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Koenraad Goddeau, un ingénieur passionné à plus d’un titre

10 Mai 2022

L’ingénieur technique Koenraad Goddeau est une valeur sûre chez Pauwels Consulting depuis 9 ans déjà. Mais saviez-vous qu’il a aussi un hobby passionnant ?

Nous avons eu un entretien très intéressant avec Koenraad à propos d’ingénierie, de rêves d’enfant et de zythologie. Ce qu’est la zythologie ? Vous le découvrirez ci-dessous !

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Bonjour Koenraad, peux-tu te présenter à nos lecteurs ?

Koenraad Goddeau: Bien sûr ! Je m’appelle Koenraad Goddeau, j’ai 50 ans et j’habite à Gooik, en couple avec mes 3 enfants. Je travaille pour Pauwels Consulting depuis 2013, actuellement en tant qu’ingénieur de projet.

En quoi consiste exactement le travail d’un ingénieur de projet ?

Koenraad Goddeau: Je suis responsable de toutes sortes de choses dans le cadre de projets de construction, tant pour les nouveaux bâtiments que pour l’adaptation de bâtiments existants. Déclarations de méthode, métrés, appels d’offre, organisation et suivi du chantier, sécurité… 

Tout cela s’inscrit dans mes tâches quotidiennes. Je suis également en train de mettre sur pied une équipe pour les activités d’ingénierie de soutien, la « Engineering Technical Services Team ».

Comment as-tu atterri chez Pauwels Consulting ?

Koenraad Goddeau: Après mes études en électromécanique, j’ai suivi une année de spécialisation en technique de mesure et de régulation. À la suite d’une première expérience professionnelle, j’ai eu l’opportunité de faire partie d’une équipe de service internationale dans le secteur nucléaire. C’était vraiment une expérience formidable !

Ensuite, j’ai travaillé pendant un certain temps en tant qu’ingénieur de mise en service international pour une entreprise spécialisée dans la protection contre les coups de poussière. C’était aussi très intéressant !

Après 10 ans de voyages, j’ai décidé de relever un défi plus près de chez moi. C’est ainsi que je me suis retrouvé dans le monde passionnant de la consultance en ingénierie. Et depuis 9 ans, je fais partie de la famille Pauwels Consulting.

"Lors des World Beer Awards 2021 à Londres, Goyck a reçu le prix de la meilleure bière dans la catégorie 'Sour/Wild Ale' ."

Mais en plus de l’ingénierie, tu as une autre passion. Que fais-tu pendant ton temps libre ?

Koenraad Goddeau:

Mon hobby est de brasser de la bière. Avec ma brasserie Toots, j’ai déjà commercialisé 3 bières. La première, la Toots, est nommée en l’honneur de notre grand artiste national Toots Thielemans. Il s’agit d’une bière de fermentation haute avec un faible pourcentage d’alcool. Le houblonnage à cru avec le houblon Nelson Sauvin de Nouvelle-Zélande lui donne un agréable arôme d’agrumes.

La deuxième, la Goyck, est le fruit d’une collaboration avec la brasserie Lindemans. Il s’agit d’une bière mixte à 5 %, à base de Toots et de lambic tendre. La bière belge AmBassadeur, la dernière de la série, est une triple à base de houblon Saazer-Saazer vert fraîchement cueilli de République tchèque, que nous brassons seulement une fois tous les 2 ans.

Intéressant ! Comment t’es-tu lancé ?

Koenraad Goddeau: Je suis en fait passé d’un hobby à l’autre. (Rires) Il y a 20 ans, j’ai ouvert mon propre café, c’était un rêve d’enfant. Mais je voulais vraiment apprendre toutes les ficelles. J’ai donc suivi un cours de zythologie ou biérologie, pour devenir sommelier en bière. En tant que projet de fin d’études, nous avons brassé la bière belge AmBassadeur. Cela m’a tellement plu que je me suis inscrit à un cours de brassage.

Et cela a porté ses fruits : en 2021, tu as remporté un prix…

Koenraad Goddeau: C’est exact ! Lors des World Beer Awards 2021 à Londres, la Goyck a été déclarée meilleure bière dans la catégorie « Sour/Wild Ale ». C’était une expérience unique dont je suis évidemment très fier.

J’en suis d’autant plus heureux que c’est une bière née d’une collaboration avec Lindemans. Geert Lindemans habite lui aussi à Gooik et est un bon ami.

As-tu encore des projets de brassage particuliers dans un avenir proche ?

Koenraad Goddeau: La semaine dernière, le 29 avril 2022, nous aurions fêté le centenaire de Toots Thielemans. C’est pourquoi nous allons mettre sur le marché une édition spéciale de la Toots, en collaboration avec la Fondation privée Toots Thielemans. Nous avons ajouté une photo de Toots à notre logo sur l’étiquette, et la fondation vendra la bière à de nombreux événements. En outre, nous lancerons une quatrième bière cet automne : Saison Robert.

Pour conclure : où nos lecteurs peuvent-ils acheter les bières de la brasserie Toots ?

Koenraad Goddeau: Tout d’abord, nous avons notre propre site web avec une boutique en ligne : www.toots.be. En outre, la Goyck est disponible dans la boutique en ligne de la brasserie Lindemans et nos bières sont en vente dans les meilleurs commerces de bière locaux.

Formidable ! Merci pour ce bel entretien. Bonne chance avec la brasserie Toots, et bien sûr aussi chez Pauwels Consulting !

Voulez-vous boire un bon verre de Toots, Goyck ou Ambassador ? Commandez rapidement vos produits préférés sur www.toots.be.

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Développement de talents sur mesure : les Training Programs de Pauwels Consulting

22 Avr 2022

Trouver des collaborateurs talentueux pour les professions techniques et les métiers technologiques en pénurie n’est pas simple. C’est pourquoi, chez Pauwels Consulting, nous nous concentrons à dessein sur le développement de talents et l’acquisition de compétences.

À cette fin, nous avons recours à des Training Programs adaptés à nos consultants et à nos clients. De plus, nous ne recherchons pas fiévreusement l’adéquation parfaite entre consultants et projets, mais nous créons cette adéquation en formant de manière ciblée et en accompagnant les consultants les plus compatibles avec le profil recherché.

Nous avons rendu visite à Koen De Borle, notre nouveau Training Program Manager, et l’avons interrogé sur les avantages que présentent les Training Programs de Pauwels Consulting pour les clients et pour les consultants.

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Koen, vous avez récemment changé de poste au sein de Pauwels Consulting. Vous êtes à présent le tout premier Training Program Manager. Félicitations ! Pouvez-vous nous en dire plus sur votre nouvelle fonction ?

Koen De Borle: Merci ! Ma nouvelle fonction résulte de la combinaison passionnante de nouveaux défis, d’une part, et de l’acquisition de connaissances dans le domaine de la consultance, d’autre part. Auparavant, j’occupais le poste de Recruiter and Account Manager au sein du département d’ingénierie. Désormais, je me concentre sur le développement des talents et la gestion de nos Training Programs, ce qui doit permettre à notre entreprise de répondre à l’évolution des besoins et des tendances dans notre secteur.

D’une part, nous constatons une pénurie de personnel qualifé pour répondre aux besoins de nos partenaires commerciaux en temps voulu. Il est de plus en plus difficile de trouver des candidats disposant de toutes les compétences requises, et disponibles rapidement et totalement. D’autre part, nous constatons que les consultants ont besoin de développer des compétences qui leur font actuellement défaut.

Nos Training Programs offrent une solution pour les deux parties. Dans le cadre d’un modèle de service adapté, nous élaborons désormais des solutions d’apprentissage personnalisées pour les young & high potentials (jeunes potentiels et personnes à haut potentiel). Nous pouvons ainsi les préparer de manière ciblée à des projets spécifiques. Une situation dans laquelle tout le monde gagne, les consultants comme les les clients.

« Nous surveillons constamment nos consultants et les encourageons activement à continuer à développer leurs talents afin de garantir une adéquation parfaite. »

En quoi consistent exactement ces solutions d’apprentissage personnalisées ?

Koen: Nos Training Programs sont des programmes personnalisés grâce auxquels nous mettons en correspondance de manière optimale les connaissances, l’expertise et les compétences de nos consultants aux besoins de nos clients. La durée de ces parcours de formation peut varier de quelques mois à deux ans. Durant ces parcours, nous accompagnons nos consultants stagiaires avec une équipe de coachs, de formateurs, de mentors et d’experts.

Au sein de notre organisation, nous encourageons l’apprentissage actif et le développement de talents depuis longtemps déjà. Nous avons notre propre Pauwels Consulting Academy avec des séminaires et des webinaires auxquels nos consultants peuvent assister gratuitement. Nous nous sommes également engagés sur la voie du numérique avec quelques projets pilotes en matière d’apprentissage en ligne. Nous collaborons également depuis de nombreuses années avec des partenaires de formation externes et une équipe d’experts-formateurs internes.

Et maintenant, nous allons donc littéralement faire un pas de plus. Dans nos Training Programs, nous assurons un suivi constant de nos consultants et les encourageons activement à développer leurs talents. De cette façon, nous pouvons continuer à garantir une adéquation parfaite avec les nouveaux projets.

Koen De Borle, Training Program Manager chez Pauwels Consulting

Cela semble intéressant ! Quels sont les principaux avantages des nouveaux Training Programs pour le client ?

Koen: Nos nouveaux Training Programs nous permettent d’offrir à nos consultants une préparation ciblée en fonction des nouveaux projets. Nous ne devons donc plus chercher les perles rares, mais nous préparons les profils compatibles selon les projets que les consultants seront amenés à prendre en charge.

Nos clients bénéficient ainsi de l’aide de consultants qui cadrent presque parfaitement à leurs projets en termes de compétences, de connaissances et de mentalité, dans l’immédiat comme dans le futur. À une époque où la « guerre des talents » est évoquée dans tous les journaux et où les organisations ont toutes les peines du monde pour trouver les collaborateurs adéquats, il s’agit d’une forte valeur ajoutée.

Comme nous disposons d’un solide réseau de consultants et que nous pouvons rapidement mettre en place des Training Programs, nous pouvons aider nos clients à répondre à leurs besoins urgents. Dans le même temps, nous pouvons également offrir une bonne correspondance à long terme, puisque nos clients ont leur mot à dire quant au développement de notre ou de nos consultants au sein de leurs équipes.

« Nos clients ne doivent plus chercher le candidat idéal pour leurs projets. D'autant plus que souvent, ils ne les trouvent pas... Nous recherchons un profil adapté et nous créons la parfaite correspondance grâce à une formation individuelle et à des conseils personnalisés de nos consultants. »

Quelles compétences sont enseignées ?

Koen: Attitude is key, skills can be trained. Chez Pauwels Consulting, nous en sommes absolument convaincus. Nos recruteurs sélectionnent et qualifient donc les nouveaux candidats principalement sur la base de leur ADN, qui doit correspondre à l’ADN de Pauwels Consulting ainsi qu’à l’ADN et aux valeurs de nos clients. Si nous trouvons un candidat à haut potentiel, nous initions un Training Program.

Nous nous concentrons sur deux types de compétences : les connaissances et compétences professionnelles nécessaires pour pouvoir accomplir le travail de manière optimale, et les compétences générales requises pour une collaboration fluide avec l’équipe chez le client.

En effet, les compétences professionnelles sont en constante évolution. La révolution technologique actuelle implique que nos clients doivent s’adapter toujours plus rapidement à une réalité de plus en plus complexe. La numérisation, l’internet des objets, l’IA, la robotisation et les autres développements exigent constamment de nouvelles connaissances et compétences de la part des collaborateurs.

Dans un environnement aussi changeant, les compétences humaines revêtent également de plus en plus d’importance. Intelligence émotionnelle, compétences communicationnelles et collaboratives modernes, proactivité, gestion du changement et des nouveaux outils numériques, traitement des données et des projets… Ce ne sont là que quelques-unes des compétences clés que nous pouvons utiliser pour faire la différence. Nous veillons à ce que nos consultants correspondent de manière optimale à nos clients, tant à court qu’à long terme.

Barbara De Greve, Account Manager Engineering chez Pauwels Consulting

Tout ça me paraît bien intéressant ! Vous avez déjà un peu abordé la question, mais quels sont les avantages des Training Programs pour les consultants ?

Koen: Nos consultants bénéficient d’un coaching, d’une formation et d’un mentorat poussés, l’accent étant porté sur le développement des talents. Ces derniers acquièrent ainsi des compétences rares sur le marché actuel. Nous songeons par exemple aux compétences techniques telles que le développement informatique, la validation de processus et le CSV, l’ingénierie de conception, le prototypage, l’automatisation et la gestion de projet, mais aussi à des compétences générales telles que la résistance au stress, la résilience, la communication et la collaboration. 

Étant donné que chaque consultant est différent, nous travaillons sur des objectifs d’apprentissage individuels. Nous fournissons un encadrement personnel et testons les connaissances et les compétences acquises dans des contextes modernes et exigeants en travaillant avec des professionnels, des pairs et des collègues stagiaires.

Les jeunes potentiels ont la possibilité de développer leurs talents en suivant un parcours sur mesure, et les hauts potentiels peuvent également faire évoluer leur carrière et acquérir des connaissances et une expérience supplémentaires. Chez Pauwels Consulting, nous plaçons la croissance et le développement des talents de nos consultants plus que jamais au centre de nos préoccupations ! Une situation dont nos consultants, nos clients et l’entreprise Pauwels Consulting sortent gagnants.

« Nous opérons la sélection des candidats sur la base de leur ADN et nous assurons qu'il correspond à celui de Pauwels Consulting ainsi qu'à l'ADN et aux valeurs de nos clients. Si le déclic se produit, nous veillons à développer davantage encore le talent de nos collaborateurs Attitude is key, skills can be trained.” »

Vous parliez des young potentials et des high potentials. Qui peut bénéficier du Training Program ? 

Koen: Pour ces programmes, nous nous concentrons sur les candidats qui souhaitent se perfectionner ou acquérir une nouvelle expertise. Peu importe qu’ils aient 25, 37 ou 44 ans ! L’âge n’est pas un critère pour nous. Nous recherchons des consultants qui souhaitent élargir leurs connaissances et donner le meilleur d’eux-mêmes dans des entreprises de premier ordre.

En guise de conseils aux candidats intéressés, nous pourrions citer la curiosité et la rapidité d’apprentissage, des critères de sélection décisifs, à l’instar de la persévérance et d’une mentalité positive. Nous opérons notre sélection sur la base des compétences essentielles à la réussite aujourd’hui : l’intelligence émotionnelle, les aptitudes collaboratives et la capacité à faire face au changement. Si les candidats possèdent la mentalité recherchée, nous pouvons développer les compétences recherchées par le biais de nos Training Programs.

Tout à fait clair, Koen ! Merci pour cette entrevue et bonne chance pour le déploiement des Training Programs au sein de Pauwels Consulting !

Maarten De Soete, participant Training Program

Chez Pauwels Consulting, nous sommes fiers de notre tout nouveau service répondant à la pénurie de candidats sur le marché et aux besoins de développement de nos consultants. Vous souhaitez également participer à un Training Program de Pauwels Consulting ? Alors, consultez notre page web, découvrez les avantages et contactez-nous dès aujourd’hui pour développer vos talents.

Vous souhaitez discuter des avantages que vous pouvez en retirer en tant que partenaire commercial ? Prenez contact avec notre Training Program Manager, Koen De Borle.

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4 conseils sportifs pour devenir un consultant d’élite

17 Mai 2020
Tandis que j’écris ce post de blog, j’ai des fourmis dans les jambes à cause des efforts physiques fournis à Majorque. Faire du vélo, de la course et de la natation pendant plus de vingt-cinq heures en une semaine : ça aussi, c’est les vacances ! En effet, cette année, je consacre plus que jamais mes efforts à la préparation du plus grand défi sportif de ma vie: l’Ironman de Bolton.

Cela fait déjà trois ans que je participe à des triathlons. Pour m’y préparer, je m’entraîne régulièrement avec des sportifs de haut niveau. Suivre des athlètes de près et les voir se battre pour atteindre de hautes performances, c’est quelque chose de spécial. En effet, les sportifs de haut niveau sont une classe à part : passionnés de sport, ils veulent toujours faire plus et mieux.

Je suis actif dans le secteur de la consultance depuis 2008, une branche où la mentalité de sportif de haut niveau est tout aussi présente. La volonté de fournir d’excellentes performances est inscrite dans l’ADN de nombreuses personnes, sans qu’elles soient nécessairement « sportives » au sens littéral du terme.

Bien qu’ils semblent tout à fait différents à première vue, les domaines de la consultance et du sport ont plus de points communs que vous ne le penseriez. En effet, l’ambiance de travail est la même dans ces deux mondes : on n’a rien sans rien, on est jugé sur ses résultats et le vrai défi, c’est le chemin que vous parcourez pour atteindre votre objectif final.

Comme je peux déjà le voir depuis une dizaine d’années, la consultance est un sport de haut niveau. Tant pour le sportif que pour le consultant, avoir la mentalité adéquate est utile et indispensable. C’est pourquoi je me fais un plaisir de consacrer ce post de blog à :

  • quatre parallèles entre les sportifs de haut niveau et les consultants d’élite ;
  • quatre conseils pour développer une mentalité de sportif de haut niveau.

J’espère qu’ils vous pousseront à réaliser des performances record lors de vos prochains projets et défis !

Quatre raisons pour lesquelles la consultance est un sport de haut niveau

1.   Travail d’équipe

Dans un sport d’équipe, il est évident que la collaboration entre les membres de l’équipe est cruciale pour atteindre le résultat visé. En tant que sportif individuel aussi, on dépend souvent d’un groupe de personnes. L’équipe d’un sportif de haut niveau se compose d’un coach, d’un kinésithérapeute, d’un médecin du sport, d’un psychologue, d’un diététicien ou d’autres experts.

Un consultant d’élite reconnaît lui aussi l’importance de l’équipe avec laquelle il collabore. En effet, il sait qu’il dépend des membres de l’équipe pour de nombreuses missions et les traitera donc avec respect.

Vous souhaitez développer une mentalité de sportif de haut niveau ?

Montrez que vous appréciez vos collègues. La collaboration est cruciale pour atteindre les objectifs préétablis. Un e-mail de motivation, un compliment ou un petit cadeau ? Ça marche ! En outre, les membres de votre équipe constituent votre future carte de visite. Ils collaborent ou ont collaboré avec vous et savent donc que vous visez l’excellence ! Bref, les membres de votre équipe sont les meilleurs ambassadeurs de vos futurs projets.

2.   Faculté d’adaptation

En vue des jeux Olympiques de Rio, de nombreux athlètes se sont entraînés dans une chambre spéciale afin de se préparer au climat humide et chaud de la région. Les joueurs de tennis de haut niveau font littéralement le tour du monde durant une année sportive : de Melbourne à Paris, de New York à Dubaï, entraînant les effets inévitables et indésirables du décalage horaire. Autre alimentation, autre langue, autres commodités. L’environnement change, l’athlète s’adapte.

Un consultant d’élite est lui aussi capable de s’intégrer à une entreprise en un rien de temps. Un consultant voit chaque nouvelle mission comme un nouveau défi et surtout une nouvelle opportunité de partager des expériences et d’acquérir des connaissances.

Vous souhaitez développer une mentalité de sportif de haut niveau ?

Suivez de près les nouvelles tendances dans votre secteur. Qu’il s’agisse d’une nouvelle technologie ou d’une technique de gestion publiée récemment, il est utile de discuter avec les membres de votre équipe des nouvelles, des changements et des innovations.

De plus, un consultant expérimenté peut se baser sur sa riche expérience acquise auprès de clients précédents, mais il sait aussi que chaque entreprise applique des procédures différentes. La plupart du temps, c’est donc le consultant lui-même qui s’adapte au nouvel environnement de travail, pas l’inverse.

3.   Entraînement

Pour un sportif, une compétition constitue la ligne d’arrivée de sa période d’entraînement. Cependant, il y a mis tout son sang, sa sueur et ses larmes. Cette période d’entraînement permet au sportif de s’améliorer sur le long terme. Eden Hazard, Usain Bolt ou Lewis Hamilton ? Ils suivent chaque jour un programme d’entraînement à la lettre afin de devenir meilleurs.

Les consultants d’élite font eux aussi tout ce qui est en leur pouvoir afin de renforcer systématiquement leurs connaissances et leurs compétences. Chaque jour, ils apprennent sur le terrain. Ils suivent régulièrement des formations spécifiques et partagent les connaissances acquises avec d’autres. L’esprit d’équipe, vous vous en souvenez ?

Vous souhaitez développer une mentalité de sportif de haut niveau ?

Osez investir dans votre propre carrière. Je connais des sportifs de haut niveau qui organisent un stage à l’étranger ou achètent une tente à haute pression hors de prix à leurs propres frais. Ajoutez donc régulièrement une formation ou un recyclage à votre planning si vous souhaitez évoluer. La connaissance augmente votre valeur marchande et vous offre plus d’opportunités et de projets ambitieux à long terme !

4.   Gains marginaux

Le concept de « gains marginaux » a été introduit pour la première fois dans le domaine du sport par Dave Brailsford, manager de l’équipe cycliste Sky. Il a intégré un nouveau mode de pensée dans le monde cycliste britannique en établissant que les détails, si négligeables soient-ils, peuvent faire la différence entre le succès et l’échec. Il faut donc prendre en compte le moindre détail permettant d’améliorer les performances.

Une entreprise qui vise l’excellence a elle aussi besoin de s’améliorer en permanence. Les consultants jouent un rôle très actif à cet égard. Ils ont acquis de l’expérience et des connaissances dans des entreprises concurrentes et contribuent tous à leur manière à l’optimisation d’une pièce du puzzle de l’entreprise.

Vous souhaitez développer une mentalité de sportif de haut niveau ?

En tant que consultant, appliquez toujours le « principe du changement ». Faites toujours des propositions d’amélioration, aussi moindres soient-elles, à votre client. Un gain de temps de trente secondes par jour aura peut-être peu d’influence sur votre activité. Cependant, si cent autres collaborateurs peuvent bénéficier de ce même gain de temps, l’entreprise économisera rapidement cinquante minutes par jour…

Conclusion : quatre conseils pour des consultants d’élite

Maintenant que vous avez pris connaissance de ces parallèles, vous ne vous étonnerez pas de voir des consultants fournir de hautes performances, même en dehors des heures de travail. À l’inverse, les sportifs de haut niveau sont parfaitement capables de contribuer à l’histoire de la consultance. Devenir consultant, c’est donner le meilleur de vous-même, pendant et après les heures de bureau. La consultance, c’est un sport de haut niveau.

Vous souhaitez tirer le maximum de votre « discipline » ?

  • Accordez de l’importance à l’esprit d’équipe et aux membres de votre équipe.
  • Soyez réceptif au changement et à l’innovation et montrez-vous flexible.
  • Veillez toujours à bien vous préparer, n’ayez pas peur d’apprendre et investissez dans votre propre développement.
  • Appliquez le « principe du changement » et cherchez à réaliser des gains marginaux pour vous-même, vos clients et vos projets. De petits changements peuvent faire un monde de différence.

Bonne chance !

Tijs Billemon est Business coach chez Pauwels Consulting. Il dispose d’une expérience longue de plusieurs années dans le recrutement et l’accompagnement de consultants dans les domaines des TI, des sciences de la vie et de l’ingénierie. En fervent sportif, il prépare actuellement son premier Ironman.

Que le jeu commence!

Les sept règles du jeu de la consultance

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Conseils pour consultants

Comment définir l’emploi de vos rêves en 3 étapes faciles.

28 Fév 2020
Vous êtes à la recherche d'un emploi ? Ou cherchez-vous un meilleur emploi ? Alors pourquoi ne pas viser l'emploi de vos rêves ? Dans cet article, vous découvrirez comment trouver un emploi qui correspond à vos points forts et à vos ambitions.

À quoi ressemble l’emploi de vos rêves ?

La plupart des demandeurs d’emploi recherchent un emploi qui correspond à leurs études et à leur expérience. Malheureusement, il est de plus en plus difficile de trouver un emploi de cette manière. Le marché du travail exige actuellement plus de flexibilité de la part des demandeurs d’emploi.

Pour trouver un bon emploi de nos jours, il est très important de savoir à l’avance quel type d’emploi vous recherchez. Être clair mais flexible quant à vos ambitions vous aidera grandement dans votre quête d’un nouvel et meilleur emploi.

3 Questions importantes

Il existe de nombreuses façons de définir l’emploi de vos rêves. Dans cet article, nous vous aiderons à définir votre emploi de rêve en fonction de vos propres forces et intérêts. Nous répondrons aux questions suivantes :

  • Qu’attendez-vous de votre emploi ?
  • Quels sont vos points forts ?
  • De quoi le marché a-t-il besoin ?

Si vous répondez à ces questions, que vous hiérarchisez les réponses et que vous recherchez leur point de convergence, vous aurez une bonne indication de l’emploi de vos rêves. Cela vous permettra de commencer votre recherche d’emploi avec un objectif précis et de meilleures chances de réussite.

  1. Qu’attendez-vous de votre travail ?

Il est intéressant de noter que la plupart des gens font une distinction claire entre le travail et les loisirs. Mais pourquoi attendre la fin de votre travail pour faire les choses que vous aimez vraiment ? Vous êtes-vous déjà demandé ce que vous feriez dans la vie si vous aviez le choix ?

Agissez : Répondez aux questions suivantes de manière réaliste et avec un esprit ouvert. Pensez au-delà des limites de votre emploi actuel ou de votre parcours professionnel logique. Ne réfléchissez pas trop à vos réponses et laissez vos pensées aller.

  • À quand remonte la dernière fois où vous avez apprécié ce que vous faisiez, au travail ou ailleurs ?
  • Que faisiez-vous et pourquoi cela vous a-t-il rendu heureux ?
  • Où vont vos pensées alors que vous devriez travailler ?
  • Qu’est-ce que vous préféreriez faire toute la journée ? Qu’est-ce qui vous passionne vraiment ?

Agissez : Pensez maintenant à vos conditions de travail idéales. Comment aimeriez-vous travailler ? Répondez aux questions suivantes de manière réaliste et avec un esprit ouvert.

Travail physique, travail intellectuel ou une combinaison des deux ?

Préférez-vous le travail physique, le travail intellectuel ou une combinaison des deux ? Toutes les réponses sont bonnes, mais si vous avez une préférence claire, votre recherche d’emploi sera plus facile et plus efficace.

Indépendant ou salarié ?

Les indépendants jouissent peut-être d’une plus grande liberté que les salariés, mais ils doivent également s’occuper de leur propre administration et de leur propre marketing. Les salariés jouissent généralement d’une plus grande tranquillité d’esprit, d’un revenu sûr et de garanties sociales telles que les congés payés.

Temps plein ou temps partiel ?

Combien d’heures pouvez-vous et êtes-vous prêt à travailler par semaine ? Lorsque le travail à temps partiel n’est pas négociable, des horaires de travail flexibles peuvent toujours être envisagés. Soyez aussi transparent que possible sur vos attentes à chaque étape de votre recherche d’emploi.

Travail à domicile ou ailleurs ?

Les nouvelles technologies rendent le travail à domicile plus facile que jamais. Que préférez-vous ? Préférez-vous travailler à domicile, au bureau, dans un espace de travail flexible ou préférez-vous une combinaison de ces espaces de travail ?

Un lieu ou plusieurs lieux ?

En fonction de votre travail, vous pouvez travailler dans un seul endroit, vous pouvez travailler « sur la route » ou vous pouvez travailler dans différents endroits, par exemple dans le cadre de missions temporaires auprès de différents clients. Qu’est-ce que vous préférez ?

Une ou plusieurs missions à la fois ?

Vous préférez vous concentrer sur une mission spécifique ou travailler sur plusieurs missions à la fois ? La première option peut vous apporter une plus grande tranquillité d’esprit, tandis que la seconde peut rendre le travail (encore) plus difficile.

Travail d’équipe ou travail individuel ?

Certaines personnes sont plus aptes à collaborer que d’autres. Ce n’est pas grave. Cependant, il est important de savoir dans quel domaine vous êtes le plus doué. Travaillez-vous en équipe ou êtes-vous plus performant seul ?

PME ou multinationale ?

L’atmosphère de travail dans les petites ou moyennes entreprises (PME) est souvent plus personnelle que dans les grandes entreprises. Par conséquent, vous pouvez avoir une plus grande influence sur les procédures et les résultats si vous travaillez dans une PME. Les grandes entreprises peuvent offrir davantage de possibilités de gravir les échelons, mais elles peuvent avoir des hiérarchies et des procédures plus strictes.

Gérer ou ne pas gérer ?

Vous souhaitez occuper un poste de direction ? Gardez à l’esprit que tout le monde ne peut ou ne veut pas assumer de grandes responsabilités. Et en tant que manager ou directeur, vous dépendez souvent de facteurs externes qui échappent à votre contrôle. Cela peut entraîner un surcroît de travail et de stress.

Il est évident que cette liste de questions sur vos conditions de travail idéales n’est pas exhaustive, mais le fait d’y répondre peut vous aider à déterminer vos conditions de travail idéales à coup sûr. Réfléchissez à d’autres choix pertinents et notez vos réponses.

Agissez : Si tout s’est bien passé, vous avez maintenant deux listes avec des mots clés concernant le contenu et les conditions de travail de votre emploi de rêve. Comme il peut être difficile de trouver un emploi correspondant à toutes ces conditions, choisissez maintenant les cinq conditions qui sont les plus importantes pour vous.

À la recherche de l'emploi de vos rêves?

Découvrez nos défis
  1. Quels sont vos points forts ?

La plupart des jeunes enfants sont exceptionnellement créatifs. Cela s’explique par le fait que la plupart des enfants sont encouragés par leurs parents, leur famille et leurs amis à montrer leurs talents. Cet encouragement est une source de confiance en soi qui stimule les enfants à s’améliorer et à montrer leurs talents au monde entier.

À l’école, cependant, nous apprenons comment les autres peuvent penser de nous. Nous apprenons à connaître nos faiblesses et à les surmonter. Des cours supplémentaires, des exercices supplémentaires… Il semble souvent que l’école mette davantage l’accent sur la façon de surmonter ses faiblesses que sur l’amélioration et l’utilisation de ses points forts.

Concentrez-vous sur vos forces, pas sur vos faiblesses !

Ces dernières années, le « strenghts mouvement » a tenté de nous convaincre de nous concentrer sur nos points forts plutôt que sur nos points faibles. Le raisonnement qui sous-entend cette idée est qu’il est plus gratifiant d’utiliser et d’améliorer vos talents que d’améliorer ce pour quoi vous n’êtes pas doué.

Le livre à succès de Marcus Buckingham, « Now, discover your strengths« , illustre bien ce mouvement des forces. Ce livre est basé sur une étude de 25 ans portant sur plus de deux millions de personnes et il est accompagné d’un test en ligne Strengthsfinder qui vous aide à découvrir vos talents et vos points forts. Si vous trouvez un emploi où vous devez combiner ces forces particulières pour réussir, vos chances de réussite et de joie au travail augmenteront sérieusement.

Action : Dressez une liste de vos points forts. Pensez aux réactions que vous recevez des autres. Quand recevez-vous un retour d’information positif ? Probablement lorsque vous mettez en valeur l’un de vos talents. Essayez d’identifier et de décrire vos talents de manière aussi précise et concise que possible.

Facultatif : Demandez à votre famille, à vos amis et (si possible) à vos collègues de faire des listes similaires de vos points forts. Plus le tableau sera complet, mieux vous serez en mesure de définir les points forts qui vous distinguent des autres demandeurs d’emploi.

Facultatif : Cela peut prendre un peu plus de temps et peut-être un investissement mineur, mais essayez de passer un test de personnalité pour identifier vos points forts. Le livre mentionné ci-dessus avec son test Strengthsfinder est un bon début, mais il existe de nombreuses alternatives.

Agissez : Si vous effectuez les actions ci-dessus, vous devriez disposer d’une ou de plusieurs listes avec vos talents et vos points forts distincts. Examinez bien ces listes et essayez de trouver et de noter vos 5 talents les plus distincts.

  1. De quoi le marché a-t-il besoin ?

Le marché de l’emploi actuel est assez difficile, mais le marché est toujours régi par l’offre et la demande. Suivez l’actualité et consultez les sites d’emploi pour savoir quels secteurs ont des offres d’emploi et quels types d’emplois sont les plus nécessaires.

Si « votre » secteur ne se porte pas bien, essayez de rechercher d’autres secteurs qui pourraient bénéficier de vos connaissances et de votre expertise. Ou si votre région connaît de nombreux licenciements, essayez de rechercher des offres d’emploi dans les régions voisines avant les autres demandeurs d’emploi.

Surveillez également de près les listes de professions en pénurie dans votre pays. Vous trouverez les listes des professions en pénurie en Belgique ici. En ce moment, les employeurs belges recherchent surtout des infirmières, des enseignants, des ingénieurs, des techniciens et des opérateurs.

Agissez : Découvrez les secteurs qui peuvent bénéficier de vos connaissances et de votre expertise. Essayez d’élargir votre champ d’action au-delà de votre propre secteur et de votre zone géographique. Sélectionnez les cinq secteurs et domaines dans lesquels vous souhaitez travailler.

Définir l’emploi de vos rêves

Si vous avez fait tout ce qui précède, vous avez 3 listes. Ces listes décrivent: :

  • Vos 5 priorités les plus importantes concernant le contenu de votre emploi idéal ;
  • Vos 5 talents les plus distincts ;
  • Les 5 secteurs et zones géographiques dans lesquels vous aimeriez travailler.

Maintenant, rassemblez ces listes et recherchez des corrélations. Concentrez-vous sur vos propres ambitions et talents et essayez de les faire correspondre aux exigences actuelles du marché du travail. De préférence, pas l’inverse. Par exemple, si vous venez d’obtenir votre diplôme d’infirmière mais que vous préférez ne pas travailler à plein temps dans le même hôpital, la recherche de projets ou les soins à domicile peuvent vous convenir davantage.

Ou si vous êtes titulaire d’un diplôme d’ingénieur ou de linguistique et si vous souhaitez plus de flexibilité pour obtenir un meilleur équilibre entre votre vie professionnelle et votre vie privée, vous pouvez souvent commencer tout de suite à enseigner et obtenir votre diplôme d’enseignement grâce à des cours du soir.

Si vous envisagez de faire le saut vers le travail indépendant, demandez-vous si le marché a besoin de votre produit ou service ou comment vous pouvez créer cette demande. Et déterminez si vous pouvez vous occuper (ou avoir quelqu’un pour s’occuper) de votre administration et de votre marketing. Ces tâches supplémentaires sont aussi importantes que votre emploi actuel !

Il est temps de trouver l’emploi de vos rêves !

Dans cet article, nous avons examiné comment vous pouvez définir l’emploi de vos rêves en adaptant vos propres forces et ambitions aux besoins du marché du travail. Cette étape peut sembler simple, mais en réalité, beaucoup de personnes ne prennent pas assez de temps pour réfléchir à ce qu’elles veulent vraiment faire pour gagner leur vie.

Dans notre prochain article, nous vous donnerons des conseils pour améliorer votre communication écrite lorsque vous postulez à un emploi. Un bon CV, une lettre de motivation personnelle, un courrier électronique clair et une présence saine sur le web peuvent sérieusement améliorer vos chances d’être invité à un entretien d’embauche.

Que le jeu commence!

Les sept règles du jeu de la consultance

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Pauwels people

Travailler comme Senior Engineering Consultant: Patrik Ingels

04 Déc 2019
Chez Pauwels Consulting, nous sommes, jour après jour, à la recherche de consultants motivés qui mèneront à bien les projets de nos clients. Nous parlons donc avec de nombreux candidats et embauchons continuellement de nouveaux collègues qui ont su nous convaincre. Dans notre série « Pauwels Consulting People » (Les collaborateurs de Pauwels Consulting), nos collègues se présentent et racontent comment se déroulent leur travail et leurs projets. Aujourd'hui, nous faisons connaissance avec Patrik Ingels, ingénieur de projet senior chez Pauwels Consulting.

Bonjour, Patrik. Pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Patrik: Avec plaisir ! Je m’appelle Patrik Ingels. J’ai quarante-cinq ans, je suis marié et j’ai deux enfants : un de quatorze ans et un de seize ans.

Que faites-vous en dehors du travail ?

Patrik: Eh ben, j’aime passer mon temps libre à restaurer des voitures anciennes. Tout petit, j’avais un faible pour les voitures et surtout pour les ancêtres. Maintenant, je roule dans une ancienne coccinelle et un side-car russe, mais j’aime également bricoler sur les voitures anciennes d’autres amateurs.

Quelles études avez-vous faites ?

Patrik: J’ai fait des études d’ingénieur industriel en électromécanique à la haute école Thomas More à Geel.

Pourquoi avez-vous choisi ces études ?

Patrik: Je n’ai pas tout de suite su quelles études j’allais faire, mais j’ai toujours eu un intérêt certain pour la technique. Finalement, j’ai basé mon choix sur cette passion.

Quel est votre parcours professionnel ?

Patrik: J’ai travaillé chez une importante société pharmaceutique en Belgique pendant vingt ans. J’y ai exercé différentes fonctions dans divers secteurs : la production, l’ingénierie, l’assurance qualité, la qualification et la validation. Ensuite, je me suis lancé en tant qu’indépendant.

Pourquoi avoir choisi de travailler en tant qu’indépendant ?

Patrik: J’étais à la recherche d’un nouveau défi. La deuxième partie de ma carrière, disons. (Sourire.) Je voulais quitter le nid et explorer, tout seul, de nouveaux horizons.

Quels en sont les avantages les plus importants ?

Patrik: La réponse est dans le nom en fait. En tant qu’indépendant, on a tout de même une certaine liberté et une certaine autonomie. C’est ce que j’aime. En outre, on a la possibilité de prendre un peu de distance et de ne pas se laisser absorber par une seule entreprise.

Y a-t-il également des inconvénients ?

Patrik: Absolument. En tant qu’indépendant, j’ai quand même dû m’habituer à toute cette administration supplémentaire.

Cela fait déjà longtemps que vous travaillez en tant qu’indépendant ?

Patrik: Non, depuis le 1er janvier 2016. Pas si longtemps donc. En ce moment, je travaille à ma première mission indépendante. J’ai eu l’occasion unique de collaborer à un projet sur un site vierge, ce qui est assez rare en Belgique.

Comment êtes-vous entré en contact avec Pauwels Consulting ?

Patrik: Je connaissais déjà quelques consultants et indépendants chez Pauwels Consulting et j’avais reçu de bons échos. Finalement, j’ai contacté Pauwels Consulting moi-même lorsque je me suis lancé comme indépendant.

« Les responsables chez Pauwels Consulting se montrent ouverts aux commentaires et aux suggestions. Un grand atout. »

Quelle a été votre première impression de Pauwels Consulting ?

Patrik: Pauwels Consulting embauche bon nombre de jeunes qui connaissent bien leur métier. De plus, l’organisation renvoie l’image d’une entreprise efficace.

Vos premières impressions ont-elles désormais été confirmées ?

Patrik: Oui, la communication se déroule toujours de façon fluide et efficace et les projets sont bien suivis. En outre, les responsables chez Pauwels Consulting se montrent ouverts aux commentaires et aux suggestions. Un grand atout.

Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur votre projet actuel ?

Patrik: En ce moment, je travaille comme ingénieur de projet senior chez une société pharmaceutique. Ils sont en train de construire une nouvelle usine pour la production de polymères, de comprimés et de formes stériles.

Quelles sont vos responsabilités pendant ce projet ?

Patrik: Jusqu’à présent, j’ai toujours été responsable de la partie « injectables » : l’achat des équipements, l’installation, la mise en marche, la qualification et la validation. De plus, en ce moment, je suis également temporairement responsable de la coordination, la qualification et la validation d’un produit qui sera lancé d’ici peu.

Que trouvez-vous intéressant dans ce projet ?

Patrik: Le job n’est pas délimité précisément et n’est pas alourdi par toute une série de petites règles internes. Ça me plaît. Il y a de l’espace pour l’autonomie et la flexibilité. De temps à autre, je supplée donc aussi des collègues et je fais des tâches qui dépassent ma description de fonction. Ensuite, j’adore également poursuivre un objectif bien précis avec une équipe relativement petite.

Avez-vous déjà appris des choses intéressantes ?

Patrik: Absolument, j’apprends tous les jours, surtout parce qu’il s’agit de ma première expérience avec des produits hormonaux. J’ai également su combler de grandes lacunes dans mes connaissances de la langue française. (Rires.)

Que voudriez-vous faire après ce projet ? Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?

Patrik: J’aimerais continuer à travailler à un poste d’ingénieur de projet. En bref : continuer à faire ce que je fais à l’heure actuelle.

Enfin, avez-vous encore un conseil pour nos lecteurs ou une citation qui les inspirera ?

« Keep calm et lancez-vous. »

Patrik: J’ai toujours trouvé que c’était une chouette citation. De plus, elle me convient parfaitement.

Merci pour cette interview agréable, Patrik, et bonne chance avec tous vos projets !

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Le langage corporel en entretien d’embauche : les clés du succès !

06 Juil 2019
Le langage corporel est important. Il est même primordial. Car quoi que vous disiez pendant votre entretien d’embauche, si votre langage corporel communique un autre message, vous donnerez vite l’impression de manquer d’assurance, de n’être pas fiable ou d’être quelqu’un d’arrogant. Mais en tant que candidat, vous pouvez facilement éviter ces écueils.

Nous avons déjà abordé l’importance de votre langage corporel en entretien d’embauche. Nous avons aussi donné des conseils généraux pour améliorer votre langage corporel avant le début d’un entretien d’embauche. Dans cet article, nous allons encore plus loin.

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VOTRE CORPS, CET INSTRUMENT DE COMMUNICATION

Dans cet article, nous vous invitons à découvrir nos conseils pratiques pour contrôler votre corps pendant un entretien d’embauche. Ces conseils sont basés sur des études scientifiques, ainsi que sur l’expérience de terrain et les directives d’organisations comme le FBI. Comme le disait Samuel L. Jackson dans le film « The Negotiator » : « The eyes can’t lie ». Il y a du vrai là-dedans !

La première poignée de main

Tendez votre main droite avec assurance et donnez une poignée de main ferme

N’attendez pas que votre interlocuteur vous tende la main : prenez l’initiative et tendez-lui la main en premier. Vous transmettez ainsi le signal inconscient que vous savez ce que vous faites et que vous êtes prêt(e) à vous lancer.

Étendez vos doigts et formez un angle d’environ 45° avec votre pouce. Faites en sorte que la peau entre votre pouce et votre index entre en contact avec celle de votre interlocuteur, puis refermez les doigts sur sa main. Ne donnez pas de poignée de main trop légère : cela donne l’impression que vous manquez d’assurance. Mais ne serrez pas non plus trop fort : une poignée de main qui écrase peut donner l’impression que vous avez un caractère trop dominant ou que vous cherchez à (sur)compenser votre insécurité.

firm handshake during job interviewÉvitez les mains moites

Vous avez tendance à transpirer abondamment ? Rafraîchissez-vous avant d’entrer dans le bâtiment. Veillez à avoir toujours un mouchoir sur vous pour vous sécher les mains et pour essuyer la transpiration sur votre front et votre nuque.

Si vos mains deviennent moites juste avant l’entretien, séchez-les discrètement sur vos genoux en vous levant. Évitez d’avoir les mains moites, car cela trahit souvent de la nervosité et/ou de l’insécurité.

Maintenez le contact visuel

Souriez avec naturel, adoptez une voix confiante et maintenez en permanence le contact visuel en faisant connaissance avec votre (ou vos) interlocuteur(s). Sinon, vous pourriez donner l’impression d’être quelqu’un d’hésitant, voire de malhonnête ou d’arrogant.

Votre posture générale pendant votre entretien d’embauche

Asseyez-vous droit

Cela peut sembler aller de soi, mais si votre siège a des accoudoirs, il peut être tentant de vous incliner vers la gauche ou vers la droite. Abstenez-vous-en : si vous vous « affalez », vous risquez de paraître nonchalant(e).

Tenez-vous donc droit(e) et maintenez votre dos contre le dossier. Si vous vous penchez en avant au cours de l’entretien, gardez vos épaules basses. Ainsi, vous ne dominerez pas l’interlocuteur. Veillez aussi à ne pas l’approcher de trop près pour ne pas donner une impression (trop) dominante.

Restez calme et ne gigotez pas

Ne vous balancez pas sur votre siège et ne bougez pas les jambes. Mais comme nous l’écrivions dans un article précédent, veillez à trouver le juste milieu entre l’agitation et la raideur. Quelqu’un qui gesticule avec ses bras et ses mains pendant tout l’entretien peut vite être perçu comme dérangeant. Il en va de même pour un candidat qui resterait immobile comme une statue.

Ne cachez pas trop votre stress

Ne réprimez pas non plus trop votre stress. Le but est d’adopter une attitude naturelle et agréable. En affichant un stress sain, vous montrez que cette opportunité est importante pour vous. Une tranquillité absolue pourrait passer pour de l’indifférence.

« N’essayez pas de trop cacher votre stress : soyez vous-même »

keep eyecontact during job interviewComment positionner votre tête et vers où tourner votre regard ?

Maintenez le contact visuel pendant la conversation

Lors d’un entretien d’embauche, vous aurez souvent plusieurs interlocuteurs. Quand vous êtes à la parole, accordez un « temps de regard » équivalent à chacun. Vous ne savez jamais lequel de vos interlocuteurs aura le plus d’impact sur la décision : montrez donc que vous respectez chaque personne autant que les autres. Si vous accordez moins d’attention à quelqu’un, cela peut nuire à la confiance globale.

Maintenez en permanence le contact visuel avec la personne qui est à la parole. Vous montrez ainsi votre sincérité et votre intérêt. Quand quelqu’un vous pose une question, regardez cette personne en commençant votre réponse, puis tournez-vous à nouveau vers les autres interlocuteurs.

Attention à ne pas détourner le regard ou à regarder vers le bas en commençant à répondre. Cela peut vous mettre à l’aise, mais souvent, cela signale un manque de franchise. Au début de votre réponse, regardez la personne qui a posé la question droit dans les yeux, puis rétablissez le contact visuel avec les autres interlocuteurs après quelques secondes.

Hochez uniquement la tête quand vous êtes d’accord

Certaines personnes hochent la tête en permanence pour manifester leur compréhension. Cela peut toutefois être perçu comme un signe de docilité (excessive) ou de fausseté. Hochez donc uniquement la tête quand vous êtes d’accord, quand vous comprenez un point important et quand vous voulez inviter votre interlocuteur à continuer.

Sinon, gardez la tête immobile autant que possible et/ou reproduisez les mouvements de la tête de votre interlocuteur. En reproduisant subtilement les mouvements (de la tête) de quelqu’un, vous indiquez implicitement que vous êtes d’accord avec ce que cette personne dit.

Prêt pour votre entretien d'embauche?

Découvrez nos défis

Communiquer correctement avec vos bras et vos mains

  • Ne croisez jamais les bras

Les bras croisés donnent une impression de fermeture. Cette attitude est donc souvent interprétée comme un signe d’insécurité, de manque de fiabilité ou de manque d’intérêt. Il faut bien entendu l’éviter.

  • Vos bras et vos mains : des moyens de communication puissants

Servez-vous (uniquement) de vos bras et de vos mains pour appuyer votre récit. Exercez-vous devant le miroir ou avec vos amis et votre famille. Sur Internet, vous trouverez de nombreuses vidéos où l’on démontre comment bien accentuer des messages différents avec ses bras et ses mains.

  • Que faire de vos bras et de vos mains quand vous n’avez pas la parole ?

Dans ce cas, reposez-les de manière détendue sur vos genoux ou sur la table. Si vous posez vos bras sur la table, penchez-vous légèrement vers vos interlocuteurs. Vous indiquez ainsi que vous écoutez attentivement. Vous pouvez joindre les mains, mais ne les serrez pas au point de faire blanchir vos doigts.

  • Évitez de manifester de la tension à travers vos mains et vos doigts

Quand vous avez la parole, utilisez vos mains de manière tranquille et naturelle. Quand quelqu’un d’autre parle, mieux vaut ne pas bouger vos mains. Ne tapotez certainement pas la table des doigts et évitez tout geste rythmique qui pourrait trahir votre stress (et agacer vos interlocuteurs).

  • Ne vous touchez pas trop

Cela peut sembler étrange, mais c’est un réflexe naturel de se toucher le nez, les joues et les lèvres en parlant : cela a un effet rassurant sur la plupart d’entre nous. Essayez cependant de l’éviter. Si vous touchez trop souvent votre visage ou si vous triturez vos mains, cela peut trahir votre insécurité. Cela peut aussi indiquer un manque de franchise.

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Dr Veerle Deblauwe publie un article sur la recherche de brevets

19 Sep 2018
Lorsque l’un de nos collègues fait quelque chose d’exceptionnel, nous en sommes tous fiers chez Pauwels Consulting. Dr Veerle Deblauwe, experte en recherche de brevets, a récemment publié un article à l’occasion de la conférence Search Matters à La Haye. Il était grand temps de parler un peu avec cette femme extraordinaire de sa personne et de ses activités. Bienvenue dans le monde merveilleux de la recherche de brevets.

Veerle, pourriez-vous vous présenter brièvement?

Veerle: Je m’appelle Veerle Deblauwe. Cela fait plus de quinze ans que j’effectue des recherches et des analyses sur des brevets et d’autres informations scientifiques, également appelé en anglais « patent search ». Je suis également membre du Belgian Patent Information User et du Werkgroep Octrooien Nederland.

J’ai surtout beaucoup d’expérience dans le domaine des brevets et des recherches scientifiques dans la chimie des polymères, le secteur de la construction (tuiles, ardoises, placoplâtres et plaques de façade en fibrociment) et l’industrie pharmaceutique. Cela fait cinq ans que je travaille en tant que consultante chez Johnson & Johnson, dont la dernière année via Pauwels Consulting.

Vous avez alors bénéficié d’une solide formation académique?

Veerle: J’ai décroché un master et un doctorat en chimie organique et macromoléculaire à l’université de Louvain.

En termes simples, qu’est-ce que la recherche de brevets en fait?

Veerle: Un brevet décrit en détail une invention et octroie au propriétaire le droit exclusif de produire cette invention et de la commercialiser. En essence, la recherche de brevets consiste à rechercher si des brevets ont déjà été publiés pour une invention donnée.

Il s’agit d’un domaine important, car un brevet n’est accordé que pour des inventions réellement nouvelles ou novatrices. Et pour chaque nouveau produit ou processus, il convient encore de vérifier si l’on n’empiète pas sur les brevets existants d’autrui. Dans le jargon, on appelle cela une « recherche de liberté d’exploitation ».

Outre quelques autres sources, j’effectue principalement des recherches dans la littérature sur les brevets, l’ensemble des documents relatifs aux brevets. Un enjeu majeur se cache dans ce travail : on doit pouvoir travailler efficacement avec les bases de données existantes, ce qui n’est pas une sinécure vu leur évolution continue. On doit donc bien rester au courant.

Pourriez-vous nous en dire un peu plus sur votre fonction actuelle?

Veerle: Je travaille en permanence pour Johnson & Johnson dans le monde entier, tant pour les scientifiques et chercheurs que pour les mandataires en brevets. J’opère dans une petite équipe, les chercheurs de brevets chimiques, qui n’est composée que de deux personnes : mon collègue George Chiu des États-Unis et moi-même.

Pour nous, il est d’une importance capitale de mener à bien nos missions en faisant preuve d’esprit critique et de curiosité scientifique, et ce dans le délai imparti. Mais, en même temps, nous devons rester flexibles pour les demandes urgentes qui s’intercalent et qui exigent un traitement rapide.

Un article que vous avez écrit a récemment été publié?

Veerle: C’est exact. La conférence Search Matters a de nouveau eu lieu à La Haye du 23 au 25 avril 2018. Cette conférence internationale est organisée chaque année, alternativement à La Haye et à Munich. L’organisateur, l’Office européen des brevets, a désigné comme rapporteuses Sofia Pires de l’université d’Alicante et moi-même. Le résultat a été publié dans l’édition de septembre de World Patent Information, un magazine de ma discipline.

C’était une expérience fascinante de pouvoir assister à la conférence de cette manière. En novembre, j’assisterai d’ailleurs aussi à la Patent Information Conference à Bruxelles, une autre conférence organisée par l’Office européen des brevets.

Êtes-vous capable de combiner ces visites de conférence avec vos tâches actuelles chez Johnson & Johnson?

Veerle: Bien sûr, c’est parfaitement possible. En fin de compte, une telle conférence ne dure pas si longtemps. Je n’étais présente que deux jours à Search Matters, par exemple. Le soir, je consulte évidemment mes e-mails et je dois organiser mon travail avant et après. Et si je sais d’avance qu’un événement important se présente, j’informe les personnes concernées que je serai difficilement joignable.

C’est fantastique de pouvoir tout combiner, Veerle. Félicitations à nouveau pour votre publication et merci pour cet agréable entretien!

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Nouvelles

Pauwels Consulting et P.I.T.-Advisor s’associent pour l’avenir

19 Déc 2016
Pauwels Consulting et P.I.T.-Advisor, deux entreprises de consultance belges qui rencontrent le succès, sont parvenues à un accord pour réunir leurs activités. Dès à présent, P.I.T.-Advisor opérera en tant qu'entreprise autonome au sein du groupe Pauwels Consulting.

Marc De Roeck, cofondateur et responsable commercial de P.I.T.-Advisor, reste responsable du développement ultérieur des activités de P.I.T.-Advisor. Johan Mertens, cofondateur et administrateur délégué de P.I.T.-Advisor, profitera d’une retraite bien méritée.

Bert Pauwels, fondateur et directeur général de Pauwels Consulting, Johan Mertens et Marc De Roeck de P.I.T.-Advisor nous ont accordé une interview.

Messieurs, félicitations pour cet accord ! Pourriez-vous vous présenter brièvement ?

Marc: Bien sûr. Je m’appelle Marc De Roeck, ingénieur commercial de formation. J’ai entamé ma carrière en tant qu’auditeur et analyste. Au fil des années, j’ai assumé différentes fonctions commerciales et, en 1999, j’ai fondé P.I.T.-Advisor avec Johan.

Johan: Je m’appelle Johan Mertens, j’ai soixante-trois ans et je suis un ancien dans le monde des TI. (Rires.) Pendant ma carrière, j’ai rempli différentes fonctions TI et, en 1999, j’ai franchi le pas pour fonder ma propre entreprise, P.I.T.-Advisor.

Bert: Je m’appelle Bert Pauwels, le benjamin des trois. (Rires.) J’ai toujours eu un esprit entrepreneurial et, en 1999, j’ai lancé Pauwels Consulting. Au début, je travaillais moi-même pour nos clients, mais, depuis 2004, je m’occupe exclusivement de la gestion quotidienne de l’entreprise.

Puisqu’on en parle, pourriez-vous brièvement présenter P.I.T.-Advisor et Pauwels Consulting ?

Johan: P.I.T.-Advisor est un prestataire de services TI d’Anvers. Nous employons quatre-vingts personnes fantastiques et nous fournissons des applications PGI intégrées et des solutions logicielles et matérielles sur mesure aux entreprises.

Marc: En outre, ces dix dernières années, nous nous sommes concentrés de plus en plus sur le sourcing des projets. Nous soutenons nos clients dans les trajets de développement et d’intégration les plus variés.

Bert: Pauwels Consulting est une entreprise spécialisée dans le sourcing des projets, l’externalisation des processus d’affaires, le recrutement et les projets dans le domaine de l’ingénierie, des sciences de la vie et des TI. Nous travaillons pour des entreprises belges, françaises, néerlandaises, allemandes et suisses.

Aujourd’hui, vous réunissez vos activités. Pourquoi ce choix ?

Johan: Pour des raisons médicales, j’ai décidé cette année de me retirer. Mon audition régresse de plus en plus, ce qui commençait à être une barrière pour mon travail chez P.I.T.-Advisor. J’ai pris cette décision avec des sentiments mitigés, mais je suis convaincu que c’est la bonne.

Marc: Je suis encore plein d’idées, d’envie et d’énergie quant à l’avenir de P.I.T.-Advisor. Notre collaboration avec Pauwels Consulting, je la considère comme un catalyseur : notre équipe devient cinq fois plus grande d’un seul coup et, maintenant, nous sommes en mesure de servir encore plus de clients. Cela offre beaucoup d’avantages à nos clients et des possibilités de carrière fantastiques à nos collaborateurs.

Bert: Chez Pauwels Consulting, nous constatons que les entreprises confient de plus en plus de missions à un nombre plus petit d’exécutants. C’est pourquoi il est important de poursuivre un développement de nos services et de notre portefeuille de clients. Cette collaboration avec P.I.T.-Advisor vient donc à point.

Comment y parvenir, Bert ?

Bert: Cela fait un moment que je suis P.I.T.-Advisor. La complémentarité des collaborateurs, des projets et des clients de P.I.T.-Advisor et de Pauwels Consulting est parfaite. Nous nous comprenons, mais nous ne sommes pas des concurrents. C’est un beau point de départ pour une collaboration.

Marc: Pendant les entretiens, nous avons rapidement constaté que nous étions sur la même longueur d’onde en termes de stratégie, de vision et d’ambitions. Sur le plan personnel, le courant est également passé tout de suite. Pourquoi hésiter ?

Johan: Pour moi, c’était également important que notre nouveau partenaire soit jeune, dynamique et expérimenté. Ce genre de profil ne court pas les rues, mais Bert Pauwels et Pauwels Consulting y correspondaient parfaitement.

À quel moment avez-vous su que vous alliez collaborer ?

Johan: Je ne suis pas facile. (Rires.) Nous avons également mené des discussions assez intenses, mais nous nous en sommes sortis. C’est pourquoi je sais qu’on ne risque rien. Marc et moi avons un très bon sentiment à l’égard de cette entreprise.

Bert: Les entretiens sur une reprise ou une autre collaboration impliquent toujours d’avancer à tâtons, mais nous nous en sommes en effet rapidement sortis, car nous avions en tête l’intérêt des deux entreprises. Nos collaborateurs et nos clients en recueilleront les fruits.

Quels sont les avantages de cette collaboration pour vos clients ?

Marc: Ces dernières années, nous avons mis en place un beau portefeuille de clients diversifié avec P.I.T.-Advisor. Et ce portefeuille est complémentaire à celui de Pauwels Consulting.

Johan: Cela vaut également pour nos services et les compétences de nos collaborateurs. Cela veut dire que nous sommes en mesure d’élargir immédiatement nos services pour les clients de P.I.T.-Advisor et de Pauwels Consulting. Dès lors, nous pouvons aider nos clients dans davantage de domaines. C’est un avantage stratégique important pour l’avenir.

Bert: Chez Pauwels Consulting, nous nous concentrons également de plus en plus sur l’externalisation des processus d’affaires: nous aimons gérer l’intégralité de départements et de processus de nos clients. Grâce à l’extension stratégique de nos effectifs et à notre matrice de compétences, nous pouvons prendre en charge des départements et des projets de plus en plus complexes.

Et quels sont les avantages pour les collaborateurs ?

Bert: Pour nous, il est important que nos collaborateurs aient des perspectives de carrière claires et larges. Cette collaboration fait exploser notre portefeuille de clients. Ainsi, nos collaborateurs internes et nos consultants externes peuvent facilement gravir les échelons pour occuper de nouvelles fonctions et gérer de nouveaux projets.

Marc: Nous voyons également beaucoup de possibilités pour le partage des connaissances. Pauwels Consulting prête une attention toujours plus grande au partage des connaissances, entre autres par l’intermédiaire de la Pauwels Consulting Academy. Je suis convaincu que nos collaborateurs peuvent et veulent aussi y contribuer activement.

Tout cela a l’air très enthousiasmant, messieurs ! Avez-vous encore un dernier message à communiquer ?

Bert: J’ai vraiment hâte d’accueillir nos nouveaux collègues de P.I.T.-Advisor. Par ailleurs, cela vaut pour toute notre équipe. Lors des reprises antérieures, l’intégration et les échanges entre les collègues ont toujours rencontré un franc succès. Je suis convaincu que ce sera également le cas ici.

Marc: Je me réjouis de ce nouveau chapitre. Il est beau le chemin parcouru jusqu’à présent avec P.I.T.-Advisor et, maintenant, nous avons l’opportunité d’accélérer nos affaires, ce qui est bénéfique pour tout le monde !

Johan: Je suis content de pouvoir laisser P.I.T.-Advisor à Marc et Bert en toute quiétude. J’ai été heureux de fonder cette entreprise et de l’amener à ce qu’elle est aujourd’hui. Je suis fier et reconnaissant que l’entreprise puisse maintenant entamer un deuxième volet. Ce sera assurément une magnifique histoire.

Messieurs, merci pour cette interview. À nouveau, toutes nos félicitations et bonne chance avec tous les projets.

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