai également eu l’occasion de gérer une équipe de 70 à 80 personnes et c’était bien moins évident.

Après, je suis retourné vers ma première passion, à savoir les télécoms. J’avais quitté le secteur 10 à 15 ans auparavant, alors quand je suis revenu j’avais beaucoup à réapprendre grâce à toutes les innovations dans mon absence. Mon travail, c’était de rénover les installations des télécoms dans les mâts de haute tension pour Elia. En particulier, il fallait rendre visite à tous les endroits, faire un inventaire du matériel et proposer des modernisations. Ça avait commencé comme un projet régional, mais il a continué à croître… Cela me plaît d’avoir fini ma carrière comme ça.

C’était quoi, le défi pour toi?

J’aime bien la variation, mais cela veut dire que j’ai souvent repris de différentes fonctions, que j’ai travaillé dans des endroits et des industries bien divers… Les dernières années tous les secteurs ont subi énormément de changements grâce à l’évolution électronique, communicative et informatique. Par conséquent, il faut s’y habituer à chaque fois et ça prend du temps. Entretemps, toutes les parties intéressées attendent de bons résultats, mais c’est dur au début. A ce moment-là, il faut bien communiquer avec l’employeur.

En plus, j’ai rencontré parfois de « mauvaises graines » au cours de mes projets. Mais si tout le monde s’y met, on peut résoudre ce genre de conflits. Pourtant, c’est bien de savoir que la coopération avec cette mauvaise graine ne durera pas à jamais :). Le mois prochain, on commence peut-être une nouvelle aventure…

As-tu encore quelques conseils pour les autres consultants ?

Soyez toujours vous-même et soyez honnête. Concentrez-vous sur vos objectifs, mais adoptez une approche humaine pour ce qui est des décisions et de la communication. Il arrive à tout le monde de passer par une période difficile du projet, alors, si ça ne va plus, dites-le à temps! Surtout, plus que vous aurez de l’expérience et que vous saurez improviser, plus facile que le début sera ;).

As-tu quelques suggestions pour Pauwels Consulting en tant qu’employeur? 🙂

Continuez, investissez dans mes collègues et leurs connaissances et soyez là pour les soutenir pendant les périodes difficiles.

Que feras-tu du premier mois de ta retraite?

Je continuerai d’être guide nature volontaire et je vise à faire quelques voyages au camping-car. Mais je suppose que j’aurai également un peu de temps pour traîner … 😉

Contactez-nous

Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !

« (Nécessaire) » indique les champs nécessaires

maxime_van_belle
Maxime van Belle Content Marketeer