Stef fait faire un bond en avant à sa carrière avec un Training Program
Nous avons suivi le consultant Stef dans son Training Program. Maintenant que le programme touche à sa fin, il a amélioré ses compétences en tant que consultant ingénieur système MES auprès d’une grande société de biotechnologie. Quel regard Stef porte-t-il sur son Training Program et surtout, sur son avenir avec ses nouvelles compétences et connaissances en poche ?
Quelles étaient tes attentes par rapport au Training Program ?
J’avais hâte de me plonger dans MES et de faire passer mon expertise au niveau supérieur. J’ai en effet suivi une formation MES et j’ai déjà pu acquérir beaucoup d’expérience sur le terrain. Mais j’ai aussi appris de nombreuses autres compétences, qui me permettent de m’intégrer plus rapidement et de travailler plus efficacement. Je n’avais pas pensé que les business skills pouvaient avoir un tel impact.
Qu’as-tu appris dans ton Training Program ?
J’ai découvert le modèle DISC lors de sessions de formation et j’ai ensuite pu mettre ces principes en pratique. C’est un modèle pour mieux comprendre le comportement des personnes qui vous entourent et donc collaborer plus facilement. Je ne m’y étais jamais vraiment intéressé auparavant. J’ai aussi suivi des formations sur MES et Troubleshooting, ce qui m’a beaucoup plu.
Le Training Program est-il difficile ?
Il est parfois difficile de se concentrer à la fois sur les formations, votre nouveau projet et votre vie personnelle. Mais le programme ne vous surcharge pas, je trouvais généralement le planning très raisonnable. Vous remarquez aussi les progrès que vous faites.
Comment as-tu progressé ?
Je suis maintenant MES system engineer. Je pense que ma fonction s’est élargie plus vite que ce que mon client avait prévu et je peux désormais assumer davantage de responsabilités. Je dois ces progrès au Training Program. Et à mon engagement, bien sûr !
Qu’en retiens-tu pour les prochaines étapes de ta carrière ?
J’ai appris de nouvelles façons d’aborder mon entourage et je remarque que cela améliore notre collaboration. Cela a aussi un impact positif sur ma confiance en moi, ce qui m’aide à faire preuve d’audace pour aller plus loin.
À qui recommanderais-tu de suivre un Training Program ?
Je pense que je recommanderais surtout le Training Program à des personnes qui en sont au début de leur carrière. Elles seront généralement plus jeunes et plus flexibles, ce qui leur permettra de s’engager davantage et d’évoluer plus rapidement. Mais des personnes plus expérimentées, qui veulent changer de carrière ou se spécialiser, pourront aussi en tirer une vraie plus-value.
Et vous, où en serez-vous l’année prochaine ? Parlons-en ! Nous avons hâte de vous rencontrer et d’examiner les possibilités ensemble.
Lors du Pride Month, nous célébrons l’acceptation, l’égalité et le travail des personnes LGBTQI+ lors de défilés, de manifestations dans les rues et d’événements pour discuter du thème. Juin est un mois pour sensibiliser davantage à l’histoire LGBTQI+ et aborder des thèmes connexes.
L’histoire joue un rôle important dans le Pride Month, car l’histoire de la communauté LGBTQI+ dans notre société actuelle est encore très courte. Nous pensons non seulement aux émeutes de Stonewall, mais aussi à la pandémie de VIH qui a coûté la vie à de nombreuses personnes dans les années 1980 et 1990, et nous réfléchissons à la discrimination et à la violence.
Pourquoi fêtons-nous le Pride Month en juin ?
Le Pride Month est né en juin 1970, en tant que première commémoration annuelle des émeutes du Stonewall Inn de New York, un bar LGBT harcelé par des descentes de police et des agressions depuis des années. Le soulèvement a marqué un tournant : jamais auparavant la communauté LGBTQI+ ne s’était battue en grand nombre contre la violence à laquelle elle était confrontée. Les journaux, les groupes de protestation et un appel clair à l’acceptation ont découlé de cette période.
Fierté et inclusion chaque jour de l’année
Le mois de juin est une bonne occasion de mettre l’accent sur ce thème, d’autant plus que nous sommes entourés de célébrations telles que la Brussels Pride et que nous lisons de plus en plus d’informations sur les questions LGBTQI+. Mais la connaissance est un tremplin vers la pratique, bien entendu. Comment pouvons-nous garantir que chacun se sent en sécurité et bienvenu au travail ?
Sensibilisation
Ne faites pas de suppositions sur le genre ou l’orientation sexuelle d’une personne et essayez de remettre en question vos propres préjugés. Vous pouvez le faire en recherchant des informations et en témoignant de l’intérêt pour la vision du monde de quelqu’un d’autre. Vous avez des questions ? Ce glossaire LGBTQI+ peut vous aider à rechercher les réponses ou à entamer une discussion.
Lutte contre l’exclusion
Vous entendez que quelqu’un utilise un langage dénigrant, exclut des personnes ou offre moins d’opportunités ? Opposez-vous ou contactez un responsable. Sensibiliser tout le monde à l’inclusion et à la diversité est un défi, et nous avons la chance de disposer des ressources nécessaires pour le relever. Chez Pauwels Consulting, nous mettons l’inclusion et la diversité au cœur de nos préoccupations. Nous attachons une grande importance à ce que chacun puisse être soi-même et à ce que nous puissions offrir un environnement sûr à tous nos collaborateurs.
Écoutez des témoignages authentiques
La Pride n’est pas une notion lointaine. Dans 70 pays, l’homosexualité est criminalisée, seuls 11 pays ont inscrit les droits des personnes LGBTQI+ dans leur constitution, et partout dans le monde, les personnes LGBTQI+ sont victimes de violences. Dans une société de plus en plus diversifiée, le besoin de sensibilisation et d’acceptation s’accroît et la polarisation de l’opinion publique s’accentue. Ce mois-ci, en mai 2023, la Belgique a heureusement atteint la deuxième place du Rainbow Index, une évaluation annuelle de la législation et de la politique en matière de diversité sexuelle et de genre.
En tant que collègues, nous apprenons chaque jour les uns des autres et encourageons nos coéquipiers à s’exprimer comme ils le souhaitent. Pauwels Consulting accorde à chacun la liberté, la convivialité et l’acceptation d’être soi-même. Lisez ici un beau témoignage de l’année dernière. Déclaration de nos collègues : « Nous ne voulons pas du tout que tout le monde s’habille spécialement avec un maillot arc-en-ciel et nous dise qu’il n’y a aucun mal à être gay, mais nous voulons que chaque collègue se sente traité sur un pied d’égalité et qu’il se sente vu, impliqué et valorisé. »
Stef Bal donne le coup d’envoi du Green Challenge 2022
24 Mai 2022
Pauwels Consulting a lancé le Green Challenge l’année dernière. Par ce biais, pendant la semaine de la Journée mondiale du vélo (3 juin), nous encourageons nos consultants à laisser leur voiture de côté et à se déplacer autant que possible à bicyclette ou à pied.
Pour motiver encore plus nos collègues, nous verserons à Think Pink un don calculé sur le nombre de trajets « verts » enregistrés au cours de cette semaine. Cette somme sera proportionnelle aux heures d’activité de nos consultants !
Nous nous sommes entretenus avec Stef Bal, consultant chez Pauwels, qui a enregistré le plus d’heures vertes lors du challenge de l’année dernière. Nous sommes curieux de savoir s’il compte défendre son titre cette année !
Si vous rencontrez des problèmes de visualisation, cela peut être dû à vos paramètres de cookies. Vous pouvez les modifier et autoriser temporairement les cookies via l’épingle de sécurité Cookiebot en bas à gauche.
Stef, peux-tu te présenter brièvement ?
Stef: « Je m’appelle Stef Bal, j’ai 29 ans et je suis Quality Engineer et Validation Expert chez Pauwels Consulting. »
Intéressant ! En quoi consistent exactement ces fonctions ?
Stef: « J’ai commencé chez Pauwels Consulting en tant que Validation Expert. À ce titre, j’ai mis en place des analyses complexes et effectué des évaluations de risques.
Dans le cadre de mon projet actuel, je travaille en tant que Quality Engineer. Les premiers mois, j’étais superviseur de laboratoire. Un travail très varié dans lequel je suis en contact avec de nombreuses parties prenantes et qui nécessite de s’adapter et de réagir rapidement.
Depuis février, je suis responsable de l’assurance qualité et je m’occupe des audits, des plaintes des clients et de toutes les autres tâches visant à garantir la qualité. »
« Pauwels Consulting est un acteur important qui ouvre des portes à de grandes entreprises et à des possibilités de formation intéressantes. »
Comment es-tu arrivé chez Pauwels Consulting ?
Stef: « En 2020, il était temps pour moi de passer à une nouvelle étape de ma carrière. Grâce à mon réseau professionnel, je suis tombé sur une offre d’emploi intéressante chez Pauwels Consulting. Et voilà, j’y travaille maintenant depuis 2 ans ! »
Pour notre plus grande satisfaction ! Quels sont, selon toi, les avantages de travailler chez Pauwels Consulting ?
Stef: « Tout d’abord, Pauwels Consulting est un acteur important qui ouvre des portes à de grandes entreprises et à des possibilités de formation intéressantes. De plus, l’équipe interne est toujours disponible et m’encadre adéquatement : merci à eux !
D’autre part, grâce aux projets que j’ai déjà réalisés, j’ai pu étoffer largement mon expérience. Je n’aurais jamais pu acquérir une telle expérience en tant que collaborateur interne, et c’est ce qui fait la valeur ajoutée d’un poste de consultant chez Pauwels. »
L’année dernière, tu as remporté notre Green Challenge. Défendras-tu ton titre en 2022 ?
Stef: « Bien sûr que je vais défendre mon titre ! (rires) Malheureusement, j’ai moins de temps cette année, ce sera donc plus difficile. Mais c’est finalement l’intention qui compte. Sortir davantage, profiter de la nature et apprendre à mieux connaître ses collègues : le simple fait de participer au Green Challenge, c’est déjà une victoire ! »
Lors du précédent Green Challenge, tu as enregistré 29 heures vertes en 1 semaine. Comment as-tu réussi ce tour de force ?
Stef: « Waouh, j’avais déjà oublié que j’avais enregistré 29 heures. C’est assez fou !
J’ai surtout marché. Je n’avais pas de vélo à l’époque et si j’avais dû courir toutes ces heures, je ne serais jamais arrivé au bout de la semaine. » (rires)
« Le Green Challenge est l'initiative idéale pour rapprocher les consultants. »
Pourquoi avais-tu participé au Green Challenge ?
Stef: « J’avais trouvé le défi amusant et, bien sûr, je voulais aussi apporter ma contribution à une bonne cause. Nous connaissons tous quelqu’un qui a été touché par le cancer du sein, et Think Pink est une association merveilleuse. Et bien sûr, la durabilité est également importante ! »
Suffisamment de raisons de participer, donc ! Qu’est-ce qui t’a le plus plu dans le Green Challenge ?
Stef: « La cohésion avec mes collègues consultants. Nous travaillons généralement de manière si dispersée que nous ne les connaissons pas toujours. Grâce au Green Challenge, j’ai fait la connaissance d’autres consultants de Pauwels via Strava, LinkedIn et d’autres réseaux sociaux. L’initiative est donc idéale pour rapprocher les consultants. »
Une dernière question, pour conclure : quel conseil donnerais-tu aux collègues qui veulent aussi participer ?
Stef: « Tout est question de planification. L’année dernière, j’avais un emploi à temps plein et un flexi-job les vendredis et samedis. J’avais donc dû planifier à l’avance les jours où je devais travailler plus pour pouvoir bouger autant au final. D’où mon conseil : motivez-vous, élaborez un bon planning et relevez le défi. Soyez fous ! »
Stef, merci pour cette entrevue et tes conseils !
Allez-vous battre le record de Stef cette année ?
Vous souhaitez également contribuer à la collecte de fonds pour Think Pink en tant que consultant Pauwels ? Vérifiez vite votre boîte aux lettres électronique, inscrivez-vous sur Strava et commencez à vous échauffer pour la semaine du 30/5 au 5/6. Bonne chance !
Contactez-nous
Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !
Travailler comme IT Support Officer: Pascal Verbaere
10 Juil 2020
Dans notre série « Pauwels People », nous interviewons nos consultants sur leur vie et leur travail chez Pauwels Consulting et pour nos clients. Aujourd'hui, c'est au tour de Pascal Verbaere, IT Support & Helpdesk Officer.
Dans quel domaine IT travaillez-vous ?
Je travaille en tant qu’IT Support Officer, c’est-à-dire que j’apporte mon soutien à IT et travaille au helpdesk trilingue.
Depuis combien de temps travaillez-vous chez Pauwels Consulting ?
Je suis entré chez Pauwels Consulting en 2012. J’appréciais l’état d’esprit de Pauwels et j’ai postulé à un poste vacant chez Wincor/Nixdorf à Zaventem, à proximité de mon domicile (Bruxelles). Dans un premier temps, chez Wincor/Nixdorf, j’ai assuré un support à distance pour les banques en ce qui concerne les distributeurs de billets.
Pouvez-vous nous en dire plus sur vos projets ?
Bien entendu, j’ai toujours des projets en cours. Mon dernier projet était chez Delhaize, pour Diebold/Nixdorf. Nous avons assuré un support à distance pour tous les magasins Delhaize de Belgique, généralement en ce qui concernait les systèmes de caisse mais aussi les problèmes de PC et de serveur. Dans quelques jours, je travaillerai chez Capgemini en tant que User Support Officer pour les logiciels, le matériel et d’autres systèmes informatiques.
Quel regard portez-vous sur votre carrière dans l’IT ? Quel projet trouviez-vous le plus intéressant, quelle entreprise avez-vous le plus appréciée ?
Avant de commencer chez Pauwels Consulting, j’ai travaillé quelque temps pour Sibelga à Bruxelles, en tant que collaborateur de support de 1re et 2e ligne, et cela m’a beaucoup plu car il s’agissait d’un travail très varié et très dynamique. Non seulement j’ai offert un soutien à distance, mais je me suis également rendu de temps en temps sur site. Lors de mon dernier projet chez Delhaize, j’ai beaucoup apprécié l’ambiance au sein de l’équipe et le travail du chef d’équipe.
Quels sont les outils IT/sources/… que vous préférez ?
Il n’y a pas d’outil spécifique qui me plaît particulièrement, ma plus grande satisfaction étant de parvenir à résoudre immédiatement tout problème IT et d’aider ainsi les gens en détresse.
Avez-vous de bons conseils à donner aux jeunes professionnels de l’IT ?
Je conseille aux jeunes en début de carrière de faire preuve de patience et de ne pas baisser les bras trop rapidement. J’ai eu l’occasion de travailler avec de nombreux jeunes et j’ai remarqué qu’ils changeaient très facilement d’emploi/d’employeur parce qu’ils étaient en quête de perfection. Or, rien n’est parfait et la satisfaction au travail dépend de différents facteurs. Il est donc important d’examiner la situation dans son ensemble.
Qu’aimez-vous faire pendant votre temps libre ?
J’aime le sport, de préférence les sports en plein air comme la course à pied, le vélo et la marche. J’aime être dehors et passer du temps au grand air après le travail. J’ai également participé à divers événements sportifs de Pauwels Consulting, comme le marathon de Zermatt en Suisse en 2014 et la randonnée à vélo à Temse il y a quelques années.
Contactez-nous
Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !
Rita et Zenzi, mère et fille, optent pour Pauwels Consulting
05 Juin 2020
Dans notre série « Pauwels People », nous interviewons nos consultants sur leur vie et leur travail chez Pauwels Consulting et pour nos clients. Aujourd'hui, donnons la parole à Rita et Zenzi, mère et fille, qui travaillent toutes deux comme consultantes Life Sciences. Une situation familiale unique chez Pauwels Consulting ! Zenzi officie chez J&J en tant que Microbiology Expert Support, tandis que Rita travaille en Suisse comme Project Manager Engineering.
Bonjour Rita et Zenzi. Pourriez-vous vous présenter brièvement ?
Rita : Bien sûr. Mon conjoint Patrick et moi sommes les fiers parents de Zenzi, Egon et Reina. J’ai décroché mon master en ingénierie électromécanique en 1989. Je jongle avec les langues (français, anglais, allemand, espagnol…) et j’aime voyager et travailler en Asie et en Europe. J’ai donc beaucoup de chance, car depuis ma première mission en tant que Project Engineer chez Air Products, j’effectue régulièrement des voyages professionnels, p. ex. en Angleterre, en Écosse, en Italie, en France et aux Pays-Bas.
J’ai découvert le nom de Pauwels Consulting pendant mes projets auprès de différentes entreprises pharmaceutiques. J’ai compris qu’il s’agissait d’un partenaire pour renforcer une équipe de projet avec des personnes dotées de connaissances spécifiques en matière de validation, de contrôle de la qualité et d’assurance de la qualité. Entre-temps, ces domaines d’expertise se sont déjà étendus. Aujourd’hui, je suis active dans le secteur pharmaceutique et biotechnologique depuis une quinzaine d’années et j’ai acquis une foule de connaissances techniques.
Je suis passionnée par « beauty, perfection, quality, uniqueness, authenticity & learning ». J’accorde une grande valeur à ces concepts et j’applique toujours une orientation résultats en vue de pouvoir les (ou au moins un) réaliser, au travail ou en parallèle.
Zenzi : Je suis donc la fille de Rita 🙂 et j’ai obtenu un master en sciences biomédicales à la KU Leuven en 2017. Peu après, j’ai commencé ma carrière en tant que coordinatrice de projets chez Medpace Reference Laboratories, qui effectue des examens cliniques. Cet emploi m’a beaucoup appris sur la planification, les dates limites et la communication claire. Depuis mes débuts chez Pauwels Consulting en 2019, j’endosse aussi la casquette de consultante Life Sciences.
Quels projets vous occupent actuellement ?
Rita : Depuis août 2018, je travaille en Suisse en tant que Project Manager Engineering pour une grande entreprise pharmaceutique. Et ce, pour le compte de Pauwels Consulting pour le projet Greenfield : « Next Generation Manufacturing Facility ». Nous élaborons une nouvelle cellule de fabrication bio selon une conception modulaire et un output optimisé. J’adore ce que je fais ici. Depuis peu, j’ai également un nouveau collègue : Jan :).
Zenzi : J’ai commencé mon premier projet chez J&J en tant que Microbiology Expert Support dans le département DPDS Microbiology. Ici, je me charge principalement des méthodes de test de la pureté microbienne des médicaments en production et du transfert de ces méthodes vers tous les sites.
Un projet à l’étranger a-t-il toujours fait partie de tes envies de carrière, Rita ?
Rita : J’avais déjà eu une expérience antérieure à l’étranger, donc je ne recherchais pas spécifiquement un autre projet à l’étranger. Mais la combinaison de la mission et du défi suisse m’ont convaincue de sauter le pas une fois de plus.
Zenzi, ta maman t’avait déjà beaucoup parlé de l’entreprise. Pensais-tu à ce moment-là que tu postulerais ici ?
Zenzi : Pas tout de suite, mais nous savions toutes les deux que nous étions en contact avec Pauwels Consulting, mais chacune à notre manière. Ma maman a choisi Pauwels Consulting car le projet suisse lui semblait être un défi passionnant à relever. J’ai opté pour Pauwels Consulting en raison de la diversité des missions auprès des divers clients et de l’ambiance.
Il est vrai que lorsque j’ai posé ma candidature, je n’ai pas dit que ma maman travaillait ici aussi. Je l’ai seulement expliqué plus tard à mon account manager Jelle Vandemenschbrugge. Bien entendu, elle est tombée des nues mais a réagi très positivement et l’information s’est propagée :).
« Réfléchir plutôt que penser »
Aimerais-tu aussi une expérience à l’étranger, Zenzi ?
Zenzi : J’y suis totalement ouverte ! Ma carrière n’en est qu’à ses premiers balbutiements et j’ai encore beaucoup à apprendre. Si une opportunité se présentait au niveau professionnel, les limites géographiques ne me retiendraient certainement pas !
Rita : Une mission passionnante est une mission dans laquelle j’ai voix au chapitre et je peux prendre mes responsabilités, en cherchant un équilibre entre l’application de l’expérience acquise et l’obtention de nouvelles connaissances. Je peux certainement trouver ces qualités dans ce projet, et c’est ce qui rend mon travail chez Pauwels Consulting aussi captivant.
Zenzi : Pour moi, un travail est passionnant si je peux apprendre sur le plan professionnel. J’aime les défis. Cela implique que j’aime faire face à un problème qui me demande de m’accrocher, de comprendre comment il a vu le jour et d’aboutir à une solution. Bien entendu, c’est plus agréable en étant entourée de collègues expérimentés et intelligents :), et cela ne manque pas chez Pauwels Consulting et J&J !
C’est sûr ! Comment se déroule la collaboration avec Sofie, votre collègue de Pauwels Consulting ?
Nous avons une chouette collaboration qui se passe sans encombre. J’espère qu’elle pense la même chose ! (rires). Sofie est une femme sympathique et intelligente, elle a beaucoup d’expérience et elle m’explique tout très clairement. J’apprends beaucoup à l’heure actuelle. Nous pouvons aussi parfaitement discuter de tout et de rien, pour nous détendre tranquillement pendant la pause de midi.
Qu’aimez-vous dans votre travail pour Pauwels Consulting et ses clients ?
Rita : Travailler en tant que consultante chez Pauwels Consulting me donne la possibilité de choisir des missions qui sollicitent mon expérience tout en représentant un défi suffisant et en m’en apprenant toujours davantage !
« Vous êtes aux commandes de votre carrière »
Zenzi : L’ambiance chez Pauwels Consulting a été décisive pour moi. Bien entendu, ma maman m’en avait déjà parlé mais, en tant que scientifique, je voulais le voir pour le croire. Mon premier contact a eu lieu avec Valentijn Velghe, consultant en recrutement, qui m’a accueillie très chaleureusement. Il a très bien transmis la culture d’ouverture, d’honnêteté et de soutien de Pauwels Consulting.
De plus, Sofie et Junior, qui travaille aussi chez J&J, m’ont réservé un bon accueil par la suite. Tous les mois, nous organisons un lunch avec tous les collègues J&J-Pauwels Consulting pour garder le contact, car nous travaillons évidemment dans différents départements. C’est une super initiative, selon moi !
Chez J&J, j’ai une bonne collaboration avec tous les collègues, même avec les collaborateurs fixes de l’entreprise, et je trouve cela crucial. Je peux facilement adresser mes questions à tout le monde et cela me permet d’apprendre beaucoup.
Aimeriez-vous collaborer et pensez-vous que cela se passerait bien ? 🙂
Zenzi : Bien sûr. Je pense que ma maman a beaucoup à m’apprendre. En outre, je suis curieuse de découvrir notre interaction sur le plan professionnel. Notre lien changerait-il quelque chose ou non ? Nous nous connaissons par cœur, beaucoup mieux que des collègues lambdas, nous savons les petits gestes et les traits uniques, les choses auxquelles nous accordons de l’importance… En fait je pense que, comme à la maison, nous formerions une bonne équipe professionnelle et nous nous compléterions parfaitement.
Rita : J’aimerais collaborer avec Zenzi, à condition que sa méthode de travail rejoigne la mienne. Nous sommes toutes les deux orientées résultats et concentrées sur ce qu’il faut faire dans le respect des accords conclus et ce, de la manière la plus efficace. De plus, nous pourrions probablement nous mettre au défi quant à certaines méthodes ou au plan d’approche. Cela ne manquerait pas de pimenter la collaboration !
Rita, as-tu encore un bon conseil pour Zenzi et les débutants comme elle ?
Un conseil pour les débutants, hum… N’oubliez pas que vous êtes aux commandes de votre carrière. Votre vision et vos opinions déterminent votre propre croissance, au niveau professionnel et personnel. De plus, vous n’êtes jamais seul !
Zenzi, penses-tu que ta maman pourrait apprendre quelque chose de toi ?
Ah, la question est plutôt : qu’est-ce que je ne peux pas apprendre de ma maman ?(rires). Désolée pour le cliché, mais ma maman est tout simplement mon modèle ! Une femme truffée de capacités, de connaissances et d’expériences. Je ne saurais pas par où commencer pour lui apprendre quelque chose :). Je suis donc très fière de dire que Rita est ma maman !
De sages paroles de mon enfance que j’ai apprises de, devinez qui, ma maman, s’appliquent peut-être bien ici… « Réfléchir plutôt que penser ». Étudiez toujours la situation sous différents angles, ne sautez pas à une conclusion précise sans avoir toutes les informations.
Contactez-nous
Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !
Travailler comme ingénieur de mise en service électricité et instrumentation
20 Mai 2020
Dans notre série « Pauwels People », nous interviewons nos consultants sur leur vie et leur travail chez Pauwels Consulting et pour nos clients. Aujourd’hui, c’est au tour de Paul Vander Schelden. Paul a travaillé comme ingénieur de mise en service électricité et instrumentation chez Fluxys, où il a participé à l’installation d’un réservoir dans le terminal de GNL. Aujourd’hui, Paul est à la retraite et profite de son temps libre !
Paul, peux-tu commencer par te présenter brièvement?
Bonjour, je suis Paul Vander Schelden, diplômé en ingénierie industrielle électricité, option régulation, promotion 1979. Je suis marié et l’heureux père de deux garçons formidables. Tout au long de ma carrière, j’ai toujours été attiré par les installations techniques, tant au niveau de la maintenance que de la gestion de projets.
Qu’aimes-tu faire pendant ton temps libre?
À part réparer (ou rafistoler) des choses, j’aime me promener, faire du vélo, jardiner, skier, voyager, danser, regarder des films, faire de la plongée… et ces derniers temps, je me plonge aussi volontiers dans un bon livre.
Peux-tu nous en dire plus sur tes études et ton passé professionnel?
Avec plaisir. Mon intérêt pour l’électricité et l’électromécanique me vient de mon beau-frère, qui prenait le temps de m’expliquer le fonctionnement des choses en profondeur et en termes simples. À l’école, mes deux matières préférées étaient les maths et la physique et j’ai toujours été fasciné par « l’invisible ». Mon choix d’études d’ingénieur industriel en électronique a été vite fait !
Après mon service militaire (eh oui, ça existait encore ! :)), j’ai débuté comme ingénieur en automatisation chez Honeywell, au Process Automation Center Europe d’Evere. Après cette première expérience, j’ai commencé à travailler chez Shell en tant que responsable de la maintenance électricité. J’étais responsable de l’instrumentation et de l’automatisation de l’ensemble du site, dont une raffinerie, des usines chimiques et pétrolières, la production d’électricité, des cabines haute tension, le stockage du carburant… Shell a aussi lancé un appel pour la mise en service de nouvelles installations. Chez Shell, j’ai acquis beaucoup de connaissances et j’ai pu suivre de nombreuses formations : sur la réglementation ATEX, le RGIE, l’entretien préventif, l’ingénierie vapeur, les mesures de débit et de débit massique, la détection de flammes, ISO 9001… C’est ce qui m’a permis de devenir l’ingénieur que je suis aujourd’hui.
Chez Shell, j’ai été promu Responsable de Projet, Maintenance et Achats sous la coentreprise Shell/Exxon. J’étais propriétaire de plusieurs projets, comme l’autonomisation de l’entrepôt de maintenance, les générateurs de vapeur, les compresseurs d’air comprimé, la mise en conformité du parc de réservoirs au règlement flamand sur le permis d’environnement (le VLAREM), la conception et la construction d’un broyeur, etc. Malheureusement, le site a été fermé au bout de trois ans en raison d’une surcapacité dans le groupe. Ensuite, j’ai encore travaillé chez EOC, Sicpa et Veurne Snack Foods (une filiale de PepsiCo). Chez ce dernier, j’ai soudain dû changer de fonction devais alors tout le temps partir à l’étranger. C’était trop contraignant pour moi et cela ne correspondait plus à ce que j’aimais faire.
Comment es-tu entré en contact avec Pauwels Consulting?
Après mes aventures chez Sicpa, EOC et PepsiCo, j’avais envie d’en revenir au monde de l’ingénierie et de la construction dans le secteur (pétro)chimique et de l’énergie, mes racines. C’est à cette période que j’ai été contacté pour la construction d’une station de compression de gaz naturel de Fluxys. Fluxys cherchait de toute urgence un Superviseur Électricité, Instrumentation et Automatisation pour la construction de la station de compression.
L’entretien d’embauche s’est très bien déroulé, en toute clarté. J’ai immédiatement eu un bon contact avec Jan Fyens, le directeur de l’unité commerciale ingénierie et le chef de projet de Fluxys. C’était une discussion spontanée, ouverte et dans le respect mutuel. J’ai tout de suite su que ce ne serait pas une tâche facile, étant donné que le projet était déjà très avancé, mais j’ai senti que l’esprit d’équipe y était, alors j’ai sauté le pas !
Peux-tu nous en dire plus sur tes projets chez Pauwels Consulting?
Je serai heureux de vous parler de mon projet préféré ainsi que du projet le plus difficile que j’ai exécuté, et des leçons que j’en ai tirées. Mon projet préféré est le premier projet que j’ai mené à bien, je vous en parlais il y a un instant : la supervision de la station de compression de gaz naturel. Ce qui m’a notamment plu, c’était de pouvoir couvrir toutes les facettes du projet, du début à la fin : l’évaluation des documents d’ingénierie, la révision du scope, la réception mécanique, la mise en service, la liste de travaux, la vérification du registre de fabrication, le relevé et le suivi des problèmes avant le démarrage, le remplissage de la déclaration VLAREM, etc.
J’ai appris à connaître le fonctionnement de la station de A à Z et j’ai aidé à résoudre les problèmes occasionnels. Il y avait un bon esprit d’équipe entre le maître d’ouvrage et les entrepreneurs et cela se sentait. J’avais vraiment l’impression d’apporter une plus-value et j’ai été très apprécié pour mon travail. Cela m’a énormément boosté !
Voulez-vous aussi travailler comme Commissioning E&I Engineer?
Quant au projet le plus difficile auquel j’ai jamais participé, c’était l’établissement d’un raccord CC de 400 kV entre l’Angleterre et Zeebruges. La structure du projet était confuse, ce qui a compliqué la communication et la transmission d’informations aux parties prenantes. Logiquement, l’esprit d’équipe était moins bon et tout était plus difficile en pratique.
Il y a bel et bien un fil rouge entre ces deux projets, en apparence opposés : la communication, qui a joué un rôle décisif dans les deux. Cela m’a enseigné l’importance vitale d’une communication transparente et d’une collaboration claire pour la bonne exécution d’un projet : qui est responsable de quoi, en quoi puis-je contribuer, où puis-je trouver les documents qu’il faut, à qui puis-je m’adresser… Le manque de communication entraîne du stress inutile, ce qui peut parfois donner lieu à des erreurs et saper la motivation pour un projet.
À quoi ressemblait une journée de travail typique?
Alors, voyons voir… Je commençais toujours ma journée en saluant mes collaborateurs directs. Puis je prenais le temps de passer en revue les priorités du jour, en examinant les aspects les plus urgents à régler ou les questions éventuelles de la part de mes responsables. Ensuite, j’ouvrais ma boîte à messages pour répondre aux e-mails qui appelaient une réponse immédiate. Un nettoyage rapide, en quelque sorte.
Et je faisais souvent une dernière vérification en vue des réunions de la journée : quelle est ma liste de tâches, dois-je encore me préparer ou préparer des questions ? Après les réunions, je terminais les travaux que j’avais commencés pendant la matinée. Et s’il me restait encore du temps, je faisais d’autres tâches de routine. C’étaient donc des journées bien remplies, comme vous pouvez le voir, mais je prenais quand même le temps de socialiser, juste avant le travail, pendant une pause café ou lors du repas de midi. C’est très important : parfois, cela m’aidait à détecter bien à temps des problèmes potentiels ou à résoudre des désaccords, mais surtout, cela me permettait de m’intégrer rapidement à une équipe déjà existante en tant que consultant !
As-tu un bon conseil à donner aux débutants?
Tiens tes promesses, n’aie pas peur de le dire si tu ne sais pas faire quelque chose et demande de l’aide ou des explications si tu ne t’en sors pas ! Il n’y a pas de honte à avoir ! Tout le monde passe par là et on n’arrête jamais d’apprendre. Par ailleurs, il est important de comprendre au plus vite la structure du projet et d’établir des contacts avec ton équipe. Ne te la joue pas « solo » ! Il est essentiel de communiquer clairement avec ton ou ta responsable, alors réponds le plus précisément et le plus honnêtement possible à ses questions.
Excellents conseils, Paul! Nous te souhaitons une retraite agréable et bien méritée! As-tu déjà des projets concrets?
Merci ! Eh bien, pas encore (rires), le coronavirus me fait prendre un départ tranquille, mais j’espère surtout passer une retraite utile !
Contactez-nous
Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !
Travailler comme Full Stack Developer – Sam Apostel
17 Avr 2020
Dans notre série ‘Pauwels People’, nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets chez Pauwels Consulting. Aujourd’hui, nous faisons connaissance avec Sam Apostel, Full Stack Developer chez Cock's Vleeswaren et Pauwels Consulting. Sam aime les sports extrêmes et aimerait un jour lancer sa propre entreprise !
Salut Sam, depuis combien de temps travailles-tu pour Pauwels Consulting ?
J’ai rejoint Pauwels Consulting il y a seulement deux mois. J’ai commencé le 5 février !
Pourquoi as-tu choisi Pauwels Consulting ?
J’avais le choix parmi plusieurs offres d’emploi et l’offre de Pauwels est celle qui m’a le plus attiré. J’ai été intéressé par le contenu du travail comme par l’équipe de Cock’s Vleeswaren. J’ai eu un bon contact avec Inez et Bram et grâce à leur rapidité, j’ai pu signer mon contrat quatre jours après mon premier appel avec Inez. Comme mes deux parents ont de l’expérience en consultance, le concept m’était déjà familier et un job de consultance était une étape logique pour moi.
Quelle est ta spécialité dans le domaine IT ?
Je suis développeur Full Stack.
Peux-tu nous en dire plus sur ton projet actuel ?
Je fais à la fois du développement front-end (React) et back-end (PHP). Nous sommes en train de construire un portail pour les clients et les fournisseurs de Cock’s Vleeswaren, un fournisseur de viande et de charcuterie de Saint-Nicolas. Nous travaillons notamment à des fonctionnalités pour l’affichage de fiches d’information, l’envoi de factures, le lancement de campagnes, l’enregistrement de commandes, etc.
Quels projets aimerais-tu entreprendre à l’avenir ? Où te vois-tu dans 5 ans ?
J’aimerais continuer à progresser dans le domaine du développement IT, de préférence dans le cadre d’une start-up ou d’une scale-up. J’envisage aussi de fonder une petite entreprise de brand development, comme activité complémentaire.
Quels sont tes outils ou tes sources IT de prédilection ?
Dribbble.com, un site web pour les concepteurs d’interfaces utilisateur
Les conventions, en particulier celles du groupe Full Stack anversois
Mes propres frameworks
Quels sont tes hobbies et tes passions ?
J’adore toutes sortes de sports (extrêmes) : l’escalade, la voile, le ski, le vélo. En faisant du vélo et en allant au travail, j’écoute souvent des podcasts. Je suis fan des podcasts de l’Universiteit van Vlaanderen et de Nerdland (Lieven Scheire).
Une citation favorite, un plat favori, un film favori… ?
Je suis un grand fan des films de Marvel !
Voulez-vous faire des projets Full Stack tout comme Sam?
Travailler comme Remediation Consultant: Sophie Clauwers
08 Avr 2020
Chez Pauwels Consulting, nous sommes, jour après jour, à la recherche de consultants motivés qui mèneront à bien les projets de nos clients. Nous parlons donc avec de nombreux candidats et embauchons continuellement de nouveaux collègues qui ont su nous convaincre. Dans notre série « Pauwels Consulting People», nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Sofie Clauwers, consultante en remédiation chez Pauwels Consulting.
Sofie, pourriez-vous vous présenter brièvement ?
Sofie: Bien sûr ! Je m’appelle Sofie Clauwers et j’ai quarante ans. Je suis mariée depuis onze ans déjà à mon adorable mari Stephan. Il y a trois ans et demi, nous avons décidé de quitter la région de Bruxelles pour s’installer dans la Campine anversoise. Nous y sommes allés à la recherche de nature et de calme.
Que faites-vous dans votre temps libre ?
Sofie: Je trouve agréable et intéressant de cuisiner et de mener une vie saine. Je me rends donc régulièrement au fitness. Si le temps le permet, Stephan et moi allons aussi souvent nous promener ou faire du vélo. Nous essayons également de découvrir un coin du monde de temps à autre, tant sur le plan de la nature que de la culture.
Quelles études avez-vous faites et où les avez-vous faites ?
Sofie: J’ai étudié les techniques pharmaceutiques et biologiques à l’Erasmushogeschool de Bruxelles.
Parlez-nous de votre expérience professionnelle.
Sofie: J’ai travaillé durant douze ans auprès de la KU Leuven et du Vlaams Centrum voor Bewaring van Tuinbouwproducten (VCBT, centre flamand pour la conservation des produits horticoles). Ma collaboration avec la KUL impliquait de travailler en labo et d’aider les étudiants doctorants dans l’exécution de leurs travaux pratiques. Mon travail comprenait tant le développement de méthodes CLHP que la réalisation de tests de laboratoire de routine. J’ai ainsi appris des techniques de laboratoire à de nombreux étudiants étrangers. Pour le VCBT, nous effectuions principalement des recherches sur la manière dont prolonger la conservation des fruits et légumes belges et dont éviter des maladies.
Comment êtes-vous entrée en contact avec Pauwels Consulting ?
Sofie: Je commençais un peu à me lasser de mon travail auprès de la KUL/du VCBT. Je n’avais pas non plus de perspectives de carrière et ne pouvais pas y changer de poste ou de tâches. C’est pourquoi j’ai décidé de mettre mon CV en ligne et de partir à la recherche d’un autre défi. Un recruteur de Pauwels Consulting m’a appelée peu de temps après.
« Mon entretien avec le recruteur de Pauwels Consulting a été surprenant, direct et professionnel. »
Quelle a été votre première impression ?
Sofie: Il s’agissait de mon premier contact avec une entreprise de consultance. À vrai dire, je ne savais encore que peu de choses sur la consultance, si ce n’est que l’on embauche souvent des consultants pour de brefs projets dans le monde informatique. Mon entretien avec le recruteur de Pauwels Consulting a été surprenant, direct et professionnel. Ce coup de fil a donc été le début de ma nouvelle carrière. (Sourire.) Je travaille chez Pauwels Consulting depuis 2011 déjà. Depuis lors, beaucoup de choses ont changé, bien évidemment. Pauwels Consulting était déjà une entreprise à croissance rapide, mais elle est devenue encore beaucoup plus grande aujourd’hui.
Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur vos projets actuels ?
Sofie: Pour ma première mission chez Pauwels Consulting, j’ai intégré un laboratoire qualité d’une entreprise pharmaceutique. J’y participais au contrôle des médicaments destinés au marché. En 2013, on m’a confié ma deuxième mission auprès d’une autre grande entreprise pharmaceutique. Ma tâche consistait à analyser les « mises à jour des compendiums ». En effet, des « pharmacopées » (des manuels officiels des autorités reprenant des prescriptions) expliquent comment effectuer quels tests de qualité dans le cadre de l’analyse de la plupart des matières premières et médicaments. Ces tests peuvent être mis à jour s’il est nécessaire de recourir à une autre méthode, à un autre appareil ou à une autre documentation de référence… J’informais également les personnes adéquates lorsque ces mises à jour avaient un impact sur nos produits ou techniques dans le monde entier. Je pouvais également contribuer à l’adaptation ou à la création des spécifications internes. Un an plus tard, les règles et la structure d’entreprise ont légèrement évolué pour les collaborateurs externes. On m’a donc chargée d’une nouvelle mission : un projet de remédiation. Aujourd’hui, cela fait deux ans que je travaille sur ce projet en qualité de chef d’équipe et en collaboration avec deux autres collègues.
Quel est l’objectif de ce projet de remédiation ?
Sofie: L’objectif du projet de remédiation est de veiller à ce que tous les sites de l’entreprise implantés partout dans le monde fournissent la même qualité et que la qualité des produits soit testée de la même manière. En outre, chaque pays applique ses propres directives et exigences et nous avons l’obligation de les prendre en compte. Nous venons d’achever notre mission dans un certain nombre de grands pays asiatiques et avons récemment débuté une mission en Amérique du Sud.
Quelles sont vos responsabilités dans le cadre du projet ?
Sofie: Chaque produit a un « responsable technique ». Mes deux autres collègues et moi-même épaulons ce responsable dans le projet de remédiation. Nous nous réunissons et discutons des actions qui doivent être entreprises. Ces actions sont ensuite reprises dans un document de « changement de contrôle ». Chaque site et chaque partenaire externe concerné par quelque mesure que ce soit doit effectuer une évaluation et prendre note des activités nécessaires en vue de réaliser ces changements, tant au niveau du laboratoire qu’au niveau de l’enregistrement. Une fois le document de « changement de contrôle » terminé et approuvé, nous continuerons à assurer le suivi des activités. Ce volet s’étend de la demande de développement de nouvelles méthodes, de l’adaptation de spécifications, du transfert de méthodes et du contrôle que les autres sites se qualifient pour ces nouvelles méthodes à la création et à l’enregistrement de certains documents… De plus, nous rédigeons régulièrement des rapports. Nous y abordons d’éventuels problèmes et les solutions envisageables.
Que trouvez-vous agréable à ce genre de projets ?
Sofie: Je trouve agréable et intéressant de découvrir tant de cultures différentes. Parvenir à s’entendre, surtout quant aux délais, est un grand défi par exemple. Nous avons même suivi une formation sur la manière d’effectuer des réunions avec des collaborateurs issus d’autres cultures et sur les différences culturelles. De nouvelles règles viennent à nouveau d’être introduites chez mon donneur d’ordre actuel. Cette nouvelle réglementation m’amène à ne plus travailler qu’un jour par semaine sur site depuis le mois de juillet.
Avez-vous déjà appris des choses intéressantes chez votre donneur d’ordre actuel ?
Sofie: J’ai tout d’abord été impressionnée par la taille et l’ampleur imposante de mon donneur d’ordre et des grandes différences existant entre les différents sites. Tant de directives varient d’un pays à l’autre, même au niveau de l’enregistrement. Cela rend le tout encore plus complexe. Mais, en soi, ça donne aussi tout son intérêt à ce défi.
« Je trouve agréable et intéressant de découvrir tant de cultures différentes. Parvenir à s’entendre, surtout quant aux délais, est un grand défi par exemple. »
Que voudriez-vous faire après ce projet ? Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?
Sofie: Je crois que je pourrais encore travailler durant quelques années sur ce projet. Ce que je veux faire par la suite ? Je n’y ai pas encore réfléchi, en fait. Je suis très ouverte d’esprit et j’ai toujours envie d’apprendre. Je voudrais toutefois conserver un job administratif et ne plus retourner en laboratoire. En fait, je voudrais simplement avoir un job intéressant où je peux contribuer à un objectif. Dans cinq ans, mon mari pourrait prendre sa retraite et nous pensons à partir passer l’hiver dans des contrées plus chaudes.
Avez-vous encore des pensées ou une citation d’inspiration que vous voudriez partager ?
Sofie: Vu que, le mois passé, j’ai eu quarante ans et que j’ai perdu ma mère il y a deux ans, le fait de vraiment profiter de la vie avec mon mari a gagné en importance. J’aime mon job, comprenez-moi bien, mais après notre journée de travail, nous profitons pleinement de la vie ! Je voudrais donc dire aux autres : profitez le plus possible et en pleine conscience de ce que vous avez.
Ce sont de beaux mots pour finir cet entretien, Sofie. Merci pour l’interview et bonne chance avec vos projets !
Contactez-nous
Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !
Dans notre série ‘Pauwels People’, nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets chez Pauwels Consulting. Aujourd’hui, nous faisons connaissance avec Dax Lauwers, scientifique en R&D chez Johnson & Johnson. Au cours des derniers mois, il a participé au développement d'un test VIH précis qui faciliterait l'approbation du vaccin contre le VIH.
Pouvez-vous vous présenter ?
Bonjour, je m’appelle Dax Lauwers, j’ai 23 ans et je vis avec ma petite amie à Anvers. Je suis consultant en Sciences de la Vie chez Pauwels Consulting et je travaille actuellement sur mon premier projet en tant que scientifique en R&D chez J&J.
Que faites-vous pendant votre temps libre ?
Je passe une grande partie de mon temps libre sur le terrain de rugby en tant qu’entraîneur pour les 12 à 14 ans et en tant que joueur. C’est le moyen idéal pour moi de me vider l’esprit à nouveau. J’apprécie aussi énormément de passer du temps avec ma petite amie ou les soirées-jeux entre amis ou en famille.
Qu’avez-vous étudié ?
Mon diplôme le plus élevé est une licence professionnelle en biochimie. Je l’ai obtenu à l’AP-Hogeschool d’Anvers. Avant cela, j’ai suivi un enseignement secondaire technique en chimie parce que les sciences ont toujours été une passion pour moi !
Pouvez-vous nous en dire plus sur le vaccin contre le VIH et sur votre test de dépistage du VIH ?
Le vaccin contre le VIH que J&J développe est actuellement en phase 3. Au cours de cette phase, il sera évalué si le vaccin protège efficacement contre le virus. Cela signifie qu’un certain « groupe à risque » est vacciné et nous vérifions si cela a un effet sur le nombre d’infections par le VIH dans ce groupe. Cependant, le vaccin pose un problème. Les personnes qui sont vaccinées doivent faire face à la « séropositivité induite par le vaccin » (VISP). Cela signifie que les tests sérologiques actuels de dépistage du VIH ne permettent pas de distinguer une personne infectée par le VIH d’une personne vaccinée. Avec un test PCR, cela reste possible, mais il est coûteux et n’est pas disponible partout (électricité nécessaire, équipement et réactifs coûteux,…).
L’objectif de notre équipe est de développer un test sérologique VIH très sensible, aussi sensible que les tests actuels, capable de distinguer les personnes vaccinées de celles qui sont infectées. Pour ce faire, nous recherchons des anticorps spécifiques induits par le virus, mais pas par le vaccin.
Au sein du département de recherche, nous sommes une petite équipe de deux personnes, mais à part nous, il y a beaucoup d’autres personnes qui travaillent aussi sur ce projet pour y parvenir. C’est une tâche importante car sans ce nouveau test, il y a de fortes chances que le vaccin soit beaucoup moins utilisé, une fois qu’il aura été approuvé par les différentes autorités.
À quoi ressemble une journée de travail moyenne pour vous ?
Je passe la majeure partie de la journée dans le laboratoire à produire de nouvelles données. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Je prépare les expérimentations, je supervise l’exécution, le traitement et j’analyse les données. Plus tard, les données sont ensuite visualisées sous forme de graphiques et je discute des résultats avec le chef de projet.
S’il me reste du temps, je documente méticuleusement les expérimentations.
En quoi consiste exactement une telle expérimentation ?
Nous testons les réactions au sérum, qui est une partie du sang qui contient les anticorps. Nous utilisons des échantillons sains, des échantillons vaccinés ainsi que des échantillons infectés par le VIH. Nous mettons ensuite nos échantillons, environ un microlitre (0,000,001 L), dans plusieurs tubes à essai sur une plaque de 96 puits. Ensuite, nous ajoutons des antigènes. Lorsque les antigènes reconnaissent les anticorps, ils se lient entre eux.
Ensuite, nous effectuons une étape de détection à l’aide d’une enzyme. Si l’échantillon réagit à l’antigène, cette enzyme provoque une réaction de couleur bleue lorsqu’un réactif est ajouté. De cette façon, nous pouvons voir quel antigène déclenche une réaction. L’objectif est de trouver les antigènes auxquels les patients séropositifs réagissent, mais pas les patients vaccinés. À l’heure actuelle, nous avons déjà trouvé 4 antigènes prometteurs. Il arrive, par exemple, que l’antigène A réagisse sur les 7 premiers échantillons, mais pas sur les trois derniers, et l’antigène B dans l’autre sens. Ces antigènes peuvent alors éventuellement être combinés.
« Je tire beaucoup de motivation et d’énergie du sentiment que je fais quelque chose de significatif pour le monde, et c’est le sentiment que j’ai avec ce projet. »
Où trouve-t-on suffisamment d’échantillons à tester ?
Au départ, nous ne testons qu’environ 30 à 40 échantillons, dont un certain nombre sont sains, infectés et vaccinés. S’il y a des signes vraiment prometteurs, nous testerons un ensemble d’échantillons plus important, par exemple 200 personnes saines et vaccinées et 150 patients atteints du VIH. Nous achèterons ces échantillons de patients atteints du VIH dans de grandes ‘bio banques’, tandis que les échantillons des personnes vaccinées proviendront des essais cliniques déjà réalisés avec le vaccin. L’ensemble doit, bien sûr, être suffisamment représentatif, donc plus il y en a, mieux c’est.
Voulez-vous contribuer à la recherche révolutionnaire, tout comme Dax ?
Avez-vous rencontré des problèmes jusqu’à présent et, si oui, comment les avez-vous résolus ?
Nous avons eu quelques difficultés au début de l’année. Les données n’étaient pas aussi bonnes que prévu et il y avait quelque chose qui a causé beaucoup de variations pendant les tests. Il a fallu un certain temps avant de trouver la cause de ces variables et les données étaient à nouveau conformes à ce que nous voulions.
Dans ces moments-là, j’essaie toujours de rester positif et de ne pas me laisser influencer par le stress ou les frustrations. Ce n’est pas parce que les données ne sont pas comme nous le voulons que l’atmosphère doit en souffrir ? !
Y a-t-il une certaine pression temporelle ?
Nous sommes un projet hautement prioritaire et nous espérons qu’un « concept » sera prêt d’ici la fin de l’année, mais nous n’avons pas de date limite. De préférence, nous aimerions qu’un nouveau test soit effectué sur le marché avant que le vaccin ne soit approuvé.
Une fois le test terminé, le vaccin pourra-t-il être approuvé par la FDA ?
Lorsque notre ‘concept’ sera prêt, il sera transmis à une société de biotechnologie qui décidera alors de la « forme » ou de l’enveloppe sous laquelle le test sera conditionné. Par exemple, comme test de grossesse ou comme test de laboratoire.
Une fois le « conditionnement » déterminé et le test jugé fiable, la FDA et d’autres agences gouvernementales peuvent l’approuver et le nouveau produit de diagnostic peut être produit et mis en œuvre.
Comment êtes-vous entré en contact avec Pauwels Consulting et quelle a été votre première impression ?
Je cherchais activement un nouveau défi et j’avais posé ma candidature pour un poste vacant chez Pauwels Consulting. Malheureusement, cela n’a pas marché, mais un peu plus tard, j’ai été recontacté par le même recruteur pour m’informer qu’il avait trouvé un poste vacant qui me convenait parfaitement. Et il avait raison : Chercheur en R&D chez Johnson & Johnson.
Ils m’ont informé en détail sur le projet, la vie de consultant et les questions liées au contrat. Cela m’a donné le sentiment que Pauwels Consulting est une entreprise très professionnelle.
Qu’est-ce qui vous plaît dans ce genre de projets de R&D ?
Je tire beaucoup de motivation et d’énergie du sentiment que je fais quelque chose de significatif pour le monde, et c’est le sentiment que j’ai avec ce projet.
Que pensez-vous de l’expérience en matière de conseil jusqu’à présent ?
Ce n’est que mon premier projet, mais j’ai une expérience très positive en tant que consultant. Les clients vous accueillent à bras ouverts et j’ai vraiment le sentiment de jouer un rôle important dans l’équipe.
Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?
Après cela, j’aimerais travailler à nouveau sur un projet de R&D en biochimie ou en immunologie, afin d’acquérir plus d’expérience.
Avez-vous de bons conseils pour les débutants en R&D ?
Oui, vous pouvez toujours apprendre de vos données, qu’elles soient bonnes ou mauvaises !
Contactez-nous
Avez-vous des questions à nous poser ? Contactez-nous !
Travailler dans l’équipe de Conformité Technique CSM
29 Fév 2020
Dans notre série « Pauwels People », nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Tom Van Hees, consultant senior en services d'ingénierie chez Pauwels Consulting.
Bien sûr. Je m’appelle Tom Van Hees, j’ai trente-six ans et j’habite à Zonhoven avec ma femme et mes deux filles Nine et Lore.
Quelles études avez-vous faites ?
J’ai achevé mes études en tant qu’ingénieur industriel en chimie avec la biochimie comme option à la Katholieke Hogeschool Limburg (haute école catholique Limbourg).
Pourquoi avez-vous choisi ces études exactement ?
J’ai choisi la filière ingénieur industriel en raison de mon intérêt pour la technique d’une part et pour la médecine et la biochimie d’autre part. La formation réunit ces deux passions. Le diplôme d’ingénieur industriel ouvre un éventail de possibilités sur le marché de l’emploi, ce qui était également un atout important pour moi.
Qu’avez-vous fait après vos études ?
Je travaille dans l’industrie pharmaceutique depuis 2003. Pour commencer, j’ai travaillé presque cinq ans comme ingénieur en validation chez Schering-Plough (aujourd’hui MSD). En 2008, j’ai pris mes fonctions chez Pauwels Consulting.
Comment êtes-vous entré en contact avec Pauwels Consulting exactement?
Un des recruteurs de chez Pauwels Consulting m’a contacté pour une série de défis intéressants. Une chose en amenant une autre… Désormais, cela fait déjà huit ans que je fais partie de l’équipe.
Quels projets avez-vous déjà réalisés pour Pauwels Consulting?
Voyons voir. D’abord, j’ai validé l’équipement de laboratoire dans le laboratoire chimique de Pfizer. Ensuite, j’ai apporté mon soutien à la validation de la phase logique (le pilotage des logiciels) chez Genzyme. J’ai également été chef de projet pour un projet NEP+ sur le site de Genzyme. Il s’agissait d’un projet d’optimisation des processus de nettoyage en place.
J’ai également travaillé comme ingénieur en conformité technique chez Janssen Pharmaceutica à Geel. Et, depuis l’année passée, je suis le chef et le point de contact unique (PCU) de l’équipe de conformité technique CSM chez Janssen Pharmaceutica.
L’équipe de conformité technique CSM chez Janssen Pharmaceutica… C’est quoi exactement?
L’année passée, le 1er juillet 2015, Pauwels Consulting a introduit le premier « contrat de services managés (CSM) » chez Janssen Pharmaceutica sur la base de la loi relative à l’emploi de tiers. Le but de ce CSM est de centraliser le recrutement, l’administration, la formation, le coaching, l’évaluation et l’optimisation des collaborateurs externes et de réduire ainsi le nombre de firmes contractantes.
« Une bonne équipe composée de personnes flexibles et passionnées est l’élément le plus important pour un CSM fructueux. »
Quel est l’avantage d’un CSM pour Janssen ?
Grâce à la formule CSM, Janssen Pharmaceutica peut sous-traiter une série de tâches. Un CSM est une formule flexible dans le cadre de laquelle une partie de la responsabilité des collaborateurs externes de Janssen Pharmaceutica est transférée à Pauwels Consulting. Un contrat de services managés offre également à Janssen Pharmaceutica une meilleure vue d’ensemble des firmes contractantes en présence. En outre, les collaborateurs externes sont désormais centralisés. Cela réduit les coûts et offre une marge de renégociation des contrats.
Quelle est votre responsabilité au sein du CSM ?
Je suis responsable de la réception des candidatures, de la gestion quotidienne de l’équipe de conformité, du planning des ressources et de la formation et la répartition des projets que nous effectuons chez Janssen Pharmaceutica. En tant que point de contact unique (PCU), je suis l’intermédiaire, avec Mélodie, entre Pauwels Consulting et Janssen Pharmaceutica pour le CSM. Je suis le point de contact aussi bien pour l’équipe que pour le client. Cela facilite la communication.
Dans quels projets sommes-nous impliqués ?
Le contenu des projets est très varié. Cela peut aller de petites modifications en termes d’équipement de processus à de grands projets de migration (Delta V) et de rénovation (Plant 3) et la construction d’un nouveau dépôt de données. Avec mes collègues chez Pauwels Consulting, j’apporte mon soutien en matière de conformité pendant ces projets. Ensuite, nous soutenons également d’autres processus dans le CSM, comme
le PSQR : l’évaluation périodique du statut qualifié de l’équipement ;
le HAZOP : des analyses des risques ;
l’EHS by design ;
le traitement des anomalies de calibration.
Enfin, le CSM comprend aussi un groupe qui soutient la validation de processus de la rédaction technique et une personne qui prend en charge la qualification de l’équipement de laboratoire.
Quels ont été les points positifs du CSM jusqu’à présent et pourquoi ?
La plupart du temps, les résultats du CSM sont évalués de manière très positive. Le fonctionnement général du CSM se déroule donc assez bien.
Et qu’est-ce qui pourrait aller mieux ?
Pour un déroulement fluide du CSM, la continuité est importante, mais pas évidente. Ainsi, de nombreux ingénieurs en conformité sont partis et/ou s’occupent d’un autre projet. Cela a impliqué une charge supplémentaire pour l’équipe existante pour ce qui est de l’efficacité, des nouvelles formations, etc. L’arrêt a donc été assez chaotique et agité.
Qu’entendez-vous changer dans votre approche ?
Pendant l’arrêt suivant, nous serons sûrement en effectifs suffisants. Et, sur le plan de la continuité, je prendrai davantage en compte l’engagement et la motivation des candidats pendant les entretiens d’embauche. Ensuite, je prévoirai plus de moments de concertation.
Avez-vous encore quelques conseils pour des CSM fructueux sur la base de votre expérience?
Une bonne équipe composée de personnes flexibles et passionnées est l’élément le plus important pour un CSM fructueux. Et le client et le point de contact unique doivent convenir de bons accords sur la portée du CSM, les responsabilités, etc. Ensuite, on doit s’accorder sur des rôles clairs, se concerter suffisamment et veiller à un contact positif avec l’ensemble des clients.
Merci pour ces sages conseils, Tom, et bonne chance avec tous vos projets !
Voulez-vous travailler sur des projets tout comme Tom?